Analyse rapide de la metformine, traitement standard du diabète

Un lecteur m’a demandé des informations sur la metformine. J’en ai fait une analyse rapide. C’est un peu sommaire, mais ça pourra intéresser d’autres lecteurs.

Quand on voit la formule chimique de la metformine, on voit que c’est C4H11N5.

Ça contient beaucoup d’azote, et par ailleurs, le côté CH contient peu de C (carbone).

Donc, soit c’est surtout un analogue d’opiacé si le côté CH ne réagit pas, soit c’est un mélange anti-inflammatoire/opiacé si le côté CH réagit aussi (et plutôt un anticoagulant vu le faible nombre de carbone). Mais, même dans ce second cas, l’effet opiacé doit dominer très nettement.

Je pense que c’est plutôt un analogue d’opiacé. Ça serait assez logique qu’ils utilisent ce genre de médicaments. Comme on l’a vu dans mon article, les diabétiques ont généralement un taux de cortisol élevé et sont souvent en surpoids important. Et le cycle accumulation/vidange est bloqué en position accumulation. L’opiacé entraine un effet inverse au cortisol. Et là, comme on a beaucoup d’azote, ça doit être une opiacé assez puissant.

Donc, ça va avoir un effet coupe-faim. Et ça va mettre le cycle en position vidange. Donc, la personne ne va plus manger et les cellules vont se vidanger en masse. Du coup, la personne va maigrir rapidement. Et comme les cellules vont se vidanger, ça va entrainer éventuellement une acidose du sang. C’est un phénomène qu’on retrouve aussi en cas de jeûne.

Et dans un premier temps, il va y avoir de la diarrhée, puisque les cellules se vidangent en masse (par la suite, ce sera plutôt de la constipation). Donc, les cellules des intestins vont relarguer de l’eau, ce qui entrainera de la diarrhée. Et les opiacés ont un effet de vasodilatation, ce qui va entrainer une hypotension. Donc, la personne va se retrouver dans un état de faiblesse importante. Et comme c’est un opiacé, des phénomènes inflammatoires vont apparaitre (l’inflammation est lié à la présence de produits opiacés).

De façon logique, la metformine a aussi un effet « bénéfique » sur le métabolisme lipidique. En effet, on a vu dans mon article sur les causes du cholestérol et du diabète qu’un taux de cholestérol élevé est lié à un taux de cortisol élevé.

Et logiquement aussi, la metformine est utilisée en tant que coupe faim par certaines personnes.

Selon le taux de cortisol de la personne au départ et la dose prescrite de metformine, on va avoir des effets indésirables plus ou moins marqués. Si le taux de cortisol n’est pas trop grand et que la dose de metformine est élevée, il pourra y avoir des effets indésirables importants. Et les effets indésirables seront limités si le taux de cortisol n’est pas trop élevé et que la dose de metformine ne l’est pas non plus.

La metformine doit entrainer un certain nombre de morts, puisqu’on fait passer la personne d’un taux de cortisol élevé avec souvent surpoids important à l’équivalent d’un taux de cortisol très bas, ce qui va entrainer une forte hypotension (ou en tout cas nettement plus basse que précédemment). Et l’acidose n’aide pas. Donc, certaines personne vont avoir une crise cardiaque, d’autres une insuffisance respiration aiguë, d’autres une insuffisance rénale ou hépatique. Et on peut avoir plusieurs ou tous ces problèmes en même temps. D’où un certain nombre de morts.

On obtiendrait le même résultat avec de la morphine.

Donc, l’effet soi-disant sur le métabolisme du sucre est bidon. C’est simplement un effet opiacé. D’une part, ça va entrainer une dilution du sang, puisqu’il va y avoir vasodilatation (plus d’eau pour la même quantité de particules). Les intestins vont moins absorber le sucre. Et il va y avoir rétablissement au moins partiel du cycle accumulation vidange. Très phénomènes qui vont provoquer une diminution du taux de sucre sanguin.

Comme l’effet opiacé finit par diminuer avec le temps, la personne va de moins en moins ressentir ces effets. Mais, le médicament va être aussi de moins en moins efficace sur le taux de sucre.

Les causes du cholestérol et du diabète de type II

Etant sur le problème du cancer actuellement, je ne vais pas pouvoir finir la deuxième partie de mon document sur le cholestérol et les statines avant un certain temps.

Voici donc un résumé de ce que j’ai découvert concernant ce problème et celui du diabète.

En fait, l’écrasante majorité du temps, le cholestérol est causé par un excès de cortisol ou un surpoids ainsi que l’âge. Tout ça perturbe le cycle d’accumulation/vidange des cellules.

 

1) Taux de cortisol et cholestérol/diabète

 

Le problème général est le suivant. Quand le corps fonctionne normalement, les cellules se remplissent d’eau lors d’un repas, ce qui y fait également entrer les nutriments venant de l’alimentation. C’est l’élévation du taux cortisol après le repas qui leur permet d’entrer dans les cellules. En effet, la pression sanguine va augmenter, et l’eau du sang va entrer plus dans les tissus et les cellules. Par ailleurs, le cortisol doit aider chimiquement au gonflement des cellules. Les cellules consomment les nutriments, qui deviennent alors des déchets. Puis, quand le taux de cortisol descend, les cellules se vident en partie de leur eau. Ce qui fait partir les déchets en question dans le sang et le système lymphatique. Puis, ils sont éliminés par le foie et les reins.

Mais si une personne est tout le temps en excès de cortisol, alors, les cellules vont être gonflées en permanence ; ce qui fait qu’elles ne vont plus accepter de nouveaux nutriments venant de l’alimentation. En effet, Il faut qu’elles soient dégonflées pour pouvoir se regonfler à nouveau.

Donc, les nutriments ne vont pas pouvoir entrer dans les cellules, et plus généralement les tissus (parce qu’eux aussi vont avoir tendance à être gonflés en permanence). Et ils vont alors rester dans le sang. Du coup, les taux sanguins de cholestérol et de sucre vont augmenter. C’est aussi simple que ça.

Ce qui veut dire qu’un taux de cortisol élevé entraine à la fois du cholestérol et du diabète.

 

2) Pourquoi tous ceux qui ont du cholestérol n’ont pas de diabète et inversement

 

Alors, bien sûr, tous ceux qui ont du cholestérol n’ont pas de diabète. Mais, ce qui se passe, c’est que l’orthodoxie médicale a dû faire en sorte de définir les taux anormaux de sucre à un niveau plus élevé que le taux de cholestérol. Du coup, il y a moins de gens qui ont du diabète que de gens qui ont du cholestérol. Ca entraine que les gens qui ont du diabète de type II ont en général du cholestérol. Alors que la proportion des gens qui ont uniquement du cholestérol est assez élevée.

Ça veut dire que l’état des diabétiques est en général plus dégradé que celui des gens qui ont du cholestérol.

Par ailleurs, l’organisme aide le sucre à entrer dans les cellules via l’insuline, qui est une sorte de cortisol boosté. Donc, pour qu’une personne n’arrive pas à absorber le sucre, il faut que les cellules et les tissus soient vraiment très remplis ; ou alors, que le pancréas (l’organe qui produit l’insuline), soit endommagé. Mais, généralement, ça vient après.

Et on peut se demander si le sucre n’est pas une sorte de cortisol en lui-même, de plus faible puissance, ce qui ferait qu’il entrerait déjà plus facilement que le cholestérol dans les cellules.

Donc, le diabète correspond à un état général plus dégradé que le cholestérol. Et logiquement, il concerne moins de monde.

Ici, on peut se demander comment il peut se faire que certains diabétiques n’aient pas de cholestérol. Ce qu’il faut voir, c’est que le mauvais cholestérol (LDL-c) est produit par le foie. Et puisque l’état des diabétiques est en général moins bon que celui des personnes ayant du cholestérol, ce qui peut se passer, c’est que chez certains diabétiques, le foie est lui aussi dégradé, ce qui fait qu’il produit moins de cholestérol (LDL). Donc, la personne va avoir du diabète, mais pas de cholestérol. Ce qui veut dire qu’un diabétique qui n’a pas de cholestérol est souvent dans un état pire qu’un diabétique qui a du cholestérol.

 

Et concernant ce qui peut favoriser un taux de cortisol élevé, on a les substances et les situations déjà vu de très nombreuses fois sur ce blog : la pilule pour les femmes, le café (source très importante), certains thés, la bière, les conservateurs dans les aliments, le stress, les anti-inflammatoires, le manque de sommeil, etc…

 

3) Surpoids et taux de cholestérol/diabète

 

Le lien de causalité entre le surpoids et le cholestérol ou le diabète devient alors logique. Le surpoids vient soit d’un excès de cortisol, soit du fait de manger trop, trop souvent (grignotage) ou/et trop sucré. Donc, les cellules et les tissus sont trop gonflés d’eau, ce qui fait qu’on prend du poids. Et l’autre conséquence du fait qu’ils soient gonflés en permanence est que les nutriments restent dans le flux sanguin, ce qui entraine un taux sanguin trop élevé de cholestérol et de sucre.

Et bien sûr, plus on est gros, et plus les cellules et les tissus sont gonflés en permanence, et moins ils acceptent de nouveaux nutriments. Donc, plus on est gros, plus les taux de cholestérol et de sucre augmentent. Donc, les obèses vont avoir souvent du cholestérol ou/et du diabète.

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Consommation de feuilles de coca, surpoids et problèmes dentaires

En regardant l’émission « échappées belles » sur la Bolivie, j’ai constaté que les femmes et les hommes vivant sur les hauts plateaux étaient souvent gros. Et beaucoup semblaient avoir des problèmes importants de dents assez jeunes. En effet, une proportion importante d’entre eux avait plusieurs fausses incisives et canines alors qu’ils avaient l’air de n’avoir que 30 ou 40 ans.

Or, on a pu voir dans l’émission que beaucoup de boliviens consomment de la coca en mettant une feuille dans la bouche, où elle distille lentement ses sucs.

A mon avis, les deux problèmes de surpoids et de dentition viennent de là. C’est la consommation de coca qui provoque ça.

En fait, les feuilles de coca ont un effet identique au café, c’est-à-dire une action anti-inflammatoire qui entraine une augmentation du taux de cortisol. Donc, ça fait grossir. En effet, un taux de cortisol élevé entraine une rétention d’eau dans les tissus et les cellules, en maintenant le cycle accumulation/vidange des cellules en position accumulation. Les cellules se remplissent trop d’eau, et ne se vident pas assez. Donc, l’eau s’accumule dans les tissus et les cellules, ce qui fait grossir. Autrement dit, il y a rétention d’eau.

L’effet est à différencier de la cocaïne festive, qui doit avoir généralement un mélange d’effet anti-inflammatoire et d’effet opiacé, ce qui provoque de l’euphorie. Donc, il doit y avoir ajout d’une substance à effet opiacé durant la mise au point de cette drogue. Mais la feuille de coca, elle doit avoir un effet uniquement anti-inflammatoire.

Et comme les feuilles sont gardées pendant des heures dans la bouche, ça endommage les dents. Là encore, l’augmentation trop prolongée du taux de cortisol doit être la cause du problème. La pulpe des dents doit être trop longtemps en mode accumulation d’eau et de nutriments et pas assez longtemps en mode vidange. Du coup, les cellules de la pulpe ne doivent pas pouvoir émettre assez de matériaux permettant de réparer la dentine et pas non plus assez d’eau pour hydrater la dentine. Ce qui fait qu’au bout d’un moment, la dentine n’est plus assez dense et est trop sèche, donc cassante, ce qui fait que les dents finissent par casser. D’où de nombreuses personnes assez jeunes qui ont des dents en moins.

Si c’était pris comme le café, c’est-à-dire en boisson, ça passerait dans la bouche pendant quelques secondes et ça n’affecterait ensuite pas plus cette dernière que le reste du corps. Ça continuerait à ne pas être bon pour les dents, mais à un degré nettement moindre. Mais là, comme l’effet est maximum au niveau de la bouche, c’est particulièrement mauvais pour les dents.

Il est possible aussi que les feuilles de coca distillent des substances oxydantes, ce qui participerait à endommager les dents, en les asséchant et en les rendant donc cassantes.

 

On peut penser également que les eaux des hauts plateaux de la Bolivie sont contaminées par les métaux lourds. Certains chercheurs mettent en avant la présence d’anciennes mines, qui relargueraient des métaux lourds des dizaines d’années après la fin de leur exploitation. Mais, je pense que ça va plus loin que les seules mines. L’eau qui est présente vient des nappes phréatiques et pas de l’eau de pluie, puisqu’il ne pleut pratiquement pas. Et c’est la plupart des nappes phréatiques qui doivent être contaminées, parce que les terres de la montagne elles-mêmes doivent être chargées en métaux lourds. Donc, ça ne doit pas être limité aux zones à proximité des anciennes mines.

Quoi qu’il en soit, les eaux sont souvent contaminées par les métaux lourds. Et ces derniers doivent remplacer les métaux essentiels que sont le sodium, le potassium et le calcium dans le corps.

Donc, la présence de métaux lourds doit abimer les dents en remplaçant le calcium.

Et le manque de sodium entraine une hausse du taux de cortisol, ce qui fait grossir. Cela dit, il est possible que les boliviens des hauts plateaux consomment naturellement plus de sel pour compenser. Dans ce cas, le taux de cortisol ne serait pas trop augmenté par la présence de métaux lourds. Et ce serait donc surtout la consommation de coca qui ferait grossir.

Et effectivement, on peut voir ici que les boliviens consomment beaucoup de sel (article de 2015) :

« Selon le dernier rapport de la Fondation interaméricaine du cœur (privée), chaque Bolivien consomme sept grammes de sel par jour, au-dessus des cinq grammes maximum recommandés par l’Organisation panaméricaine de la Santé. »

 

Bien sûr, les boliviens doivent consommer également du café, ce qui fait aussi grossir.

Règles douloureuses (dysménorrhées), manque de sel et maux de tête

Depuis quelque temps, je soupçonnais les dysménorrhées d’être causées par un manque de sodium. Mais, je ne voyais pas trop comment une telle chose pouvait arriver chez des femmes jeunes et à priori en pleine santé.

En y réfléchissant à nouveau, je viens de comprendre. En fait, il est tout à fait possible qu’une bonne partie des cas soit causée par les traitements des maux de tête.

C’est le cas de la fille d’une amie qui a provoqué le déclic. Elle souffre de migraine depuis des années. Et aussi de règles très douloureuses, des fois à la limite de l’évanouissement. Il y a quelques jours, j’ai appris que non seulement elle buvait du Red Bull, mais aussi des boissons caféinées contre la migraine. Et elle prend bien sûr aussi des anti-inflammatoires. Et même maintenant des opiacés. Tous contre la migraine.

Ainsi, à force de prendre régulièrement des anti-inflammatoires ou des analogues d’anti-inflammatoires et des opiacés, elle accélère le cycle remplissage/vidange des cellules. Du coup, celles-ci se vident de leur sodium. En effet, les anti-inflammatoires entrainent un remplissage des cellules, tandis que les opiacés provoquent une vidange. Et quand l’effet anti-inflammatoire n’est plus présent, il y a un phénomène de sevrage qui fait que les cellules se vidangent plus rapidement.

Au niveau des nerfs, le manque de sodium va diminuer l’intensité du signal électrique. Donc, le signal va avoir tendance, soit à ne pas passer du tout, soit à passer de façon trop forte et désordonnée. Bref, ça va entrainer des faiblesses musculaires et des crampes.

Durant les règles, les muscles de l’utérus vont travailler en effectuant des contractions. Mais, à cause du manque de sodium, ça va entrainer des crampes, ou en tout cas des contractions très fortes. D’où des douleurs intenses.

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Les dangers du stérilet au cuivre

Pendant longtemps, je n’ai pas trop su si le stérilet au cuivre était dangereux ou pas. C’était un peu un angle mort dans mon analyse des moyens de contraception modernes. Dans la mesure où ça ne semblait avoir qu’une action locale, ça ne semblait pas être une mauvaise idée. Cela dit, déjà, le fait qu’il puisse avoir une action spermicide laissait craindre le pire (voir Ameli : « le DIU au cuivre a un effet spermicide et rend les spermatozoïdes inactifs. »). Mais, on pouvait se dire que l’action n’étant que très locale, elle n’affectait pas le reste du corps.

En regardant une vidéo d’une femme ayant eu des problèmes avec le stérilet au cuivre, je crois avoir compris où est le problème.

 

Problème général des métaux lourds

 

En fait, le problème du cuivre est celui d’une grande partie des métaux lourds : ça doit prendre la place des métaux indispensables à la santé corporelle. C’est-à-dire le sodium, le potassium, le calcium, le fer et deux ou trois autres.

Par exemple, le fonctionnement des nerfs repose sur le sodium et le potassium. Celui des muscles sur le calcium. Celui des globules rouges sur le fer.

Donc, le cuivre va prendre la place du sodium et du potassium dans les nerfs, ce qui va provoquer une chute de la concentration de ces métaux. Donc, le signal électrique nerveux ne va plus bien passer. En fait, il va avoir ainsi tendance à alternativement soit ne plus passer du tout ou faiblement, soit à passer fortement de façon désordonnée.

Dans le premier cas, il y aura des faiblesses musculaires. Dans le second cas, il y aura des crampes. C’est pour ça que les femmes qui ont un stérilet en cuivre peuvent développer des règles douloureuses et une alternance de diarrhées et de constipation. Elles vont développer aussi des problèmes de douleurs dans le bas du dos parce que la concentration en sodium, potassium et calcium va être plus particulièrement basse dans les zones à proximité du stérilet.

D’ailleurs, le fait que ça rende les règles douloureuses est une chose avouée à demi-mots par la médecine officielle. On ne dit pas clairement que ça cause des douleurs menstruelles, mais on ne recommande pas le DIU au cuivre chez les femmes qui ont des règles douloureuses, parce que ça aggrave le problème. Mais, en fait, ça va le provoquer chez des femmes qui n’avaient aucun problème.

Evidemment, ça peut affecter le cœur et donc entrainer des palpitations cardiaques. C’est ce qui est arrivé à la femme de la vidéo. Mais, comme on a affaire à des femmes jeunes, ça ne va pas conduire à des crises cardiaques mortelles, ou alors très peu.

Ça va également affecter les sens, avec par exemple un gout modifié. Il pourra y avoir des démangeaisons, des picotements.

Ça va également affecter le cerveau. Donc, il y aura des pertes de mémoire, des faiblesses cognitives et éventuellement des crises d’épilepsie. Là, encore, comme les femmes qui utilisent le stérilet au cuivre sont jeunes, ça sera léger. Mais, ça pourra arriver chez certaines d’entre elles.

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