Cause de la guérison à l’hôpital de certaines maladies : les antibiotiques ou la réhydratation ?

Quand on prend conscience des effets létaux des antibiotiques, ou de leur effet oxydant, on est amené à se poser des questions sur les cas de guérison revendiqués pour ces médicaments, ainsi que l’histoire des ces médicaments. Comment se fait-il que ces médicaments aient été présentés comme une solution à des infections graves comme les cas de tuberculose avancée par exemple ? Alors qu’on voit difficilement ce qu’ils pourraient apporter à ce genre de maladie.

Autant, pour des infections ou le problème vient d’une surcharge de protéines, ils peuvent avoir un effet de fluidification du sang qui va améliorer les symptômes pendant quelques heures (comme pour les corticoïdes) ; autant là, on ne voit pas comment ça pourrait avoir un quelconque effet positif.

En ce qui concerne l’histoire des antibiotiques, on entend parler à leur égard d’un effet Lazare quand ils ont été introduits. Bon, ça pourrait être un mensonge de plus inventé pour faire vendre ces médicaments lors de leur introduction. Possible. Mais, il est possible aussi qu’il y ait une certaine réalité derrière ça. Pour la tuberculose en phase avancée traitée à l’hôpital, c’est quand même moins facile de bidonner les rapports. Pour une maladie comme la syphilis, ce n’est pas compliqué, mais là, pour des gens à l’hôpital, il y a une certaine probabilité que ce soit une chose exacte. Surtout que c’est un phénomène qui existe toujours. On met peut-être un peu moins l’accent sur le coté « effet Lazare » qu’à l’époque. Mais un gars qui arrive à l’hôpital avec une tuberculose en étant fortement déshydraté, à quand même une assez bonne chance de s’en sortir.

C’est en prenant conscience de l’importance de l’eau en faisant des recherches diverses sur le sujet que j’ai fini par comprendre ou était le truc probablement. En fait, ce qu’il faut savoir, c’est que les perfusions systématiques n’ont été généralisées que vers la fin des années 40, grâce à une invention de Baxter (qui a fondé la société du même nom). Avant, il fallait qu’une infirmière reste présente à coté du patient pendant tout le temps de la perfusion. Du coup, la perfusion était très peu utilisée.

Donc, l’usage des antibiotiques a été généralisé en même temps que celui des perfusions. Ils ont peut-être même été introduits exactement en même temps que les perfusions. Puisque pour certaines maladies en phase avancée, il était peut-être hors de question de donner l’antibiotique par voie orale.

Or, pour pas mal de maladies, le problème principal, c’est la déshydratation. Pour de nombreux cas de tuberculose avancée, c’est flagrant. Les malades n’ont plus que la peau sur les os. Alors, bien sur, c’est dû en partie à de la sous-nutrition. Mais même en étant sous nourris, on n’arrive pas à un état de maigreur pareil (enfin bon, très rarement). Il y a forcément une déshydratation sévère.

Et bien sur, si on met la personne sous perfusion, celle-ci étant réhydratée, elle va aller beaucoup mieux tout d’un coup. En quelques jours, la personne va être remise sur pieds. Un effet Lazare quoi.

Donc, on peut penser que ce n’est pas du tout les antibiotiques qui sont à l’origine de l’effet Lazare sur de nombreux types de maladies, ou plus généralement, de la guérison de ces patients, mais la réhydratation obtenue grâce aux perfusions. C’est l’hypothèse la plus évidente et la plus logique. Une personne arrive complètement déshydratée. On la réhydrate. Elle va mieux. Ben, normal quoi.

Or, la gloire des antibiotiques repose en grande partie sur ces cas d’effet Lazare et de soi-disante guérison de ce type de maladie, sur l’idée que ce sont les antibiotiques seuls qui étaient à l’origine de ces effets bénéfiques. Quand on met en cause les antibiotiques, souvent, un partisan de la médecine officielle va remonter à ce qui s’est passé lors de l’introduction des antibiotiques et va sortir cette histoire de l’effet Lazare ou, plus proche de nous, va nous dire que telle maladie est guérie nettement par les antibiotiques.

Oh, bien sur, de nos jours, les médecins doivent reconnaître en partie l’apport de la perfusion de sérum physiologique pour la guérison du patient. La position d’un certain nombre doit être que la mise sous perfusion aide à sortir de la phase critique, mais : position 1) que l’antibiotique participe à cette amélioration immédiate, et ensuite permet de ne pas rechuter, ou : position 2) que l’antibiotique, effectivement, n’apporte rien lors de cette phase, mais il permet de ne pas rechuter. Ca doit être un truc comme ça. Mais pour la partie historique du truc, là, on oublie bien à propos l’apport de la mise sous perfusion, et on ne garde que l’apport des antibiotiques. Et en remontant jusqu’à maintenant, ça permet de dire que ça prouve que c’est bien l’antibiotique le responsable principale de l’amélioration de la survie des patients qui ont ce genre de maladie entraînant des déshydratations intenses.

Bien sur, comme les antibiotiques ne soignent rien du tout, mais au contraire, sont dangereux (voir la page sur les antibiotiques), surtout pour des gens très amaigris, il devait (et il doit y avoir toujours maintenant) y avoir un certain nombre de morts causés par les antibiotiques. Mais dans ces cas là, pas de problème, on disait (et on dit encore) que la maladie était tout simplement trop avancée pour que les antibiotiques agissent. Tandis que si le patient s’en sort (grâce à la perfusion de sérum physiologique), on dit que c’est grâce aux antibiotiques. Face je ne perds pas et pile je gagne.

Le problème pour la médecine orthodoxe, c’est qu’évidemment, les conditions qui font qu’un habitant d’un pays pauvre se retrouve complètement déshydraté ont des chances de perdurer. Donc, une personne qui a été mise sous perfusion (tout en étant traitée par antibiotique évidemment) et qui a été remise sur pied, risque de rechuter. Voir de rechuter rapidement. C’est complètement logique avec l’idée de la déshydratation. Ca l’est moins avec la théorie que ce sont les antibiotiques les responsables de la guérison. Donc, ils ont été obligés d’inventer les résistances aux antibiotiques. Si un gars est à nouveau amaigri et déshydraté, ce n’est pas parce qu’il fait trop chaud, et qu’il ne peut pas manger ni boire à sa faim. Non, c’est que le microbe était résistant aux antibiotiques.

Pourquoi le lait de vache est mauvais pour le bébé

Sur les sites de santé naturelle, on accuse souvent le lait d’être mauvais pour le bébé. Mais à mon avis, on tombe plus ou moins à coté de la vraie raison. On accuse les chaines lipidiques d’être plus longues que celles de l’être humain. Pourquoi pas ? C’est peut-être un facteur. C’est sur que par rapport au problème que j’envisage, ça ne doit pas aider. La présence de certaines hormones en plus ou moins grandes quantités est probablement un facteur également. Mais la raison principale me semble celle-ci.

Le lait de vache contient 3 fois plus de protéines que le lait humain. C’est surtout ça le problème.

Comme déjà vu dans le site, l’excès de protéines engendre des tas de problèmes ORL : rhumes, grippes, bronchites, etc… Et c’est exactement de quoi souffrent surtout les bébés dans nos contrées.

On entend régulièrement chez les jeunes parents : « il vient de rechuter de son rhume », « il fait bronchite sur bronchite ». Ben ouai, forcément.

Là dessus vont parfois s’ajouter les problèmes liés à l’usage subséquent des antibiotiques pour « soigner » ces problèmes ORL. Les effets connus des antibiotiques sont des éruptions cutanées, des maux de ventre. Et on va assister à des réactions du genre : « oh, mon enfant a des plaques rouges, je ne comprends pas », « oh mon enfant vomit, je ne comprend pas ». Ce qui est moins connu, ce sont les effets sur le cerveau (voir mon article sur les antibiotiques). Et on va avoir droit (heureusement beaucoup plus rarement) à des : « oh mon enfant a des vertiges, un état de confusion, je ne comprends pas ».

Et les parents, dans la plupart des cas, ne vont pas penser au problème de l’antibiotique, puisque pour eux, comme tout le monde a l’air d’en prendre sans qu’il y ait de complication, ce sont comme des petites pilules inoffensives. Donc, ils vont avoir tendance à ne pas accuser l’antibiotique.

Le problème, c’est que comme plein de femmes nourrissent leur enfant au biberon, elles finissent par croire, en échangeant leurs expériences, que ces problèmes sont normaux et que c’est simplement un problème normal de croissance. Comme c’est un problème généralisé, ça prend l’allure de la normalité. Alors que ce n’est pas normal du tout et que c’est le lait de vache le responsable.

Evidemment, quand on entend les femmes qui allaitent au sein parler de leur bébé, le discours est très différent. On entend régulièrement dire que le bébé va très bien, qu’il n’est quasiment jamais malade.

Pourquoi ces problèmes disparaissent petit à petit ? C’est qu’une fois la phase de plus forte croissance finie, la proportion de protéines dans l’alimentation de l’enfant doit diminuer. Donc, les problèmes sont moins fréquents. Ce qui n’empêchera pas l’enfant de subir des surcharges en protéines aux mêmes périodes que les adultes, lors des fêtes de fin d’année principalement.

Bref, lait de vache chez les nourrissons égale problèmes à répétition.

Ce que j’apporte à la médecine

Quelles sont les théories originales que j’apporte.

Remise en cause des bactéries pathogènes (ça existe plus ou moins, mais pas de façon aussi radicale)
Remise en cause de l’existence des virus
Remise en cause de la validité des tests d’anticorps
Remise en cause de la validité de la méthode PCR
Remise en cause de la validité des tests d’ADN
Remise en cause de la structure de l’ADN
Remise en cause de l’existence du système immunitaire
Remise en cause de l’existence des cancers (il n’y a que des tumeurs selon moi, pas de métastases)
Etablissement du danger des antibiotiques
Etablissement du danger des anti-inflammatoires
Etablissement du problème du cycle des protéines et du danger d’en absorber de trop grandes quantités
Précision à partir de cette théorie, de la théorie de l’encrassement dont on entend parler par-ci par-là
Etablissement de la cause a priori la plus fréquente du cancer (pas totalement original, j’accole deux théories existantes, mais peu connues et j’y ajoute ma théorie des protéines)
Etablissement de la raison de l’echec de certaines greffes et le fait qu’il n’y a pas besoin de prendre des médicaments anti-rejet éternellement.
Etablissement des vraies causes pour un certain nombre de maladies
Révision de l’histoire de la médecine

Les théories que je reprends, mais qui s’insèrent dans ma vision de la médecine :

Un certain nombre de théorie sur l’alimentation
En partie les théories de Fereydoon Batmanghelidj
Les théories de René Quinton

Remise en cause de l’origine virale des grippes et des rhumes

Passons à la critique de l’origine virale des grippes et rhumes.

Déjà, je doute fort que le virus de la grippe et du rhume aient été isolés en respectant les postulats de Koch. C’est en 1933 que les chercheurs Andrewes, Smith et Laidlaw découvrent le virus de la grippe (isolé à partir de furets, virus grippal A). Le 17 janvier 1949, le docteur Lépine de l’institut Pasteur à Paris et le docteur Muller de l’université de Leyde aux Pays-bas réussissent à identifier 2 virus de la grippe et en isolent un troisième.

Apparemment, le virus n’a été testé que sur des furets et des souris, jamais sur des hommes. Donc, le 3ème postulat de Koch n’est pas respecté. Par ailleurs, en 1933, isoler un virus n’avait pas du tout la même signification qu’aujourd’hui. On ne pouvait pas l’identifier au microscope, ni le cultiver, ni en identifier les protéines et l’ADN. La seule chose qu’on pouvait faire, c’était purifier un échantillon sanguin en ne gardant que les particules de taille inférieures à 200 nm, et infecter des souris ou autres animaux de ce genre, et voir si elles tombaient malades. Donc, en aucun cas, il ne s’agissait d’un isolement de virus.

En 1949, on n’avait que le microscope électronique comme instrument d’identification du virus. Donc, on ne pouvait qu’identifier les virus visuellement. On ne pouvait toujours pas faire de culture, ni identifier les protéines et l’ADN. Or, sans identification des protéines et de l’ADN, on ne peut pas dire si on a bien tel virus ou pas. Et sans culture, on ne peut pas savoir si la particule qu’on a devant soi est virale ou produite par les cellules. Donc, en 1949, il ne s’agissait pas non plus d’un isolement.

Bon, mais le problème de l’isolement est une chose. Mais, est-ce que par ailleurs, les caractéristiques de la maladie sont cohérentes avec ce qu’on observe sur le terrain ?

Bien sur, comme la maladie se répand rapidement en hiver, puis se résorbe tout aussi rapidement, ça a un coté « épidémique » qui semble s’accorder avec l’hypothèse microbienne.

Seulement, pourquoi la maladie devrait-elle frapper uniquement durant les mois d’hiver ? C’est complètement illogique. Ca devrait frapper toute l’année. Au contraire, vu que le virus se développe dans un corps à 37 C°, il devrait survivre dans l’air, et donc, se propager beaucoup plus facilement durant les mois chauds que durant les mois froids. Ou alors, ça devrait frapper aléatoirement, parfois en hiver, parfois au printemps ou en été, mais pas tout le temps en hiver.

Et pourquoi la maladie devrait venir invariablement de Chine ? Soi-disant, ça viendrait des élevages de porcs et autres animaux de ferme. Comme s’il n’y avait pas ce genre d’animaux ailleurs. Et bien sur, ça viendrait tous les ans en hiver, réglé comme une horloge. Le truc clairement bidon.

D’ailleurs, pourquoi les pays chauds n’ont pas d’épidémie à date fixe, comme chez nous ? Pourquoi le virus qui se propage de la Chine à l’Europe, n’en profite pas pour se propager en Afrique ? Comment se fait-il qu’en Afrique, les cas de grippe soient répartis de façon plutot homogène sur l’ensemble de l’année ? C’est absurde. Soit le virus se comporte d’une façon, soit d’une autre (le comportement africain étant le plus logique d’ailleurs), mais pas de deux façons différentes.

Comment se fait-il que, dans une famille, le virus, qui par ailleurs a l’air de se propager si facilement, ne touche souvent qu’une personne et pas les autres ?

Pourquoi n’attrape-t-on en général qu’un ou deux rhumes par an, alors qu’il y a soi-disant des centaines de souches qui se balladent dans la nature et contre lesquelles ont n’est pas protégés (et donc, contre lesquelles notre système immunitaire ne peut strictement rien) ?

Et (même réflexion que pour le VIH d’ailleurs), si le virus mute si souvent, comment se fait-il que le virus n’ait pas des caractéristiques qui changent ? Quand on sait que 2 % de mutation génétique nous séparent du chimpanzé, on se dit qu’une mutation de cette ordre chez un virus, qui a un ADN supposé beaucoup moins complexe que le notre, devrait complètement modifier le virus en question.

La vraie cause des grippes et des rhumes

Avec la grippe, on est exactement au coeur des deux problématiques précédentes : il n’y a pas de virus, et il s’agit d’un problème lié aux protéines. Et en plus, c’est un sujet d’actualité.

Quelles sont les vraies causes de la grippe ? En fait, dans la lignée de l’article précédent, je pense qu’il s’agit simplement et principalement d’un problème de trop plein de protéines. Les protéines étant des éléments de structure, par ailleurs non stockables, il est clair qu’il ne faut pas en absorber trop. Sinon, étant incapable de les stocker, le corps va devoir les éliminer.

En gros, on va avoir ça. A cause d’une alimentation trop riche en protéines (une alimentation occidentale classique quoi), le sang est encombré de protéines. Et à un moment, le corps ne va plus pouvoir éliminer le surplus de protéines par les voies classiques. On arrive alors au point ou une réaction violente se fait : c’est alors le rhume, ou l’angine, ou la grippe. Est-ce qu’elle est provoquée par le corps lui-même, ou est-ce que c’est purement chimique et donc automatique (atteinte d’un point ou une réaction s’enclenche) ? Ou un peu des deux ? Je ne sais pas. Mais en tout cas, il y a élimination de cet excès de protéine. La grippe et le rhume sont des processus d’élimination.

Divers déclencheurs peuvent provoquer la réalisation du processus d’élimination sous le niveau d’excès de protéines qui aurait provoqué le déclenchement du processus normalement.

Un coup de froid par exemple, en provoquant un stress oxydatif au niveau des bronches, du nez, etc…, va peut-être être le point de départ du processus d’élimination, en favorisant la polymérisation des protéines en surplus.

Le ressèrement des veines sous l’action du froid va également entrainer d’un coup une concentration beaucoup plus importante des protéines dans les vaisseaux touchés par le resserrement, ce qui peut provoquer la mise en marche du processus de polymérisation.

Le fait de manquer de sommeil ou d’être stressé, va peut-être aussi enclencher prématurément le processus d’élimination. En effet, le fait d’être fatigué ou stressé va libérer du cortisol dans l’organisme. Le cortisol agit comme un désagrégateur de protéines. Donc, il va désagréger les protéines. Mais, ce faisant, il va rendre leur élimination moins facile. Le taux de protéines dans le sang va encore monter un peu plus. Et quand la période de stress va se terminer, ou être moins forte, la quantité de protéines ayant dépassé le niveau à partir duquel le processus s’enclenche, le rhume ou la grippe va apparaitre. Une déshydratation aussi peut provoquer le déclenchement du processus. Donc, il va s’agir souvent de stress, parfois de déshydratation, etc… Inversement, quelqu’un qui boit beaucoup va peut-être arriver à garder une quantité de protéines qui, autrement, aurait engendré un rhume ou une grippe.

En plus du processus d’élimination, le cerveau va supprimer la sensation de faim pour que la personne arrête de s’alimenter. Ce qui permet de vider les stocks de protéines. Il ne faut donc pas s’affoler quand un enfant qui a une grippe n’a pas faim. Ca ne veut pas dire qu’il est à l’article de la mort. C’est un élément normal du processus d’élimination.

Donc, d’un coté, il va y avoir la mise en place d’un processus spéciale (et rapide) d’élimination des protéines, et de l’autre, il va y avoir arrêt de l’apport de protéines. C’est pour ça que la guérison se fait en seulement 7 jours en général.

Evidemment, une fois qu’on a compris ça, on comprend également que les grippes ne sont jamais que la forme plus forte des rhumes. Fondamentalement, il n’y a rien de différent. C’est simplement un encrassement plus important de l’organisme.

Ce n’est donc pas un hasard si le gros des cas de rhumes et grippes se concentre en hiver, et spécialement au moment des fêtes de noel. A ce moment-là, on a une alimentation plus riche en protéines et graisses qu’en été, ou on mange plus de verdure et de fruits (parce que c’est la saison bien sur, et aussi à cause de la chaleur). Le moment des fêtes de noel va être l’occasion de repas très riches. Donc, si une personne est déjà limite en ce qui concerne son taux de protéines (parce que depuis quelques mois, son alimentation est devenue plus riche en protéines), les fêtes de noel vont être l’occasion d’un dépassement de la limite et donc, de l’apparition d’un rhume ou d’une grippe. Et comme, lors des mois de janvier et de février ça fait longtemps que les gens sont en surplus de protéines, les risques de dépassement de la limite restent importants. Par ailleurs, comme il fait froid, et que le froid est un déclencheur, ça augmente les risques d’attraper un rhume ou une grippe. Le fait de manger moins d’aliments contenant des antioxydants (fruits surtout) entraine que le niveau d’antioxydants est plus bas dans l’organisme, ce qui fait qu’un stress oxydatif peut servir de blancheur.

C’est aussi à cause de l’alimentation que les enfants ont des problèmes ORL à répétition. On leur donne du lait de vache qui contient 3 fois plus de protéines que le lait maternel. C’est comme si vous preniez 3 steaks au lieu d’un à tous les repas, et même au petit déjeuner. Rapidement, vous auriez les même problèmes que les enfants.

Le végétariens ne sont pas épargnés par les rhumes et les grippes parce qu’en fait, ils mangent pas mal de protéines eux aussi. Beaucoup de végétaux contiennent une forte proportion de protéines : céréales et légumineuses. Par ailleurs, beaucoup de végétariens s’autorisent à manger des produits lactés, voir des oeufs (et même parfois du poisson). Et puis, ils continuent naturellement à manger de façon assez classique, avec des plats élaborés. Or, ce genre de cuisine se fait en général avec des légumineuses et des céréales, qui contiennent, comme on l’a vu, pas mal de protéines.

Par ailleurs, ils sont pris dans le mythe du besoin de protéines. Les nutritionnistes insistent sur le fait que les végétariens risquent d’avoir des carences en protéines. Du coup, de nombreux végétariens en font trop et mangent autant, voir plus de protéines que s’ils mangeaient de la viande. Ils vont compenser en mangeant beaucoup de légumineuses, de céréales et de tofu, voir des steaks végétaux (avec du tofu souvent). Et du coup, ils n’échapperont pas aux symptômes provoqués par l’excès de protéine. En plus, ils croient que comme c’est végétal, il n’y a pas de risque. Ils pensent que le problème, c’est la qualité des protéines et que les protéines végétales sont sans danger. Donc, ils ne se méfient absolument pas. Donc, si déjà, ils ne se souciaient pas des problèmes d’excès de protéines, vu que des nombreux végétaux en contiennent beaucoup, ils en mangeraient pas mal, mais comme ils s’en soucient, ils en absorbent autant, voir plus que des gens gardant une alimentation classique. Bien sur, ce n’est pas le cas de tous les végétariens, mais de beaucoup quand même.

La solution pour ne plus jamais avoir de rhumes et de grippe est donc très simple : il suffit de changer d’alimentation pour un régime contenant beaucoup moins de protéines que le régime classique occidental.

Oui, mais la plupart des aliments contiennent beaucoup de protéines. Donc, comment faire ? Quels sont les aliments qu’ils faut privilégier pour diminuer la quantité de protéines absorbées ? La viande, ce n’est pas bon, les laitages non plus, les légumineuses non plus, les céréales non plus. Que reste-t-il ? Les fruits et la plupart des légumes. Ce n’est pas un hasard si c’est aussi la partie essentielle du régime des singes.

Bien sur, ça ne signifie pas qu’il ne faille manger que de ça. Mais il faut réduire fortement la part des aliments carnés (viande, oeufs, laitages divers) pour privilégier ce type d’alimentation.

Mon expérience a ce sujet est assez concluante, vu que je n’ai plus eu aucune grippe ou rhume, ou quoi que ce soit y ressemblant depuis l’été 2002 (donc 4 ans 1/2), date à laquelle j’ai changé d’alimentation pour un régime contenant beaucoup plus de fruits, et beaucoup moins de viandes, laitages, etc…

En règle générale, je mange un repas qui contient uniquement des fruits et du jus de fruit, un repas du même genre, mais avec des produits oléagineux (fruits oléagineux, ou du pain avec de l’huile de noix), et un repas classique. Bien sur, ce n’est pas parfait et je fait des écarts. Par exemple, même si on est bien approvisionnés dans nos pays occidentaux, il est difficile d’avoir des bons fruits durant les inter-saisons (le mois de mars par exemple, est vraiment vide). Donc, je me rabats alors sur des jus de fruits et par exemple des pamplemousses. Détail, j’ai remarqué que les petits gateaux ont tendance à faire mal à la gorge.

Par ailleurs, c’est assez facile de voir venir un rhume avec cette alimentation, si on fait des écarts. Aussitôt, le nez se met à être plus encombré, la gorge aussi, le nez est plus bouché. Aussi, avant qu’un rhume n’apparaisse, il y a plein de symptômes annonciateurs qui laissent largement le temps de se reprendre et d’empêcher l’arrivée du rhume.

Donc, évidemment, puisque la grippe et le rhume ne sont pas des maladies virales, ça ne sert strictement à rien de se faire vacciner.

D’ailleurs, fort des ces informations, on peut être sur qu’on ne verra jamais un vaccin contre le rhume (j’entends, un vaccin efficace à 95 %). Puisqu’il s’agit d’une maladie liée à l’alimentation, et malgré les manipulations statistiques qui sont la norme dans le monde médical, il serait impossible de masquer l’inefficacité quasi totale du vaccin. A moins d’inventer une nouvelle maladie reprenant exactement les symptômes du rhume et dans laquelle on mettrait les cas anciennement considérés comme des rhumes. Ou à moins que les gens se mettent à manger des aliments moins riches en protéines. Auquel cas, les médecins pourraient sortir un vaccin pour revendiquer cette baisse (comme ils l’ont fait pour un certain nombre de maladies, dont les cas n’ont baissé que grace à l’amélioration des conditions de vie).

Note : ce n’est pas une vision nouvelle. L’idée d’un processus d’élimination a déjà été abordé par d’autres. Par contre, ce que j’apporte, c’est l’idée de l’excès de protéines, qui permet de préciser beaucoup plus l’origine du problème, et le processus à l’oeuvre. L’encrassement, ca reste assez flou. L’excès de protéines, c’est beaucoup plus précis.