Le covid19 avait tout d’une grippe lambda, sauf pour deux caractéristiques.
Déjà, il y a le fait qu’un certain nombre de personnes soient mortes. Mais, c’est facile de tuer les gens à l’hôpital après les avoir mis sous respirateur artificiel. Il suffit de considérer qu’ils sont en phase terminale et de les débrancher tout en les maintenant sous hautes doses de morphine. Avec les hautes doses de morphine, la personne ne peut plus respirer. Et sans la ventilation mécanique, ils ne le peuvent pas non plus. Donc, ils meurent étouffés. Et les médecins n’ont même pas l’impression d’avoir fait quelque-chose de mal, puisqu’ils estiment que la personne allait mourir de toute façon. Au contraire, ils pensent avoir fait quelque-chose de positif en abrégeant les souffrances du patient. Et bien sûr, plein de gens mourraient pour d’autres raisons et étaient étiquetés après coup morts du covid. Donc, le nombre de mort n’était pas une caractéristique spécifique difficile à obtenir.
Par contre, il y a eu un symptôme spécifique qui semblait très nouveau et à priori pas facile à provoquer, c’était la perte de l’odorat.
Mais en fait, c’est tout simple, ça vient des tests. Ils ont fait le même coup que pour la polio, à savoir que les tests provoquent le symptôme le plus caractéristique de la maladie. Pour la polio, c’était la paralysie (causée par les ponctions lombaires, puis les injections dans la moelle épinière). Ici, c’est la perte d’odorat (l’anosmie).
Il devait y avoir un produit chimique très irritant sur le bout de certains bâtonnets de test. C’est pour ça que les tests étaient faits au fond du nez. C’est là qu’il y a les récepteurs olfactifs. Et on peut voir sur cette image où ils sont situés :
Comme on peut le voir, la muqueuse olfactive et donc les récepteurs olfactifs sont sur la partie supérieure du nez. Ce qui veut dire que la muqueuse olfactive est juste sur le chemin du bâtonnet du test. Donc, le bout de bâtonnet du test venait toucher et frotter la muqueuse olfactive et le produit chimique brulait les récepteurs. Ceux-ci sont faciles à atteindre pour le produit chimique, vu qu’ils sont à la surface de la muqueuse.
On peut voir sur cette illustration du New York Post la façon de réaliser un test de covid19 :
Ça va bien en haut du nez et donc, ça frotte la muqueuse olfactive.
D’ailleurs, au début, on ne comprenait pas du tout pourquoi ils tenaient absolument à faire le test à cet endroit. Ils pouvaient très bien le faire dans la bouche ou même simplement à l’entrée du nez. Vue la soi-disant extraordinaire spécificité de la PCR, qui peut détecter un morceau d’ADN au milieu de milliards d’autres, ça aurait dû pouvoir détecter le virus n’importe-où dans les cavités orales et nasales. Mais, à l’entrée du nez, il n’y a pas les récepteurs olfactifs. C’est ça le truc.
Je n’ai fait un autotest de covid qu’une fois, pour le noël 2020, pour rassurer la famille. Et comme je savais que c’était bidon et aussi qu’il y avait de nombreux témoignages d’irritation après le test, j’ai juste mis le bout de la tige au début du nez (1 cm à l’intérieur) pendant 2 secondes. Et pourtant, ça a suffi à m’irriter immédiatement le nez à cet endroit. Ensuite, ça a duré ensuite pendant 5 ou 6 jours. Et je n’ai pratiquement jamais le nez irrité à cette période de l’année.
Donc, une partie des tests devaient comporter des produits extrêmement agressifs, qui brulaient les récepteurs olfactifs et conduisaient à une perte de l’odorat. Ça ne devait concerner qu’une partie des tests, pour ne pas que tout le monde ait ce problème. Et pour certains, ça a dû conduire à une brulure telle qu’ils ont encore des problèmes des mois ou des années après.
On peut penser que si une personne avait le nez déjà enflammé à cause d’un rhume ou d’une grippe, le produit sur le bâtonnet rentrait plus facilement dans la muqueuse olfactive. Tandis que si la personne n’avait aucune irritation du nez, ça entrait plus difficilement. Donc, ça permettait d’inventer des cas de covid19 plus facilement sur les personnes ayant déjà des symptômes de rhume ou de grippe que sur des personnes en bonne santé.
Et bien sûr, ça permettait de moins attirer l’attention sur le test. Si la personne déjà malade avait le nez encore un peu plus enflammé avec le test, on pouvait dire que c’était juste les symptômes de la maladie qui s’aggravaient et que ça n’avait rien à voir avec le test. Et même, on pouvait dire que ça confirmait que c’était bien le covid19 et que la personne était passée à la phase « perte d’odorat ».
Et on peut penser également que les concepteurs de l’arnaque ont fait en sorte d’avoir plus de tests avec le produit chimique irritant durant les phases de pics de l’épidémie. Tandis que durant les phases d’accalmie, peu de tests comportaient le produit chimique.
Par ailleurs, ils ont dû utiliser différents produits chimiques, plus ou moins agressifs. Ainsi, pour certaines personnes, la perte d’odorat ne devait durer que quelques jours ou quelques semaines ; tandis que pour d’autres, ça pouvait durer pendant des mois ou même des années.
Il faut dissocier le fait qu’un test ait le produit chimique et le fait qu’il soit positif. Un test pouvait devenir positif (soit parce que la personne avait le nez encombrés de morve, ce qui devait positiver le test, soit parce que le test avait été trafiqué à la base pour réagir positif très facilement) sans qu’il ne comporte le produit chimique. Ça devait d’ailleurs représenter la grande majorité des cas. Par contre, s’il avait le produit chimique, il devait réagir pratiquement toujours positif.
Certaines personnes ont dû avoir une perte d’odorat avant d’avoir le test. Donc, ça semble contredire l’idée que la perte d’odorat vient du test. Mais, dans de nombreux cas de ce genre, elles avaient tout simplement déjà développé des symptômes de rhume ou de grippe. Et quand on a le nez pris, on a l’odorat amoindri. Donc, ça n’a rien de surprenant. Et si l’anosmie a continué ensuite, c’est certainement parce que ces personnes ont passé un test de covid et que ce dernier a brulé les récepteurs olfactifs.
Alors, il est possible que pour certaines personnes, la perte d’odorat soit venue d’un autre problème. Il y a apparemment de nombreux cas d’anosmie chaque année, pour diverses raisons. Mais, pour la grande majorité des gens, ça a dû venir de là.
Bien sûr, le fait que le test ait été trafiqué pour provoquer le symptôme de perte d’odorat montre que dès le départ, toute l’affaire du covid19 relevait d’une conspiration de l’élite. Mais bon, je crois que ça, tous les gens qui pensent un minimum l’avaient compris.
PS1 : Au passage, le fait que le covid19 ait provoqué des pertes d’odorat est totalement absurde. Si ça s’attaquait aux nerfs du nez, on ne voit pas pourquoi ça ne le ferait pas ailleurs. Il aurait dû y avoir des problèmes neurologiques majeurs (perte de gout, d’ouïe, de toucher, de vue, paralysies, etc..).
Mais, avoir une attaque des seuls nerfs olfactifs, c’est impossible. Un virus se répandant assez uniformément dans tout l’organisme (théorie officielle), il ne peut pas attaquer seulement un groupe de nerfs en particulier, surtout sur une zone aussi réduite. Dans ce cas d’ailleurs, on ne voit pas pourquoi il n’y aurait pas eu une perte de sensibilité de l’ensemble du nez. Celui-ci aurait dû ne plus réagir au toucher.
Et si l’argument devenait tout d’un coup que le virus s’attaquait aux bulbes olfactifs spécifiquement, ça serait tout aussi absurde ; car rien ne les distingue fondamentalement des autres cellules pour le développement viral.
PS2 : Bien sûr, il a dû y avoir des gens qui ont menti à propos de ce symptôme de perte d’odorat. Il y a toujours des menteurs pathologiques.
Il y a aussi des exagérateurs pathologiques. Certains ont dû avoir une grosse grippe et une diminution du gout pendant 10 jours parce que leur nez était pris. Et ils ont dit que ça avait duré 3 semaines et qu’ils ne sentaient plus rien et qu’ils avaient perdu totalement le gout.
Et il a dû y avoir des gens qui se sont servi du covid pour se payer des vacances chez eux aux frais de leur employeur, et qui ont trouvé bon de dire qu’ils avaient eu ce symptôme pour qu’aucun doute ne soit permis sur le fait qu’ils aient vraiment eu le covid.
Donc, une partie des témoignages sont faux. L’élite a bénéficié ici des défauts et des intérêts humains.
PS3 : Quand on fait une recherche sur les réactions des gens aux tests de covid19, on s’aperçoit que les médias aux ordres ont cherché à détourner l’attention du vrai problème. Ils ont reconnu que les tests pouvaient induire des irritations au niveau du nez. Mais, ils se sont concentrés surtout sur le risque que le test abime la barrière encéphalique. Bien sûr, ça ne doit pratiquement jamais être le cas. Donc, c’était facile d’innocenter les tests pour ce problème.
Mais en fait, le but des médias était de détourner l’attention du vrai problème et du vrai but des tests faits dans le fond du nez, à savoir fournir un symptôme vraiment spécifique à une maladie qui, sans ça, n’en aurait pas vraiment eu. Ça n’aurait été qu’une grippe lambda. Mais là, tout d’un coup, avec de nombreuses personnes qui avaient ce symptôme de perte d’odorat, plus personne ne pouvait dire que c’était une grippe ordinaire. Enormément de gens connaissaient au moins une personne dans leur entourage qui avait eu ce symptôme. C’est d’ailleurs mon cas. Dans mes connaissances, je connais une personne qui dit avoir perdu l’odorat pendant 2 ou 3 mois.
Les médias officiels ont également parlé du fait que les tests pouvaient entrainer des saignements du nez. Mais, l’explication était que c’était le frottement du bâtonnet ou le fait que le bout se plantait dans la muqueuse qui causait le problème, et pas des produits chimiques. Donc, là aussi, ça a permis de détourner les gens de l’idée qu’il y avait des produits chimiques agressifs sur les bâtonnets.
Bien sûr, le taux de mortalité était une autre caractéristique spéciale de cette maladie. Mais, comme on l’a vu, ça peut facilement s’obtenir. L’arnaque est évidente. D’ailleurs, les conspirationnistes ont immédiatement vu le truc. Par contre, pour la perte de l’odorat, c’est plus difficile de comprendre où se situe l’astuce. Et effectivement, je ne crois pas avoir vu l’explication. Mais bon, je n’ai pas lu tous les articles conspirationnistes sur le sujet, ni tous les commentaires.
PS4 : On apprend ici qu’il y a des bâtonnets de diverses longueurs :
« Il existe trois principaux types d’écouvillonnage nasal Covid : nasopharyngé (le plus profond), mi-turbiné (le moyen) et narinaire antérieur (la partie peu profonde du nez). Au début de la pandémie, l’écouvillonnage nasal profond a été administré à grande échelle et de manière agressive aux adultes, car la méthode a fonctionné lors des tests de dépistage de la grippe et du SRAS. Bien que la science évolue, les experts s’accordent à dire que l’écouvillonnage le plus profond est le plus précis.
Selon un examen des études publié en juillet dans PLOS One, une revue scientifique, les écouvillons nasopharyngés sont précis à 98 % ; les écouvillons peu profonds sont efficaces à 82 % à 88 % ; les écouvillons mi-turbinés ont des performances similaires.«
Donc, là aussi, ça permettait de faire varier le pourcentage de personnes ayant une perte d’odorat. Avec les bâtonnets les plus courts, le pourcentage devait être très faible alors qu’avec les bâtonnets les plus longs, le pourcentage était bien plus élevé.