Les causes de l’arthrose

En regardant l’émission médicale de ce soir sur la 5 (mardi 10 juin 2025), qui avait pour sujet l’arthrose, je me suis fait les réflexions suivantes.

A mon avis, le cartilage est une sécrétion de l’os (ou des tissus quand il n’y a pas d’os à proximité). Il est produit en permanence. Il s’use à cause des frottements, mais il se régénère. Et comme beaucoup de sécrétions, il est produit en suivant le cycle accumulation/vidange des cellules. Lors de la phase accumulation, les cellules se gonflent d’eau et de substances chimiques qui, en se mélangeant, vont produire du cartilage. Et quand ces cellules se vident, le nouveau cartilage (sous forme semi-liquide) est envoyé vers la zone cartilagineuse. C’est pour ça qu’il n’y a pas de vaisseaux sanguins dans les cartilages.

L’orthodoxie médicale va un peu dans ce sens dans la mesure où elle parle d’une production par les chondroblastes. Mais, en fait, elle ne semble pas aller plus loin dans l’idée qu’il s’agit d’une sécrétion. De toute façon, même si elle le faisait, elle n’aurait pas les outils théoriques pour exploiter cette idée. Et dans sa théorie, comme les chondroblastes sont présents apparemment dans le cartilage, il ne peut pas y avoir de régénération une fois le cartilage assez endommagé.

Le fait que le cartilage est une sécrétion permet d’expliquer l’arthrose.

Quand une personne a un taux de cortisol élevé en permanence, le cartilage va être de moins en moins produit. Du coup, avec l’usure naturelle, la couche de cartilage va finir par disparaitre. Et les os vont frotter l’un contre l’autre lors des mouvements, ce qui pourra provoquer des douleurs.

On peut penser aussi que le cartilage va être de plus en plus sec et donc, friable. Mais, le phénomène est peut être limité par l’inflammation. Donc, à voir.

On pouvait constater dans l’émission que les personnes en surpoids étaient particulièrement touchées par l’arthrose. Or, les personnes surpoids le sont souvent parce qu’elles prennent des substances qui augmentent le taux de cortisol (café, malbouffe, bière, etc…). Et par ailleurs, une fois en surpoids, le taux de cortisol va augmenter (voir mon papier sur l’obésité).

Alors, il est vrai que les personnes en surpoids vont solliciter d’avantage les articulations des jambes. Mais, comme il était dit dans l’émission, elles souffrent aussi plus souvent d’arthrose dans les mains, alors que là, le poids ne joue pas. Donc, ça ne vient pas du poids supplémentaire, mais d’autre chose. Et cette autre chose, c’est l’augmentation du taux de cortisol.

Dans l’émission, il était dit que les personnes diabétiques souffraient aussi souvent d’arthrose. Or, comme on l’a vu dans mon papier sur le diabète et le cholestérol, les personnes ont du diabète (de type 2) généralement parce qu’elles ont un taux de cortisol élevé.

Du coup, il est clair que les personnes qui prennent des anti-inflammatoires vont aussi avoir tendance à souffrir d’arthrose, puisque ces derniers augmentent le taux de cortisol.

Et comme on donne des anti-inflammatoires pour soulager les douleurs de l’arthrose, les gens qui en souffrent ne peuvent pas s’en sortir. Ça va aggraver l’arthrose. Et ça va aussi les faire grossir, ce qui va augmenter encore le taux de cortisol et donc l’arthrose, sans compter le poids supplémentaire sur les articulation des jambes. Ça va diminuer l’inflammation dans l’immédiat et donc la douleur, mais ça va accélérer la destruction du cartilage.

Et si l’arthrose touche plus les personnes âgées, c’est parce que les mouvements d’eau durant le cycle accumulation/vidange des cellules sont moins amples. Ceci parce que l’élasticité des cellules diminue. Mais, une personne âgée en bonne santé ne va pas développer d’arthrose, ou une arthrose limitée. Celles qui vont être surtout touchées vont être celles qui prennent des anti-inflammatoires ou/et qui sont en surpoids.

Bien sûr, les personnes ayant beaucoup sollicité les articulations durant leur vie peuvent souffrir d’arthrose. Là, le problème est le retour régulier de l’inflammation, qui va bloquer le cycle en position vidange (ou peut-être arrêter le cycle, à voir). Mais, souvent, ces personnes auront pris des anti-inflammatoires, pour limiter la douleur. Donc, là, ce seront fréquemment les anti-inflammatoire les responsable sur le long terme.

 

Conséquence de tout ça, le cartilage doit pouvoir se régénérer si la personne retrouve un poids normal ou/et arrête de prendre des anti-inflammatoires. Mais, comme généralement, les gens n’y arrivent pas, les médecins croient que le cartilage ne peut pas se réparer. Alors, ça doit dépendre de l’usure du cartilage. Mais, si les dommages ne sont pas encore trop importants, ça doit pouvoir revenir à la normale.

Le problème est que la phase de réparation peut être douloureuse. Donc, les personnes qui pourraient obtenir une régénération du cartilage ne vont généralement pas aller jusqu’au bout du processus. Elles vont reprendre des anti-inflammatoires et à nouveau détruire petit à petit leurs cartilages.

S’il n’y a plus de cartilage et que l’os est attaqué, peut-être qu’il est impossible de produire à nouveau du cartilage. Mais, peut-être que c’est possible. C’est à voir.

 

La médecine officielle reconnait désormais plus ou moins que les anti-inflammatoires aggravent l’arthrose. C’est ce qu’on peut voir sur Doctissimo (article paru en 2025, l’étude citée est de 2022).

« Vous prenez régulièrement de l’ibuprofène ou du naproxène pour soulager votre arthrose ? Il vous faudra peut-être réviser vos habitudes. Selon une étude du Département de radiologie et d’imagerie biomédicale de l’Université de Californie à San Francisco, les AINS anti-inflammatoire non stéroïdiens pourraient, à long terme, aggraver l’inflammation des articulations, notamment de l’articulation du genou. »

Et ici (janvier 2023) :

« Les anti-inflammatoires non stéroïdiens peuvent aggraver l’inflammation arthritique. »

« Selon une nouvelle étude présentée lors de la réunion annuelle de la Radiological Society of North America (RSNA), la prise de médicaments anti-inflammatoires comme l’ibuprofène et le naproxène pour traiter l’arthrose peut aggraver l’inflammation de l’articulation du genou avec le temps. »

Seulement, ça pose problème à l’orthodoxie, puisque la théorie officielle est que l’arthrose est un problème d’ordre inflammatoire. Donc, normalement, les anti-inflammatoires devraient  améliorer l’arthrose, voire la soigner complètement. Si ça l’aggrave, la situation devient complètement illogique. Mais, elle redevient logique avec ma théorie. Comme c’est très gênant, l’article de Doctissimo évoque de possibles biais dans l’étude. Ben voyons.

Bien sûr, l’élite sait tout ce que j’ai dit. Et elle fera en sorte que la bonne explication ne soit pas révélée, parce que l’arthrose est un marché extrêmement profitable. Ça conduit les patients à prendre des anti-inflammatoires, à subir des interventions chirurgicale, à aller voir leur médecin régulièrement, à faire des cures, etc… Donc, la médecine officielle va continuer à ne pas comprendre.

 

PS :

On pourrait se dire aussi que le problème vient d’un manque de liquide synovial. Le taux de cortisol élevé entrainerait une diminution de la production de liquide synovial, ce qui entrainerait un frottement des cartilages et leur destruction par frottement. Mais, si c’était le cas, on aurait tout de suite vu que le problème venait de là. On constaterait une disparition du liquide synovial et il serait clair que l’arthrose est causée par ce problème. Mais, on ne constate rien de tel.

Par contre, le problème peut être lié à un changement de composition du liquide synovial. Il est possible que celui-ci devienne plus acide et attaque le cartilage. On aurait donc deux causes de destruction du cartilage : la moindre régénération de ce dernier et l’acidification du liquide synovial. Mais, on peut penser que, là encore, le changement de pH du liquide synovial aurait été identifié.

La créatine, les BCAA et les protéines en poudre sont des produits dopants

Je m’étais intéressé aux stéroïdes en 2014. Mais, jusqu’à récemment, je n’avais pas vu que certains produits comme la créatine, les BCAA, et même les poudres de protéines étaient aussi des dopants. Voici donc un article sous forme de PDF où j’explique ce qu’il en est :

La_créatine_les_BCAA_et_les_poudres_de_protéines_sont_des_produits_dopants.pdf

 

Le café, un problème de santé mondial

Ça fait longtemps que j’ai identifié le fait que le café fait grossir, comme la plupart des produits amers. Mais, j’ai sous-estimé son importance dans le problème de l’obésité que connaissent de nombreux pays. En effet, je pensais que les quantités ingérées étaient trop faibles pour poser un véritable problème chez la plupart des gens. Par ailleurs, je n’avais pas encore relié poids et cholestérol/diabète. Mais en y réfléchissant à nouveau, je me suis dit qu’en fait beaucoup de gens en prennent suffisamment pour que ça impacte fortement leur santé à long terme, spécialement les américains.

Le problème concerne surtout les gens qui travaillent. Une personne qui ne travaille pas va éventuellement prendre un café du matin et ça sera tout. Ça fera prendre un peu de poids, mais rien de très méchant.

Mais, beaucoup de personnes qui travaillent vont en consommer nettement plus. Elles vont boire le café du matin, lors du petit déjeuner, pour se réveiller. Puis elles vont en boire un autre dans la matinée, pour la pause-café. Elles vont en reprendre un lors du repas de midi, pour éviter la fatigue consécutive au repas. Et certains en reprendront même un durant l’après-midi, soit pour se rebooster, soit en tant que nouvelle pause-café. Donc, il pourra y avoir 3 ou même 4 cafés de consommés dans la journée. Et là, ça change fortement les choses, parce que comme le café augmente le taux de cortisol, en consommer tout au long de la journée va faire que le taux de cortisol va être élevé pendant une grande partie de celle-ci. Et là, la prise de poids va être beaucoup plus importante.

Alors, ça ne va pas faire grossir énormément en un an. Mais, ça peut faire prendre 15 ou 20 kg sur 20 ans, ou plus. Et comme la prise de poids sera très lente, les gens ne vont pas la relier à leur consommation de café. C’est le côté vicieux de la chose.

Et on peut penser que les américains vont être nettement plus impactés que les européens. A priori, on pourrait penser l’inverse, parce que leur café est moins concentré. Mais, ils en prennent des quantités bien supérieures. Un verre de café américain, c’est comme un gros verre de coca-cola du Macdo. Donc, au final, ils vont en consommer beaucoup plus. Par ailleurs, pour de nombreux américains, boire du café, c’est comme boire de l’eau. Donc, ils pourront en prendre 5 ou 6 dans la journée. Et du coup, ils vont grossir beaucoup plus. Là où un européen n’aura pris que 15 kg en 20 ans, un américain va en prendre 30 ou 40, ou même plus. Donc, beaucoup de cas d’obésité chez les américains sont en fait dus en grande partie au café.

C’est en partie pour ça qu’on a des hommes de seulement 30 ou 35 ans qui sont déjà obèses aux USA.

Pour les femmes américaines, s’ajoute le problème de la pilule, qui fait grossir elle aussi. Donc, beaucoup de femmes qui travaillent vont subir à la fois le problème de la pilule et celui du café, ce qui les fera prendre encore plus de poids que les hommes.

 

Et comme on l’a vu dans mon article sur le cholestérol et le diabète, l’augmentation du taux de cortisol et la prise de poids sont en réalité la cause de la plupart des cas de ces deux maladies chroniques. Donc, à terme, beaucoup de consommateurs de café vont se faire diagnostiquer du cholestérol ou du diabète ou les deux. Et on peut y ajouter la tension sanguine.

Ça va aussi poser des problèmes de douleurs d’estomac en diminuant la production du mucus qui protège ses parois de l’acide chlorhydrique qu’il émet pour dissoudre les aliments.

Et ça va entrainer plein d’autres problèmes de santé liés à un taux élevé de cortisol, voir le blog pour ça.

 

L’élite qui nous dirige sait tout ça bien sûr. Et on peut penser que les effets néfastes du café ne la préoccupent pas trop, parce que le café booste la productivité des employés grâce à son effet stimulant. Peu importe qu’untel ait mal dormi, un bon café le maintiendra éveillé pendant la journée. Et quand les effets négatifs du café sur la santé deviennent trop importants, les gens sont en général à la retraite ou proche de la retraite. Donc, ils n’ont alors plus aucune utilité pour l’élite.

Et c’est pour ça que l’industrie médicale ne dit rien de négatif sur le café. Au contraire, elle a tendance à lui attribuer des effets bénéfiques. C’est ce qu’on peut voir sur :

  • Doctissimo, avec l’article de 2015 : « Les 10 bienfaits du café ».
  • Ou sur l’article de 2023 du journal 20 minutes : « Les cinq bienfaits du café pour la santé » (ou il est même dit que le café protège de la prise de poids et du diabète, carrément ; faut pas se gêner).
  • Ou encore sur celui de Santé Magazine, de 2022 : « Stimulant du système nerveux central : quels sont tous les bienfaits du café ? » (où là aussi, est mis en avant son côté protecteur contre le diabète et le cholestérol).

Et pour prévenir l’idée qu’il puisse faire grossir, l’industrie médicale met en avant son côté « zéro calorie ».

Et quand il y a des effets négatifs de répertoriés, les journaux mainstream citent des études contradictoires, de façon à ce qu’on ne puisse rien conclure. Donc, la plupart des gens ne retiennent que les effets positifs.

 

Il n’y a pas que le café qui pose problème, spécialement aux USA. Le reste de l’alimentation est une source majeure de prise de poids. En effet, beaucoup d’aliments transformés ou non sont remplis de conservateurs.

Alors, le terme conservateur est assez vague et a un côté positif qui fait qu’on a tendance à ne pas se méfier. A priori, c’est bien de conserver les aliments. Mais en fait, parmi les conservateurs, on a des antibiotiques et des antifongiques. On a fait croire au grand public que pratiquement tous les aliments sont pasteurisés. Mais en réalité, c’est faux. Il y en a beaucoup qui ne peuvent pas l’être parce que ça dégraderait trop le gout. Et il y en a pour lesquels ça ne sert à rien, parce qu’ils vont être exposés ensuite aux micro-organismes.

C’est le cas du pain de mie par exemple, qui n’est pas emballé sous vide. Comment pensez-vous que ces pains ne développent pas de moisissures au bout d’une semaine ou 10 jours, alors qu’ils sont remplis de protéines, de sucre et d’eau, soit l’environnement idéal pour leur développement ? Eh bien c’est parce qu’ils contiennent des antibiotiques et des antifongiques (qui sont souvent les mêmes substances).

Or, ceux qui lisent ce blog savent que ces produits font grossir. Donc, beaucoup de gens vont prendre du poids parce qu’ils vont consommer des aliments contenant des antibiotique ou/et des antifongiques.

Et concernant le pain, ça va poser problème particulièrement aux USA, parce qu’ils consomment du pain à longue durée de conservation, qui contient donc beaucoup d’antibiotiques et d’antifongiques. Alors que les français, qui consomment surtout des baguettes, qui ne contiennent pas de conservateurs, n’ont pas ce problème, ou en tout cas nettement moins. Mais, il n’y a pas que les USA. Il y a d’autres pays qui consomment du pain à longue durée de conservation et qui ont des problèmes de poids à cause de ça.

 

Et bien sûr, le sucre est un problème, pas quand il s’agit seulement d’un simple dessert comme en France, mais quand il s’agit d’énormes quantités, là encore, comme aux USA.

 

PS :

Et comme le café est très utile pour l’élite, on peut être assez sûr que si jamais les gens venaient à ne plus en consommer, elle le remplacerait par un nouveau produit qu’elle présenterait comme super cool et n’ayant aucun effet secondaire. Et le temps que le grand public se rende compte qu’il y en a (les mêmes que le café), elle l’aura remplacé par encore un autre produit super cool et sans effet secondaire. Et ainsi de suite.

Elle pourra même organiser un retour en grâce du café après quelques décennies de mise à l’écart.

Si les gens finissent par trop se méfier, elle pourra utiliser plusieurs produits en même temps. Ca permettra d’instaurer la confusion et d’empêcher les gens de se faire une opinion bien arrêtée. Par exemple, si tel produit est décrié, on dira que par contre, deux autres produits sont sans problème. Puis on dira l’inverse. Donc, les gens ne sauront plus quoi penser. Et il faudra très longtemps avant qu’ils comprennent que tous les produits en question sont nocifs.

Analyse rapide de la metformine, traitement standard du diabète

Un lecteur m’a demandé des informations sur la metformine. J’en ai fait une analyse rapide. C’est un peu sommaire, mais ça pourra intéresser d’autres lecteurs.

Quand on voit la formule chimique de la metformine, on voit que c’est C4H11N5.

Ça contient beaucoup d’azote, et par ailleurs, le côté CH contient peu de C (carbone).

Donc, soit c’est surtout un analogue d’opiacé si le côté CH ne réagit pas, soit c’est un mélange anti-inflammatoire/opiacé si le côté CH réagit aussi (et plutôt un anticoagulant vu le faible nombre de carbone). Mais, même dans ce second cas, l’effet opiacé doit dominer très nettement.

Je pense que c’est plutôt un analogue d’opiacé. Ça serait assez logique qu’ils utilisent ce genre de médicaments. Comme on l’a vu dans mon article, les diabétiques ont généralement un taux de cortisol élevé et sont souvent en surpoids important. Et le cycle accumulation/vidange est bloqué en position accumulation. L’opiacé entraine un effet inverse au cortisol. Et là, comme on a beaucoup d’azote, ça doit être une opiacé assez puissant.

Donc, ça va avoir un effet coupe-faim. Et ça va mettre le cycle en position vidange. Donc, la personne ne va plus manger et les cellules vont se vidanger en masse. Du coup, la personne va maigrir rapidement. Et comme les cellules vont se vidanger, ça va entrainer éventuellement une acidose du sang. C’est un phénomène qu’on retrouve aussi en cas de jeûne.

Et dans un premier temps, il va y avoir de la diarrhée, puisque les cellules se vidangent en masse (par la suite, ce sera plutôt de la constipation). Donc, les cellules des intestins vont relarguer de l’eau, ce qui entrainera de la diarrhée. Et les opiacés ont un effet de vasodilatation, ce qui va entrainer une hypotension. Donc, la personne va se retrouver dans un état de faiblesse importante. Et comme c’est un opiacé, des phénomènes inflammatoires vont apparaitre (l’inflammation est lié à la présence de produits opiacés).

De façon logique, la metformine a aussi un effet « bénéfique » sur le métabolisme lipidique. En effet, on a vu dans mon article sur les causes du cholestérol et du diabète qu’un taux de cholestérol élevé est lié à un taux de cortisol élevé.

Et logiquement aussi, la metformine est utilisée en tant que coupe faim par certaines personnes.

Selon le taux de cortisol de la personne au départ et la dose prescrite de metformine, on va avoir des effets indésirables plus ou moins marqués. Si le taux de cortisol n’est pas trop grand et que la dose de metformine est élevée, il pourra y avoir des effets indésirables importants. Et les effets indésirables seront limités si le taux de cortisol n’est pas trop élevé et que la dose de metformine ne l’est pas non plus.

La metformine doit entrainer un certain nombre de morts, puisqu’on fait passer la personne d’un taux de cortisol élevé avec souvent surpoids important à l’équivalent d’un taux de cortisol très bas, ce qui va entrainer une forte hypotension (ou en tout cas nettement plus basse que précédemment). Et l’acidose n’aide pas. Donc, certaines personne vont avoir une crise cardiaque, d’autres une insuffisance respiration aiguë, d’autres une insuffisance rénale ou hépatique. Et on peut avoir plusieurs ou tous ces problèmes en même temps. D’où un certain nombre de morts.

On obtiendrait le même résultat avec de la morphine.

Donc, l’effet soi-disant sur le métabolisme du sucre est bidon. C’est simplement un effet opiacé. D’une part, ça va entrainer une dilution du sang, puisqu’il va y avoir vasodilatation (plus d’eau pour la même quantité de particules). Les intestins vont moins absorber le sucre. Et il va y avoir rétablissement au moins partiel du cycle accumulation vidange. Très phénomènes qui vont provoquer une diminution du taux de sucre sanguin.

Comme l’effet opiacé finit par diminuer avec le temps, la personne va de moins en moins ressentir ces effets. Mais, le médicament va être aussi de moins en moins efficace sur le taux de sucre.

Les causes du cholestérol et du diabète de type II

Etant sur le problème du cancer actuellement, je ne vais pas pouvoir finir la deuxième partie de mon document sur le cholestérol et les statines avant un certain temps.

Voici donc un résumé de ce que j’ai découvert concernant ce problème et celui du diabète.

En fait, l’écrasante majorité du temps, le cholestérol est causé par un excès de cortisol ou un surpoids ainsi que l’âge. Tout ça perturbe le cycle d’accumulation/vidange des cellules.

 

1) Taux de cortisol et cholestérol/diabète

 

Le problème général est le suivant. Quand le corps fonctionne normalement, les cellules se remplissent d’eau lors d’un repas, ce qui y fait également entrer les nutriments venant de l’alimentation. C’est l’élévation du taux cortisol après le repas qui leur permet d’entrer dans les cellules. En effet, la pression sanguine va augmenter, et l’eau du sang va entrer plus dans les tissus et les cellules. Par ailleurs, le cortisol doit aider chimiquement au gonflement des cellules. Les cellules consomment les nutriments, qui deviennent alors des déchets. Puis, quand le taux de cortisol descend, les cellules se vident en partie de leur eau. Ce qui fait partir les déchets en question dans le sang et le système lymphatique. Puis, ils sont éliminés par le foie et les reins.

Mais si une personne est tout le temps en excès de cortisol, alors, les cellules vont être gonflées en permanence ; ce qui fait qu’elles ne vont plus accepter de nouveaux nutriments venant de l’alimentation. En effet, Il faut qu’elles soient dégonflées pour pouvoir se regonfler à nouveau.

Donc, les nutriments ne vont pas pouvoir entrer dans les cellules, et plus généralement les tissus (parce qu’eux aussi vont avoir tendance à être gonflés en permanence). Et ils vont alors rester dans le sang. Du coup, les taux sanguins de cholestérol et de sucre vont augmenter. C’est aussi simple que ça.

Ce qui veut dire qu’un taux de cortisol élevé entraine à la fois du cholestérol et du diabète.

 

2) Pourquoi tous ceux qui ont du cholestérol n’ont pas de diabète et inversement

 

Alors, bien sûr, tous ceux qui ont du cholestérol n’ont pas de diabète. Mais, ce qui se passe, c’est que l’orthodoxie médicale a dû faire en sorte de définir les taux anormaux de sucre à un niveau plus élevé que le taux de cholestérol. Du coup, il y a moins de gens qui ont du diabète que de gens qui ont du cholestérol. Ca entraine que les gens qui ont du diabète de type II ont en général du cholestérol. Alors que la proportion des gens qui ont uniquement du cholestérol est assez élevée.

Ça veut dire que l’état des diabétiques est en général plus dégradé que celui des gens qui ont du cholestérol.

Par ailleurs, l’organisme aide le sucre à entrer dans les cellules via l’insuline, qui est une sorte de cortisol boosté. Donc, pour qu’une personne n’arrive pas à absorber le sucre, il faut que les cellules et les tissus soient vraiment très remplis ; ou alors, que le pancréas (l’organe qui produit l’insuline), soit endommagé. Mais, généralement, ça vient après.

Et on peut se demander si le sucre n’est pas une sorte de cortisol en lui-même, de plus faible puissance, ce qui ferait qu’il entrerait déjà plus facilement que le cholestérol dans les cellules.

Donc, le diabète correspond à un état général plus dégradé que le cholestérol. Et logiquement, il concerne moins de monde.

Ici, on peut se demander comment il peut se faire que certains diabétiques n’aient pas de cholestérol. Ce qu’il faut voir, c’est que le mauvais cholestérol (LDL-c) est produit par le foie. Et puisque l’état des diabétiques est en général moins bon que celui des personnes ayant du cholestérol, ce qui peut se passer, c’est que chez certains diabétiques, le foie est lui aussi dégradé, ce qui fait qu’il produit moins de cholestérol (LDL). Donc, la personne va avoir du diabète, mais pas de cholestérol. Ce qui veut dire qu’un diabétique qui n’a pas de cholestérol est souvent dans un état pire qu’un diabétique qui a du cholestérol.

 

Et concernant ce qui peut favoriser un taux de cortisol élevé, on a les substances et les situations déjà vu de très nombreuses fois sur ce blog : la pilule pour les femmes, le café (source très importante), certains thés, la bière, les conservateurs dans les aliments, le stress, les anti-inflammatoires, le manque de sommeil, etc…

 

3) Surpoids et taux de cholestérol/diabète

 

Le lien de causalité entre le surpoids et le cholestérol ou le diabète devient alors logique. Le surpoids vient soit d’un excès de cortisol, soit du fait de manger trop, trop souvent (grignotage) ou/et trop sucré. Donc, les cellules et les tissus sont trop gonflés d’eau, ce qui fait qu’on prend du poids. Et l’autre conséquence du fait qu’ils soient gonflés en permanence est que les nutriments restent dans le flux sanguin, ce qui entraine un taux sanguin trop élevé de cholestérol et de sucre.

Et bien sûr, plus on est gros, et plus les cellules et les tissus sont gonflés en permanence, et moins ils acceptent de nouveaux nutriments. Donc, plus on est gros, plus les taux de cholestérol et de sucre augmentent. Donc, les obèses vont avoir souvent du cholestérol ou/et du diabète.

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