Ce que j’apporte à la médecine

Quelles sont les théories originales que j’apporte.

Remise en cause des bactéries pathogènes (ça existe plus ou moins, mais pas de façon aussi radicale)
Remise en cause de l’existence des virus
Remise en cause de la validité des tests d’anticorps
Remise en cause de la validité de la méthode PCR
Remise en cause de la validité des tests d’ADN
Remise en cause de la structure de l’ADN
Remise en cause de l’existence du système immunitaire
Remise en cause de l’existence des cancers (il n’y a que des tumeurs selon moi, pas de métastases)
Etablissement du danger des antibiotiques
Etablissement du danger des anti-inflammatoires
Etablissement du problème du cycle des protéines et du danger d’en absorber de trop grandes quantités
Précision à partir de cette théorie, de la théorie de l’encrassement dont on entend parler par-ci par-là
Etablissement de la cause a priori la plus fréquente du cancer (pas totalement original, j’accole deux théories existantes, mais peu connues et j’y ajoute ma théorie des protéines)
Etablissement de la raison de l’echec de certaines greffes et le fait qu’il n’y a pas besoin de prendre des médicaments anti-rejet éternellement.
Etablissement des vraies causes pour un certain nombre de maladies
Révision de l’histoire de la médecine

Les théories que je reprends, mais qui s’insèrent dans ma vision de la médecine :

Un certain nombre de théorie sur l’alimentation
En partie les théories de Fereydoon Batmanghelidj
Les théories de René Quinton

Remise en cause de l’origine virale des grippes et des rhumes

Passons à la critique de l’origine virale des grippes et rhumes.

Déjà, je doute fort que le virus de la grippe et du rhume aient été isolés en respectant les postulats de Koch. C’est en 1933 que les chercheurs Andrewes, Smith et Laidlaw découvrent le virus de la grippe (isolé à partir de furets, virus grippal A). Le 17 janvier 1949, le docteur Lépine de l’institut Pasteur à Paris et le docteur Muller de l’université de Leyde aux Pays-bas réussissent à identifier 2 virus de la grippe et en isolent un troisième.

Apparemment, le virus n’a été testé que sur des furets et des souris, jamais sur des hommes. Donc, le 3ème postulat de Koch n’est pas respecté. Par ailleurs, en 1933, isoler un virus n’avait pas du tout la même signification qu’aujourd’hui. On ne pouvait pas l’identifier au microscope, ni le cultiver, ni en identifier les protéines et l’ADN. La seule chose qu’on pouvait faire, c’était purifier un échantillon sanguin en ne gardant que les particules de taille inférieures à 200 nm, et infecter des souris ou autres animaux de ce genre, et voir si elles tombaient malades. Donc, en aucun cas, il ne s’agissait d’un isolement de virus.

En 1949, on n’avait que le microscope électronique comme instrument d’identification du virus. Donc, on ne pouvait qu’identifier les virus visuellement. On ne pouvait toujours pas faire de culture, ni identifier les protéines et l’ADN. Or, sans identification des protéines et de l’ADN, on ne peut pas dire si on a bien tel virus ou pas. Et sans culture, on ne peut pas savoir si la particule qu’on a devant soi est virale ou produite par les cellules. Donc, en 1949, il ne s’agissait pas non plus d’un isolement.

Bon, mais le problème de l’isolement est une chose. Mais, est-ce que par ailleurs, les caractéristiques de la maladie sont cohérentes avec ce qu’on observe sur le terrain ?

Bien sur, comme la maladie se répand rapidement en hiver, puis se résorbe tout aussi rapidement, ça a un coté « épidémique » qui semble s’accorder avec l’hypothèse microbienne.

Seulement, pourquoi la maladie devrait-elle frapper uniquement durant les mois d’hiver ? C’est complètement illogique. Ca devrait frapper toute l’année. Au contraire, vu que le virus se développe dans un corps à 37 C°, il devrait survivre dans l’air, et donc, se propager beaucoup plus facilement durant les mois chauds que durant les mois froids. Ou alors, ça devrait frapper aléatoirement, parfois en hiver, parfois au printemps ou en été, mais pas tout le temps en hiver.

Et pourquoi la maladie devrait venir invariablement de Chine ? Soi-disant, ça viendrait des élevages de porcs et autres animaux de ferme. Comme s’il n’y avait pas ce genre d’animaux ailleurs. Et bien sur, ça viendrait tous les ans en hiver, réglé comme une horloge. Le truc clairement bidon.

D’ailleurs, pourquoi les pays chauds n’ont pas d’épidémie à date fixe, comme chez nous ? Pourquoi le virus qui se propage de la Chine à l’Europe, n’en profite pas pour se propager en Afrique ? Comment se fait-il qu’en Afrique, les cas de grippe soient répartis de façon plutot homogène sur l’ensemble de l’année ? C’est absurde. Soit le virus se comporte d’une façon, soit d’une autre (le comportement africain étant le plus logique d’ailleurs), mais pas de deux façons différentes.

Comment se fait-il que, dans une famille, le virus, qui par ailleurs a l’air de se propager si facilement, ne touche souvent qu’une personne et pas les autres ?

Pourquoi n’attrape-t-on en général qu’un ou deux rhumes par an, alors qu’il y a soi-disant des centaines de souches qui se balladent dans la nature et contre lesquelles ont n’est pas protégés (et donc, contre lesquelles notre système immunitaire ne peut strictement rien) ?

Et (même réflexion que pour le VIH d’ailleurs), si le virus mute si souvent, comment se fait-il que le virus n’ait pas des caractéristiques qui changent ? Quand on sait que 2 % de mutation génétique nous séparent du chimpanzé, on se dit qu’une mutation de cette ordre chez un virus, qui a un ADN supposé beaucoup moins complexe que le notre, devrait complètement modifier le virus en question.

La vraie cause des grippes et des rhumes

Avec la grippe, on est exactement au coeur des deux problématiques précédentes : il n’y a pas de virus, et il s’agit d’un problème lié aux protéines. Et en plus, c’est un sujet d’actualité.

Quelles sont les vraies causes de la grippe ? En fait, dans la lignée de l’article précédent, je pense qu’il s’agit simplement et principalement d’un problème de trop plein de protéines. Les protéines étant des éléments de structure, par ailleurs non stockables, il est clair qu’il ne faut pas en absorber trop. Sinon, étant incapable de les stocker, le corps va devoir les éliminer.

En gros, on va avoir ça. A cause d’une alimentation trop riche en protéines (une alimentation occidentale classique quoi), le sang est encombré de protéines. Et à un moment, le corps ne va plus pouvoir éliminer le surplus de protéines par les voies classiques. On arrive alors au point ou une réaction violente se fait : c’est alors le rhume, ou l’angine, ou la grippe. Est-ce qu’elle est provoquée par le corps lui-même, ou est-ce que c’est purement chimique et donc automatique (atteinte d’un point ou une réaction s’enclenche) ? Ou un peu des deux ? Je ne sais pas. Mais en tout cas, il y a élimination de cet excès de protéine. La grippe et le rhume sont des processus d’élimination.

Divers déclencheurs peuvent provoquer la réalisation du processus d’élimination sous le niveau d’excès de protéines qui aurait provoqué le déclenchement du processus normalement.

Un coup de froid par exemple, en provoquant un stress oxydatif au niveau des bronches, du nez, etc…, va peut-être être le point de départ du processus d’élimination, en favorisant la polymérisation des protéines en surplus.

Le ressèrement des veines sous l’action du froid va également entrainer d’un coup une concentration beaucoup plus importante des protéines dans les vaisseaux touchés par le resserrement, ce qui peut provoquer la mise en marche du processus de polymérisation.

Le fait de manquer de sommeil ou d’être stressé, va peut-être aussi enclencher prématurément le processus d’élimination. En effet, le fait d’être fatigué ou stressé va libérer du cortisol dans l’organisme. Le cortisol agit comme un désagrégateur de protéines. Donc, il va désagréger les protéines. Mais, ce faisant, il va rendre leur élimination moins facile. Le taux de protéines dans le sang va encore monter un peu plus. Et quand la période de stress va se terminer, ou être moins forte, la quantité de protéines ayant dépassé le niveau à partir duquel le processus s’enclenche, le rhume ou la grippe va apparaitre. Une déshydratation aussi peut provoquer le déclenchement du processus. Donc, il va s’agir souvent de stress, parfois de déshydratation, etc… Inversement, quelqu’un qui boit beaucoup va peut-être arriver à garder une quantité de protéines qui, autrement, aurait engendré un rhume ou une grippe.

En plus du processus d’élimination, le cerveau va supprimer la sensation de faim pour que la personne arrête de s’alimenter. Ce qui permet de vider les stocks de protéines. Il ne faut donc pas s’affoler quand un enfant qui a une grippe n’a pas faim. Ca ne veut pas dire qu’il est à l’article de la mort. C’est un élément normal du processus d’élimination.

Donc, d’un coté, il va y avoir la mise en place d’un processus spéciale (et rapide) d’élimination des protéines, et de l’autre, il va y avoir arrêt de l’apport de protéines. C’est pour ça que la guérison se fait en seulement 7 jours en général.

Evidemment, une fois qu’on a compris ça, on comprend également que les grippes ne sont jamais que la forme plus forte des rhumes. Fondamentalement, il n’y a rien de différent. C’est simplement un encrassement plus important de l’organisme.

Ce n’est donc pas un hasard si le gros des cas de rhumes et grippes se concentre en hiver, et spécialement au moment des fêtes de noel. A ce moment-là, on a une alimentation plus riche en protéines et graisses qu’en été, ou on mange plus de verdure et de fruits (parce que c’est la saison bien sur, et aussi à cause de la chaleur). Le moment des fêtes de noel va être l’occasion de repas très riches. Donc, si une personne est déjà limite en ce qui concerne son taux de protéines (parce que depuis quelques mois, son alimentation est devenue plus riche en protéines), les fêtes de noel vont être l’occasion d’un dépassement de la limite et donc, de l’apparition d’un rhume ou d’une grippe. Et comme, lors des mois de janvier et de février ça fait longtemps que les gens sont en surplus de protéines, les risques de dépassement de la limite restent importants. Par ailleurs, comme il fait froid, et que le froid est un déclencheur, ça augmente les risques d’attraper un rhume ou une grippe. Le fait de manger moins d’aliments contenant des antioxydants (fruits surtout) entraine que le niveau d’antioxydants est plus bas dans l’organisme, ce qui fait qu’un stress oxydatif peut servir de blancheur.

C’est aussi à cause de l’alimentation que les enfants ont des problèmes ORL à répétition. On leur donne du lait de vache qui contient 3 fois plus de protéines que le lait maternel. C’est comme si vous preniez 3 steaks au lieu d’un à tous les repas, et même au petit déjeuner. Rapidement, vous auriez les même problèmes que les enfants.

Le végétariens ne sont pas épargnés par les rhumes et les grippes parce qu’en fait, ils mangent pas mal de protéines eux aussi. Beaucoup de végétaux contiennent une forte proportion de protéines : céréales et légumineuses. Par ailleurs, beaucoup de végétariens s’autorisent à manger des produits lactés, voir des oeufs (et même parfois du poisson). Et puis, ils continuent naturellement à manger de façon assez classique, avec des plats élaborés. Or, ce genre de cuisine se fait en général avec des légumineuses et des céréales, qui contiennent, comme on l’a vu, pas mal de protéines.

Par ailleurs, ils sont pris dans le mythe du besoin de protéines. Les nutritionnistes insistent sur le fait que les végétariens risquent d’avoir des carences en protéines. Du coup, de nombreux végétariens en font trop et mangent autant, voir plus de protéines que s’ils mangeaient de la viande. Ils vont compenser en mangeant beaucoup de légumineuses, de céréales et de tofu, voir des steaks végétaux (avec du tofu souvent). Et du coup, ils n’échapperont pas aux symptômes provoqués par l’excès de protéine. En plus, ils croient que comme c’est végétal, il n’y a pas de risque. Ils pensent que le problème, c’est la qualité des protéines et que les protéines végétales sont sans danger. Donc, ils ne se méfient absolument pas. Donc, si déjà, ils ne se souciaient pas des problèmes d’excès de protéines, vu que des nombreux végétaux en contiennent beaucoup, ils en mangeraient pas mal, mais comme ils s’en soucient, ils en absorbent autant, voir plus que des gens gardant une alimentation classique. Bien sur, ce n’est pas le cas de tous les végétariens, mais de beaucoup quand même.

La solution pour ne plus jamais avoir de rhumes et de grippe est donc très simple : il suffit de changer d’alimentation pour un régime contenant beaucoup moins de protéines que le régime classique occidental.

Oui, mais la plupart des aliments contiennent beaucoup de protéines. Donc, comment faire ? Quels sont les aliments qu’ils faut privilégier pour diminuer la quantité de protéines absorbées ? La viande, ce n’est pas bon, les laitages non plus, les légumineuses non plus, les céréales non plus. Que reste-t-il ? Les fruits et la plupart des légumes. Ce n’est pas un hasard si c’est aussi la partie essentielle du régime des singes.

Bien sur, ça ne signifie pas qu’il ne faille manger que de ça. Mais il faut réduire fortement la part des aliments carnés (viande, oeufs, laitages divers) pour privilégier ce type d’alimentation.

Mon expérience a ce sujet est assez concluante, vu que je n’ai plus eu aucune grippe ou rhume, ou quoi que ce soit y ressemblant depuis l’été 2002 (donc 4 ans 1/2), date à laquelle j’ai changé d’alimentation pour un régime contenant beaucoup plus de fruits, et beaucoup moins de viandes, laitages, etc…

En règle générale, je mange un repas qui contient uniquement des fruits et du jus de fruit, un repas du même genre, mais avec des produits oléagineux (fruits oléagineux, ou du pain avec de l’huile de noix), et un repas classique. Bien sur, ce n’est pas parfait et je fait des écarts. Par exemple, même si on est bien approvisionnés dans nos pays occidentaux, il est difficile d’avoir des bons fruits durant les inter-saisons (le mois de mars par exemple, est vraiment vide). Donc, je me rabats alors sur des jus de fruits et par exemple des pamplemousses. Détail, j’ai remarqué que les petits gateaux ont tendance à faire mal à la gorge.

Par ailleurs, c’est assez facile de voir venir un rhume avec cette alimentation, si on fait des écarts. Aussitôt, le nez se met à être plus encombré, la gorge aussi, le nez est plus bouché. Aussi, avant qu’un rhume n’apparaisse, il y a plein de symptômes annonciateurs qui laissent largement le temps de se reprendre et d’empêcher l’arrivée du rhume.

Donc, évidemment, puisque la grippe et le rhume ne sont pas des maladies virales, ça ne sert strictement à rien de se faire vacciner.

D’ailleurs, fort des ces informations, on peut être sur qu’on ne verra jamais un vaccin contre le rhume (j’entends, un vaccin efficace à 95 %). Puisqu’il s’agit d’une maladie liée à l’alimentation, et malgré les manipulations statistiques qui sont la norme dans le monde médical, il serait impossible de masquer l’inefficacité quasi totale du vaccin. A moins d’inventer une nouvelle maladie reprenant exactement les symptômes du rhume et dans laquelle on mettrait les cas anciennement considérés comme des rhumes. Ou à moins que les gens se mettent à manger des aliments moins riches en protéines. Auquel cas, les médecins pourraient sortir un vaccin pour revendiquer cette baisse (comme ils l’ont fait pour un certain nombre de maladies, dont les cas n’ont baissé que grace à l’amélioration des conditions de vie).

Note : ce n’est pas une vision nouvelle. L’idée d’un processus d’élimination a déjà été abordé par d’autres. Par contre, ce que j’apporte, c’est l’idée de l’excès de protéines, qui permet de préciser beaucoup plus l’origine du problème, et le processus à l’oeuvre. L’encrassement, ca reste assez flou. L’excès de protéines, c’est beaucoup plus précis.

L’être humain est un gros pot de colle 2

Suite à ce premier message, j’avais ajouté le 26 décembre 2004 :

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On peut constater l’intérêt de cette approche en terme de colles et aussi de fluides plus ou moins épaissis en ce qui concerne les anti-inflammatoires.

Qu’est-ce qu’une inflammation ? C’est très probablement le fait qu’une zone est encombrée de déchets et qu’une oxydation se produit à cet endroit. Il faut donc dégager la zone pour que le flux des nutriments et de leur évacuation puisse se faire et que l’oxydation cesse.

Donc, qu’est-ce qu’un anti-inflammatoire (ou au moins une bonne partie d’entre eux) ? C’est un truc qui doit liquéfier la zone encombrée de déchets, ou de façon plus générale, les fluides sanguins et lymphatiques. C’est une sorte de dissolvant. Le problème, c’est qu’à dissoudre les matières colloidales liquides ou semi liquides, ça finit par dissoudre les matières colloidales solides comme les chairs. Ce qui crée des trous, donc, des ulcères, des hémoragies.

C’est pour ça que la grand majorité des anti-inflammatoires entrainent des problèmes gastriques. Parce que, là où l’anti-inflammatoire est absorbé, sa concentration est la plus grande. Donc, c’est dans le système digestif que l’anti-inflammatoire va crée les plus gros dégats.

Ensuite, les problèmes crées dans les autres parties du corps sont fonction de la concentration du dissolvant. Si c’est un médicament qui contient beaucoup de produit dissolvant, il sera efficace pour lutter contre l’inflammation, mais dangereux. Inversement, si le médicament en contient peu, il ne sera pas trop dangereux, mais peu efficace. S’il est concentré et donc, dangereux, le produit va créer des problèmes de la même façon que dans le ventre, mais de façon un peu moins intense (vu qu’en entrant dans le système sanguin, il devient moins concentré). Il va dissoudre les chairs qu’il rencontre en premier, les chairs des vaisseaux sanguins. Donc, il va y avoir risque d’attaque cérébrale par rupture de vaisseau sanguin.

Il y a apparemment aussi risque d’infarctus. Pourquoi ? Là, je ne sais pas trop, vu que les vaisseaux en question sont plus gros et le flux plus intense. Mais on peut penser que le même phénomène est en jeu. Peut-être que comme le coeur récupère tout le liquide sanguin dans un temps très court, il est exposé au produit de façon importante, malgré le flux rapide.

Pour en revenir au système digestif, on peut penser que ces produits sont cause de très nombreux cancers et tumeurs du système digestif. Dans la mesure ou le cancer est lui aussi lié à un blocage de l’apport des nutriments et une inflammation, en dissolvant les chairs, l’anti-inflammatoire va créer les conditions du cancer. Ce qui va se passer, c’est que dans cet amas de chairs dissoutes ou respirant mal, des cellules vont revenir à un état de développement primitif, de type bactérie, avec multiplication infinie, ce qui va être le début du cancer ou d’une tumeur.

On peut penser que plus l’individu est maigre, et donc, a un sang moins épais, plus il va être susceptible de développer des problèmes rapidement (vu qu’une fois le sang désépaissi, le dissolvant s’attaque aux chairs). Mais, un individu gros aura tendance à prendre le produit pendant beaucoup plus longtemps, donc, à avoir des problèmes aussi. En plus, comme l’individu gros a tendance à avoir des problèmes de tension, ça ne doit pas aider.

Comment je l’ai évoqué plus haut, l’industrie pharmaceutique a un problème avec ces molécules. Alors, elle louvoie entre ces problèmes de médicament efficaces mais dangereux et pas dangereux mais assez inefficaces en utilisant des concentrations plus ou moins grandes. D’où toute une déclinaison en multiples produits anti-inflammatoires qui sont soit disant différents, mais qui doivent jouer essentiellement sur la concentration du produit. Cela dit, la fécondité de la chimie fait qu’il y a probablement quelques rares anti-inflammatoires qui agissent légèrement différement (à d’autres endroit du problème de la concentration des matières colloidales), mais les plus efficaces semblent être des dissolvants.

La solution la plus simple serait tout simplement de manger beaucoup moins d’aliments contenant des matières colloidales. Mais, forcément, la vente de petites pillules anti-inflammatoires s’effondrerait (et même celle de bien d’autres petites pillules).

J’en suis un exemple de ce que je décris à propos de ces problèmes d’inflammation. Avant janvier 2002, régime normal, avec un peu de junk food (chocolat, petits gateaux, etc…) : une migraine tous les mois. Entre janvier et juillet 2002, régime enrichi en viandes et laitages (donc, beaucoup plus colloidale) : passage à une migraine toutes les semaines. Depuis juillet 2002, régime fruit (avec un repas classique par jour), donc très peu colloidale : une migraine tous les ans, et encore.

Edit : Je viens de retrouver ce que j’avais vu sur la cortisone. Les produits anti-inflammatoires en application locale doivent logiquement avoir les mêmes effets que ceux utilisés en pillule. Ils attaquent les chairs, donc, la peau. Et effectivement, sur le topic sur la cortisone, il est dit que la cortisone affine la peau.

sans$ > Oui, il y a des effets secondaires à l’application en usage extene: un affinnement de la peau d’autan plus prononcé que le roduit est utilisé longtemps. Attention il y a 4 classes de corticoïdes: très puissante, (ex:dermovate) puissante (ex: locoid), moyennement puissante (ex: locacortene) et peu puissante en vente libre en Belgique comme l’hydrocortisone.

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Puis, j’avais ajouté le 23 janvier 2005 :

Du coup, fort de cette théorie, en regardant il y a quelque temps une émission de la cinq sur la santé dont le sujet était la décoloration des peaux noires, avant même que le reportage dise quel produit était utilisé, je me suis dit que ça devait être un produit à base cortisone. Et effectivement, c’est le cas. La corstisone désagrégeant les protéines, ça désagrège la peau, la rendant plus fine, et donc, moins noire.

Il est intéressant aussi de lire que, dans le cas du SIDA, la baisse du taux de cd4 est lié au taux de cortisol (même chose que la cortisone, mais produite par le corps). Un taux élevé de cortisol diminue la quantité de cd4. A mon avis, ça doit désagréger les cd4.

Le cortisol est lié au stress. Il est possible que le cortisol serve en fait à fluidifier le sang en vu d’un effort qu’il va avoir à produire. Dans la nature, un stress signifie souvent qu’il va falloir produire un effort important, comme se battre ou fuir devant un prédateur. La fluidification du sang permettant probablement à l’oxygène et aux nutriments d’arriver plus facilement dans les muscles.

L’être humain est un gros pot de colle

Je repost un message que j’avais mis sur le forum onnouscachetout.com le 16 juillet 2004 :

A mon avis, on ne réflechit pas assez à la problématique des matériaux qui constituent la structure du corps humain.

Qu’est-ce que sont les chairs en terme de chimie (qui représentent quand même la majorité de la structure du corps humain, avec les os) ? Eh bien, je pense que ce sont des colles, des colles plus ou moins aglomérées.

Donc, il est clair qu’une grande partie de la santé passe par le maintien le plus parfait possible de la structure de ces colles. Toute transformation de ces colles par quelque élément que ce soit, risque d’aboutir à des problèmes en terme de santé. Donc, tout élément entrainant la désagrégation, la dissolution de ces colles, ou leur trop grande aglomération (ou polymérisation, c’est peut-être un terme plus adapté) va entrainer des problème. On peut par exemple analyser les médicaments à travers leur role dans cette problématique. Un médicament qui à tendance à dissoudre les chair peut poser des problèmes (par exemple, les médicaments qui fluidifient le sang comme l’aspirine). Inversement, un médicament qui entraine une surpolymérisation des chairs pose aussi problème (on peut se demander, par exemple, si les médicaments qui entrainent une oxydation des cellules n’entrainent pas ce genre de phénomènes. Ou les rayons qui entrainent une fibrose des chairs lors d’un traitement anticancéreux).

Par ailleurs, ces colles ne sont pas apparues par enchantement et elle ont une organisation dans le corps. Il y a tout un processus pour amener les colles sur le lieu ou elles vont être utilisées. Et ensuite, il y a tout un processus pour évacuer les colles du corps. Donc, tout élément qui entraine la perturbation de ce cycle d’absorption, utilisation, organisation, évacuation, va entrainer des problèmes.

Les éléments qui vont servir comme base de la colle sont apportés évidemment par l’alimentation. Parmi les éléments apportés par l’alimentation, il semble clair, vu leur coté colloïdal, que ce sont les protéines qui servent de matériaux de base pour construire la colle carnée. Et d’ailleurs, effectivement, la littérature dit que les chaires sont constituées de protéines.

Donc, tout le cycle d’absorption des protéines dans le corps, et leur utilisation, et leur évacuation doit être analysé. Il doit très probablement y avoir un optimum dans ce cycle. Et toute chose perturbant cet optimum va entrainer des problèmes. Par exemple, manger trop de viande ou quelque aliments contenant beaucoup de protéines que ce soit, va surcharger ce cycle des protéines. Comme je l’avais déjà évoqué dans un autre topic, peut-être que le surplus n’arrive pas à s’évacuer totalement et qu’il y a des dépots de protéines qui se créent sur les artères (d’où l’artérosclérose). De même la surconsommation va surcharger le système d’évacuation (ie. le système lymphatique), et entrainer des bouchons dans ce système (d’où les ganglions douloureux, voir les tumeurs, cf. un autre topic sur hammer). Il va sans dire que quand les colles des éléments vitaux comme les reins ou le foie sont affectées dans leur structure ou leur organisation, les problèmes vont être d’autant plus graves (fibrose du foie par exemple).

Donc, il me semble important d’analyser un bon nombre de maladies au travers de cette problématique.

PS : en règle générale, il me semble que depuis plus d’un siècle, on se focalise beaucoup trop sur les éléments de base microscopiques, comme les microbes, puis, maintenant, la cellule ou l’ADN et pas du tout assez sur la structure générale du corps dans laquelle fonctionnent ces éléments de base. Délaisser l’un pour n’étudier que l’autre, ça me semble dangereux.