Comme on a pu le voir dans l’article sur le cancer, les métastases n’existent pas. Et donc, logiquement, les cancers n’existent pas. Il n’y a que des tumeurs. Tumeurs qui n’essaiment jamais.
Toutefois, il y a trois choses qui semblent avoir une certaine réalité dans ce que les médecins découvrent lors de leurs tests ou que le patient ressent :
– les ganglions peuvent être gonflés
– la personne peut souffrir des articulations des jambes
– les tissus de certains organes apparaissent anormaux lors d’une biopsie (c’est une opération de prélèvement des tissus supposés cancéreux)
Tous ces éléments vont être interprétés comme étant la preuve de la présence de métastases.
Bien sur, ce ne sont absolument pas des métastases. Alors, que sont ces éléments en réalité ?
1) Les ganglions gonflés
Comme on a pu le voir par ailleurs sur le blog, le système lymphatique est en réalité comme un système d’égouts pour le corps. Et les ganglions lymphatiques sont les endroits où les débris cellulaires sont collés aux globules blancs, qui jouent donc un peu un rôle de papier tue-mouches. Les ganglions sont comme des filtres dans la collecte des déchets. Les déchets seront ensuite éliminés ou recyclés.
Le gonflement des ganglions est du la plupart du temps à un engorgement du système lymphatique. Soit il y a trop de déchets, soit il y a un blocage qui les empêche de s’écouler normalement. Les déchets s’accumulent dans les ganglions, ce qui provoque un gonflement de ceux-ci, et éventuellement une inflammation.
D’après moi, le phénomène tumoral est souvent lié à ce problème d’engorgement du système lymphatique. La tumeur est là parce que les déchets n’arrivent plus à être évacués. Les cellules passent donc à un mode de développement de type bactérien, et se développent à l’infini.
Dans ce cas de figure, la tumeur et les ganglions gonflés ont la même cause. Un système lymphatique engorgé.
Alors, puisque ça a la même origine, on peut se dire que s’il y a des ganglions gonflés, il y a un risque qu’il y ait développement d’une tumeur. Bien sur, mais, ça va représenter un cas sur mille. La présence des ganglions gonflés n’est donc pas une preuve que la tumeur est en train d’essaimer.
Du coté de la médecine officielle, la théorie est qu’une tumeur a un risque d’essaimer. Ce phénomène va se réaliser généralement via le système lymphatique. La présence de ganglions gonflés est un indice qu’une telle chose est en train d’arriver. Bien sur, les médecins sont conscients que les ganglions peuvent être gonflés pour d’autres raisons que le cancer. Donc, pour que l’indice se transforme en preuve, il faut que les médecins trouvent des cellules cancéreuses dans les ganglions ou que le ganglion soit considéré lui-même comme tumoral. Pour ça, ils font une ponction sur un ou plusieurs ganglions, ou ils prélèvent un ganglion pour l’analyser. S’ils trouvent des cellules anormales, ou si le ganglion lui-même est considéré comme anormal, ils en concluront à la formation de métastases.
Le problème de cette hypothèse officielle, c’est qu’il est à peu près certain qu’elle n’a jamais été vérifiée. On n’a jamais du faire des tests pour trouver ces cellules chez des personnes ordinaires, et voir ce qui se passait ensuite si on ne leur donnait pas de traitement. Comme il est fréquent avec la médecine moderne, on a du venir petit à petit à cette idée de métastases. Et quand on a commencé à avoir les moyens d’analyser les ganglions, on avait déjà choisi la théorie officielle. Donc, quand on a été capable de faire les tests en question, il était devenu hors de question de les faire, parce que ça n’aurait pas été étique de laisser ces patients sans traitement.
Ce qui permet de penser ça, c’est que si le phénomène de métastase était une réalité, dans ce cas, il y aurait des tumeurs qui se créeraient partout. Et il y aurait plein de personnes qui ressembleraient carrément à des gros blobs. Dans la mesure où on n’a a peu près jamais du voir ça, il est clair que le concept de métastase est bidon et que les particules trouvées dans les ganglions n’en sont pas.
Donc, jamais on n’a fait d’expérience permettant de vérifier qu’il y a bien des métastases qui conduisent à des tumeurs multiples. Je ne parle pas bien sur d’expériences reposant sur les indices dont on traitera dans les sections 2 et 3. Effectivement, avec ce genre de « preuves », les médecins auraient beau jeu de dire que « si si », ils ont fait les expériences en question, et même, qu’ils vérifient tous les jours dans leur clinique que des tumeurs multiples se développent chez les personnes qui sont supposées avoir des métastases. Je parle d’expériences où on aurait attendu que les gens aient des tumeurs clairement visibles, des tumeurs de la taille d’œufs de poules un peu partout.
Il est possible qu’ils aient analysé le comportement de ces particules in vitro, et aient vu qu’elles se développaient de façon tumorale. Seulement, depuis le coup du sida, on sait grâce aux virologues dissidents que les produits utilisés in vitro ont tendance à rendre tumorales les cellules analysées. Donc, ces expériences, si elles avaient été effectivement menées, ne prouveraient rien.
Quand au fait que le ganglion lui-même soit tumoral, si la personne a tendance à avoir les ganglions enflammés dans cette zone là, il est possible qu’au bout de plusieurs fois, il y ait une petite fibrose à cet endroit. Fibrose qui sera considérée comme tumorale.
Donc, ce qu’on peut penser, c’est que si le système lymphatique est encombré, les particules supposées être des métastases dans les ganglions sont de simples déchets cellulaires. Du coup, on ne peut absolument pas se servir de la présence de ces particules dans les ganglions pour dire qu’une tumeur est présente quelque part, et qu’elle est en train de métastaser ; qu’il n’y ait pas tumeur (là, c’est carrément évident), ou qu’il y en ait une.
Alors, dans la mesure où le système lymphatique est le système d’égout du corps, il est évident que des éléments issus de cellules tumorales peuvent atterrir dans le système lymphatique. Mais s’ils se sont retrouvés dans le système lymphatique, a priori, c’est qu’il s’agit de déchets des cellules tumorales, pas des cellules elles-mêmes. Ce qui veut dire que ces particules sont inactives.
Et même si, rarement, il s’agissait de cellules tumorales complètes, la question serait : « est-ce que ça va aboutir à la formation d’une nouvelle tumeur ailleurs ? ». Et la réflexion faite plus haut conduit à une réponse clairement négative.
Ce qu’on peut penser, c’est que, premièrement, le système lymphatique entrainant un recyclage et une élimination des déchets, normalement, les cellules en question seront éliminées. Donc, le problème de la dissémination ne se posera pas.
Deuxièmement, selon ma théorie, dans la mesure où une tumeur est liée à des conditions locales particulières, une cellule tumorale ne peut pas croitre si les conditions de l’endroit où elle est arrivée sont normales. Si c’est le cas, le caractère tumoral de la cellule va être désactivé et elle va revenir à un état normal. Donc, même dans le cas où il y aurait réellement dissémination, il n’y aurait quasiment aucune chance que ça aboutisse à une seconde tumeur quelque part. Pour qu’il y ait seconde tumeur, il faut qu’il y ait des conditions menant à la formation d’une tumeur. Et dans ce cas, la problématique des métastases n’a plus aucune importance.
Par ailleurs, ce qu’il faut noter, c’est que, pour l’orthodoxie, il n’y a absolument pas besoin qu’il y ait une quelconque tumeur à proximité des ganglions. Pour eux, la présence de ganglions gonflés + de cellules estimées cancéreuses dans les ganglions est suffisante pour conclure à la présence d’un cancer.
En effet, ce que considère les médecins, et qui est logique, c’est que le phénomène d’essaimage peut être trop récent pour que des tumeurs soient détectables (ou même qu’il y ait tumeur à ces endroits là). Donc, on se contente de la présence des ganglions gonflés + présence de cellules supposée cancéreuses dans les ganglions pour dire qu’il y a cancer. Donc, les médecins n’ont même pas besoin de rechercher des tumeurs à proximité des ganglions en question. Ils peuvent le faire, mais ils ne sont pas obligés de le faire. En tout cas, s’ils le font mais qu’ils ne trouvent aucune tumeur à proximité, ça n’enlève pas le diagnostic de cancer.
Dans le cas où il n’y a pas eu de tumeur initiale de trouvée, on peut donc se retrouver dans des situations où il n’y a en fait aucune tumeur de trouvée nulle part, mais où les médecins déclarent que la personne est en phase terminale de cancer. Il n’y a rien nulle part, mais les médecins affirment à la personne qu’il ne lui reste que quelques mois à vivre. Bien sur, ce cas sera plutôt rare, mais ça peut arriver.
Mais dans ce cas, souvent, les ganglions vont servir à inventer une tumeur par ailleurs. On m’a rapporté le cas d’une personne qui tout d’un coup a eu la jambe gonflée. Les médecins ont conclu qu’il y avait des métastases dans les ganglions de la jambe. Mais il n’avait pas de tumeur apparente à proximité. Du coup, le diagnostic concernant les ganglions a servi à inventer une tumeur au niveau d’un grain de beauté que la personne avait sous le pied. Il faut savoir que pour l’orthodoxie, un grain de beauté aux contours mal définis peut être suspecté d’être tumoral. Donc, il leur est tout à fait possible d’extrapoler sur le coté tumoral d’un grain de beauté à partir de sa forme et d’un résultat défavorable des ganglions relativement proches. Au passage dans le cas en question, la personne est morte (tuée par les traitements bien sur).
Dans d’autres cas, ce qui fait qu’il n’y a pas besoin d’une quelconque tumeur à proximité des ganglions pour dire qu’il y a cancer, c’est le fait que les médecins considèrent que les ganglions en question sont déjà des nouvelles tumeurs en elles-mêmes. C’est ce qu’ils appellent des lymphomes. Au passage, on peut penser que ça permet d’inventer des tumeurs beaucoup plus étendues que dans le cas des autres cancers. En effet, si plusieurs ganglions sont estimés cancéreux, comme ils sont éloignés les uns des autres de quelques centimètres, forcément, la zone supposée tumorale sera assez large.
Puisque le couple ganglion gonflés + particules supposées tumorales dans les ganglions est une situation qu’on peut retrouver chez plein de gens tout à fait normaux, les conditions pour répondre aux critères du cancer sont très faciles à obtenir. Donc, forcément, il y a des tonnes de gens qui vont être considérés comme ayant un cancer.
Par ailleurs, pour le cas des lymphomes, ça permet d’inventer facilement des tumeurs multiples, puisqu’il sera facile de trouver des ganglions tumoraux dans plusieurs endroits différents.
Au travers de ces considérations, on voit que l’équation ganglions gonflés + cellules supposées tumorales = cancer est complètement fallacieuse.
Mais pour quelqu’un qui ne sait pas ça, l’argument va le convaincre qu’il a des métastases, donc, qu’il a un cancer ; et qu’il doit prendre le traitement proposé s’il ne veut pas mourir rapidement.
2) Douleurs dans les articulations des jambes
C’est une situation qu’on peut retrouver avant un traitement anticancéreux. Mais en général, ça va arriver plutôt après.
Comme on a pu le voir avec les articles sur le problème du cortisol, un taux de cortisol bas entraine une accumulation d’eau dans les tissus des jambes et également une vasodilatation des vaisseaux sanguins. Du coup, cette dilatation va faire pression sur les nerfs des articulations. Et ça va entrainer des douleurs articulaires. Rien à voir avec le cancer, à nouveau.
Seulement, ça va être interprété comme une tumeur des os.
On peut avoir ce genre de symptômes et tomber sur un médecin qui va diagnostiquer un cancer des os. Ca peut arriver de but en blanc, ou alors, parce que la personne prend un traitement et est régulièrement suivie par un médecin.
Mais, on peut penser que, plus généralement, ça va arriver après un premier traitement anticancéreux. Ceci parce que la personne est déjà considérée à très haut risque.
Comme le traitement anticancéreux entraine une augmentation du taux de cortisol, l’arrêt brutal va amener un effondrement de ce taux, et donc un gonflement des jambes et des douleurs articulaires. Pas toujours, parce qu’apparemment, on donne souvent un traitement anti-hypertenseur qui, selon sa composition, va en partie annuler l’effet du cortisol. Et par ailleurs, pas mal de personnes sont fortement amaigries, et donc déshydratées, après un traitement anticancéreux. Donc, il y a moins d’eau à transférer.
Mais, ça peut arriver. Et comme la personne est suivie de très près par son médecin traitant, une telle réaction a toutes les chances d’être interprétée comme le fait que le cancer initial a métastasé et qu’un cancer des os s’est développé.
Et vu que la personne a réellement mal, elle va évidemment faire confiance au médecin et prendre un nouveau traitement (en général fatal).
En plus, souvent, le traitement anticancéreux précédent aura en partie esquinté les os. A cause de ça, la personne aura de l’ostéoporose. Donc, l’analyse des os donnera une apparence de réalité au cancer en question (qui se caractérise généralement par une suppression de matière. Alors que pour les autres cancers, il s’agit d’une accumulation. Faut pas chercher à comprendre…). Et bien sur, s’il s’agit d’une personne âgée, elle peut avoir de l’ostéoporose par ailleurs.
3) Tissus anormaux lors d’une biopsie
Dernière chose qui semble donner une réalité au concept de métastase : les tissus anormaux lors d’une biopsie.
Le fait que les tissus soient anormaux semble montrer qu’il y a tumeur. Et donc, puisque c’est dans des endroits différents de la tumeur originelle, c’est bien qu’il y a métastase. C’est probablement l’élément le plus important pour « prouver » que le concept de métastase est juste. On ne voit pas pourquoi ces tissus seraient anormaux sinon.
Seulement, là encore, cette interprétation est fausse. Quand on analyse ce problème, ce qu’on finit par comprendre, c’est qu’en fait, ces tissus sont anormaux pour deux raisons : 1) C’est en fait le traitement anticancéreux qui provoque l’anormalité des tissus ; 2) ce sont des tissus anormaux parce que la personne est vieille ou alors, qu’elle a pris des traitements médicaux qui lui ont abimé ces parties du corps.
En fait, la plupart du temps, c’est l’un de ces trois organes qui est esquinté (ou 2 ou tous à la fois) : le foie, le cerveau, ou les poumons.
Prenons le premier cas. La personne va prendre un traitement anticancéreux pour un premier cancer diagnostiqué. Seulement, ce traitement va fortement esquinter le foie et le cerveau. Le foie, en particulier, parce que c’est le premier organe rencontré par les médicaments pris par voie digestive. Et le cerveau parce que ce sont des médicaments désagrégateurs de cellules qui vont provoquer des hémorragies cérébrales. Les poumons peuvent être eux aussi attaqués parce qu’ils contiennent pas mal de petits vaisseaux sanguins facilement attaquables par les médicaments désagrégateurs de cellules. L’agression de ces organes va entrainer à certains endroits une reconstruction anarchique des tissus, quelque chose comme une fibrose.
Du coup, au bout de quelques mois de traitements, si le médecin fait faire une biopsie de ces organes, il a de fortes chances de trouver effectivement des tissus anormaux et de conclure à des tumeurs secondaires causées par des métastases.
Et effectivement, les tissus sont anormaux. Donc, on est face à quelque chose de tangible. Et avec les photos des tissus, le patient ne peut que croire au diagnostic.
Une autre cause de la présence de ces tissus anormaux, c’est aussi la vieillesse. Une personne de 80 ans à qui on diagnostique des métastases au foie peut avoir en fait des tissus anormaux au foie depuis des années à cause du vieillissement. Mais quand le médecin les découvrira, il risque de conclure à des métastases.
Et la prise de traitements sur le long terme peut avoir esquinté les tissus de certains organes durant la vie d’une personne. Par exemple, la prise d’anti-inflammatoires va endommager le foie. Donc, il y a risque que se créent des tissus anormaux. Et si un médecin diagnostique une tumeur principale par ailleurs et qu’il va ensuite chercher du coté du foie, il posera un diagnostic de métastases au foie. Bien sur, plus la personne est vieille, et plus elle risque d’avoir pris des traitements de ce genre.
J’ai parlé ici du foie, du cerveau ou des poumons, mais bien sur, tous les autres organes situés dans le centre du corps peuvent être impactés par des traitements ou être dégradés par le vieillissement
4) les prélèvements sanguins
Le cas des prélèvements sanguins est celui qui est le moins impressionnant pour le profane. Autant, pour les trois cas précédents (ganglions avec des métastases, douleurs articulaires aux jambes, ponction ou biopsie qui a montré des tissus de type cancéreux) c’est impressionnant, c’est convaincant quand à la réalité du cancer ; autant, quand on sort un simple test sanguin, c’est déjà moins impressionnant et donc convaincant.
C’est pour ça que je ne m’attarderais par tellement sur ce problème. Ce sont les trois autres apparences de réalité du cancer qu’il est le plus important de remettre en cause.
Ce qu’il faut savoir, c’est que les tests sanguins faits pour prouver la réalité du cancer fonctionnent de la même façon que les tests d’anticorps.
Du coup, c’est le même problème que celui que j’ai mis en évidence concernant les tests d’anticorps. Ca réagit certainement à tout ce qu’il y a dans l’échantillon sanguin. C’est en fait des tests qui mesurent la quantité de particules dans le sang, sans spécificité pour telle ou telle particule.
A partir de là, ce qui fait réagir ces tests, c’est le fait qu’un personne à beaucoup de petites particules en suspension dans le sang. C’est en général la prise de produits désagrégateurs de cellules qui provoquera ce phénomène : antibiotiques, anti-inflammatoires non stéroïdiens, chimiothérapie, etc…
Donc, il suffit qu’une personne ait pris récemment un antibiotique pour qu’elle risque de réagir positif à ce genre de test. Du coup, évidemment, ces tests ne signifient rien.