La théorie que les virus sont des messagers d’information entre les cellules ou encore des sortes d’hormones

Quant on en vient à la remise en cause des virus, une question se pose rapidement : est-ce que ce sont de simples débris cellulaires ou est-ce que ce sont des particules qui ont un effet sur le corps via une action chimique directe ou un transport d’information ?

Même si dès le départ, j’ai privilégié la théorie des débris cellulaires, c’est une possibilité à laquelle je suis resté ouvert assez longtemps. Mais désormais, je crois de moins en moins que ces particules puissent être des transporteurs d’information ou puissent avoir une influence chimique.

I) Théorie des particules transporteuses d’information pouvant causer des maladies

Pour les maladies, l’idée d’une particule endogène transporteuse d’information qui en provoquerait est à mon avis absurde.

Déjà, il n’y a pas raison que ça provoque un endommagement du corps, et encore moins des dommages aussi énormes que ceux qu’on peut constater pour certaines maladies.

Premièrement, c’est illogique, parce que le corps fait tout pour se maintenir dans le meilleur état de marche possible. Si ces particules transportaient de l’information ou avait une action chimique directe, ce serait dans une optique de régulation des fonctions cellulaires. Et ce pour maintenir le corps en état de marche. Et on ne voit pas quelle procédure de régulation serait en place pour Ebola par exemple, ou la rage, ni en quoi ça maintiendrait le corps en état de marche d’entrainer des démences, des maux de ventre, etc… D’une façon générale,il y aurait une logique derrière ça. Et vu que les mécanismes physiologiques sont relativement simples, on pourrait normalement la comprendre. On peut comprendre assez facilement la logique derrière le coritsol par exemple. Mais derrière les particules qui seraient impliquées derrière ebola, ou la rage, on ne voit aucune logique.

Et deuxièmement, on voit mal comment les cellules auraient le pouvoir de provoquer d’elles-mêmes les symptômes qu’on peut observer dans les diverses maladies virales. Il n’y clairement que des poisons externes qui peuvent provoquer de pareilles phénomènes, ou alors, des carences diverses (en eau, en minéraux, en vitamines, en sucres, en protéines, ou en lipides, etc…). Quand au fait que ça provoque la mort, là, ça devient complètement délirant.

Par ailleurs, il n’y a aucune raison que des particules régulatrices provoquent des symptômes aussi divers. Comment des particules endogènes pourraient provoquer des symptomes aussi négatifs et aussi différents que ceux de la grippe, la rage, la polio, la varicelle, la fièvre jaune, ébola, le sida, etc… ? C’est absurde.

Et puis, dans le cas où on défendrait aussi l’idée de la transmissibilité de ces particules et de leurs effets, on ne voit pas pourquoi ça le serait. Ce serait démentiel. A peine quelque centaines ou milliers de particules pourraient déséquilibrer tout le système corporel ? Une telle instabilité serait hyper dangereuse. Ca voudrait dire que n’importe quel être humain risquerait de tomber malade dès qu’il y aurait à un endroit du corps quelques centaines de ces particules de produites ou d’introduites. Ca serait une réaction en chaine qui nécessiterait très peu de matériel pour s’enclencher. Le truc de fou. Il est évident que la solution aurait été trouvée par le corps humain pour éviter cette instabilité.

Et puis ça voudrait dire que le moindre problème local devrait avoir un impact général (par multiplication).

La seule chose qui puisse provoquer tous ces symptômes, c’est forcément quelque chose d’extérieur au corps. Et c’est forcément quelque chose qui a une influence chimique, donc, un poison.

Cela dit, ça pourrait éventuellement être le cas en ce qui concerne certains « virus » de plantes du style la mosaïque du tabac. En effet, l’action du « virus » ne semble qu’être locale. Et elle semble être liée à un mécanisme de régulation. Mais bon, ça reste une simple éventualité. J’ai déjà donné une autre explication, qui est que les particules injectées peuvent provoquer un mécanisme de défense. Après tout, on peut penser qu’il n’y a très probablement pas eu d’expériences avec d’autres types de particules, n’ayant rien à voir avec le soi-disant virus. Donc, on pourrait probablement obtenir le même résultat avec un peu n’importe quoi. Et dans ce cas, la thèse de la particules endogène transporteuse d’information ferait long feu. Donc, pour ce cas particulier, ce n’est pas totalement impossible, mais à mon avis, ça reste peu probable.

Donc, on ne peut manifestement pas revendiquer que ce sont ces particules qui sont à l’origine des maladies. Ce ne sont pas des particules pathogènes. Mais, est-ce que ça peut avoir un role non pathogène ?

II) Hypothèse d’une influence positive

Si on accepte que les particules en question ont été correctement identifiées (mais qu’elles ne se reproduisent pas), vu que toute la littérature officielle considère que ces organismes ont un effet pathogène, il devient difficile de défendre l’idée que les expériences sont fausses sur cet aspect là. Si on considère que ces expériences sont bien menées sur l’aspect isolement, il devient quand même relativement dur que considérer qu’elles ont été mal conduites sur l’aspect transmission de la maladie. Ce n’est pas impossible, mais c’est plus difficile.

Et il est encore plus difficile de défendre l’idée que l’impact est positif. Que ces particules n’aient aucune influence, à la rigueur, pourquoi pas. Mais qu’on considère qu’elles ont été correctement isolées, mais que loin d’avoir un effet négatif, elles ont carrément une influence positive, là, ça devient vraiment dur à défendre.

Si ça avait un effet positif, on le verrait. Il suffirait d’isoler ces particules et de les injecter dans le corps de quelqu’un, et on verrait rapidement les effets positifs en question. En tout cas, on verrait une réaction. Et, il y aurait au moins quelques témoignages, quelques études sur le sujet. Mais je n’ai jamais entendu parler d’une telle chose.

Ca pourrait être un effet à long terme. Mais vu qu’elles sont produites durant des maladies à évolution généralement rapide, voir très rapide, une influence à long terme n’a aucun intérêt. Donc, a priori, ce n’est pas ça.

Et puis, quand la maladie disparait, les particules en question ne sont plus présentes. Ca veut bien dire que leur action est rapide. Donc, si on ne constate pas d’action à court terme, c’est qu’il n’y a pas d’action du tout. A moins bien sur, que leur action soit indirecte. Mais ça élimine le cas d’une action directe.

Surtout qu’on verrait une réaction 100 % du temps, pas quelques pourcents du temps, comme la littérature officielle l’affirme pour pas mal de virus (ou la particule est souvent présente, mais sans causer la maladie ou d’avoir d’influence quelconque sur la santé de l’individu).Par exemple pour les hormones, particules créditées d’un effet sur le corps, on constate à chaque fois quelque chose.

Alors bon, on ne sait jamais, hein. Mais, ça semble vraiment difficile à défendre.

En fait, il y a trois hypothèses : soit ces particules auraient une influence chimique, soit ça aurait une influence sur l’adn, ou en tout cas, sur la réparation de la cellule, soit ce seraient des messagers ayant simplement pour rôle d’informer la cellule d’un danger (donc, une influence positive indirecte).

a) influence chimique

Ce serait donc comme des hormones, ou des médicaments. Ca aurait une influence chimique directe. Dans ce cas, le problème reste le même que ceux qu’on a déjà vu plus haut. Ca aurait un effet à chaque fois que la particule est présente.

Un autre problème, c’est que si les cellules sont capables d’émettre ce produit chimique a l’influence positive, il n’y a pas de raison qu’elles en émettent en surplus à destination des autres cellules. Elle n’auraient qu’à l’émettre pour elles. Alors, dans ce cas, ce qu’on voit pourrait être les déchets de ces particules. Mais alors, on ne pourrait pas faire émettre ces déchets par les cellules simplement en les injectant dans le corps où dans une culture de cellules. Dans la mesure où ça ne serait que de simples déchets, ils n’auraient pas le pouvoir de faire fabriquer le produit chimique en question par les cellules.

Et puis, pourquoi ces particules contiendraient-elles de l’ADN, si c’étaient de simples produits chimiques à effet direct ?

b) influence sur l’adn ou sur la réparation de la cellule

Déjà, recevoir une influence externe sur l’adn, a priori, c’est éminemment dangereux pour la cellule. C’est la porte ouverte à des modifications négatives. Donc, normalement, la cellule va plutot compter sur elle-même. Elle va être autonome concernant sa réparation.

D’autre part, on voit mal comment la réparation pourrait être aussi rapide. Par exemple, pour le rhume, la maladie dure en générale une semaine. On voit mal comment ça pourrait agir aussi rapidement.

Et en plus, si ça répond à une attaque chimique externe, on ne voit pas tellement ce que la réparation de l’ADN vient faire là. A priori, une attaque chimique va détruire plutôt les parois des cellules. Un produit chimique qui s’attaque seulement à l’ADN, il faut que ce soit un truc vraiment vicieux. Et on ne voit pas ce qui, dans la vie de tous les jours, pourrait faire ça. En tout cas, il faudrait identifier l’attaque chimique. Et dans le cas des virus seulement légèrement pathogènes comme le rhume ou la grippe, on ne voit pas de quelle attaque chimique il s’agirait. Peut-être qu’on peut trouver des cas où on pourrait soutenir qu’il y a une attaque de l’ADN. Mais il y a plein de cas où il est clair que ça n’a rien à voir.

Et pourtant, la théorie soutient qu’il y a des particules émises par les cellules dans ces cas là. Or, s’il y a émission de ces particules réparatrices d’adn alors qu’il n’y a pas endommagement de l’ADN, la théorie est foireuse.

On pourrait soutenir qu’il y a émission de ces particules à chaque fois qu’il y a agression. Mais il y a plein de maladies transmissibles qui sont non virales (donc, causées par des bactéries). Il y agression, et pourtant, il n’y a pas de virus. Idem quand l’agression est causée par un poison genre neurotoxique. Il n’y a pas d’émission de ces particules. Donc, manifestement, cette idée ne tient pas.

Et puis, pour l’hypothèse de réparation de l’adn, il faudrait que les cellules aient un système de reconnaissance exact du danger et qu’elles sachent quel type de bout d’ADN émettre pour protéger les autres cellules. Donc, un truc super sophistiqué. Et ça ne peut pas être un truc venant des cellules du système immunitaire, puisque les expérience montrent que les particules en question sont émises par les cellules. Et comment les cellules savent exactement quelle partie de l’ADN a été endommagée dans les autres cellules. Pourquoi ce serait toujours la même partie de l’ADN qui serait endommagée dans toutes les cellules ?

En plus, il y a le danger que des cellules différentes reçoivent un adn inadéquat de la part de la cellule qui a envoyé l’ADN de réparation. Donc, non seulement les cellules identiques pourraient recevoir un bout d’ADN à l’influence négative, comme on l’a vu plus haut, mais c’est encore plus le cas pour les cellules d’un type différent.

Et si ça servait a réparer les cellules endommagées localement, on ne trouverait ces particules que dans la zone endommagée ; donc, localement et pas globalement. Alors que dans le cas d’un problème local, on trouve les particules en question souvent partout. Il suffit de faire une prise de sang, et on en trouve. Et on ne voit pas pourquoi ces particules seraient multipliées dans tout le corps. On pourrait penser que ça pourrait filtrer vers le sang. Seulement, le flux des liquides interstitiels va vers le système lymphatique, c’est à dire, vers le système d’égout du corps. Et ils sont éliminés par ce biais là. Ca ne va pas vers le sang. Donc, on ne voit pas pourquoi ça se retrouverait partout (dans le cas d’un problème local bien sur. Si c’est global, c’est normal).

Et puis, il faudrait déjà dire à quel problème ça répond. Si on considère que ces particules ne sont pas pathogènes, mais bénéfiques, il n’y a plus de cause à la maladie. Donc, on ne sait plus à quel problème ces particules répondent. Et si elles ne répondent à aucun problème, pourquoi seraient-elles bénéfiques ?

Alors, on pourrait reprendre ma théorie de l’agression chimique et dire que ça sert à réparer ensuite les tissus. Mais dans ce cas, vu que l’agression chimique touche toutes les cellules, la réparation ne toucherait pas seulement certaines cellules (par exemple, les lymphocytes dans le cas du sida). Donc, on devrait voir ces particules être émises par toutes les cellules. Ou alors, on devrait voir différentes particules se multiplier, parce que chaque particule serait destinée à un type de cellule particulier. Il devrait donc y avoir une diversité de particules relativement grande.

c) Simple influence indirecte de messager prévenant les autres cellules d’un danger

Déjà, premier problème, si ce sont les cellules qui émettent le signal (donc, les cellules qui émettent et qui reçoivent le signal sont de même type), ça veut dire qu’elles sont capable de s’apercevoir d’elles-mêmes du problème. Donc, quel est l’intérêt d’émettre un signal à l’attention des autres cellules ?

Ca pourrait avoir éventuellement un intérêt si l’agression touchait les autres cellules un certain temps après celles qui émettent le signal. Mais vu que le danger va toucher immédiatement l’ensemble des cellules, prévenir du danger n’a aucun intérêt. Le temps que les cellules mettent en branle tout le système d’information, ça fait longtemps que les autres cellules auront été touchées par l’agression chimique.

En plus, si on retient ma théorie de l’agression chimique, l’agression se réalise très rapidement. Donc, les cellules n’ont pas tellement le temps de réagir. En général, elles subissent plus ou moins passivement. Or, si les virus ne sont pas pathogènes, et vu qu’on considère que l’agression ne vient pas d’une bactérie, la seule hypothèse qui reste comme facteur d’agression des cellules, c’est soit une agression physico-chimique, soit un manque d’un produit chimique.

Et puis, encore une fois, on aurait tendance à voir une réaction particulière des cellules.

Et puis, c’est dangereux comme système quand même. C’est valable quand tout le corps est agressé. Mais quand seulement une partie du corps l’est, ça entraine le risque de voir le signal se propager dans des endroits du corps ou aucune réaction n’est requise. Et ça peut avoir donc un impact négatif au lieu de positif. Donc, ce n’est pas adapté du tout à une réponse locale.

Surtout que la pauvre cellule, elle ne peut quand même pas faire grand chose. Elle est protégée par le système dans lequel elle se trouve (le corps). Mais individuellement, elle ne peut pas faire grand chose face à une agression. Il y a apparemment deux ou trois grands systèmes de protection comme le cortisol. Mais c’est tout. Donc à quoi servirait un système prévenant d’un danger dans cette situation là ? A pas grand chose. A quoi sert de prévenir d’un danger quand on ne peut pas se défendre ?

Et puis, dans le cas des maladies causées par des bactéries, on considère, dans la théorie officielle, qu’il n’y a pas de virus d’émis. Or, si les virus sont en fait des particules transmettant une information sur le danger présent, elles devraient être émises également dans ces cas là. Vu qu’on considère que ce n’est pas le cas, il devient difficile de défendre la théorie des particules messagères de danger. Bien sur, on peut ne pas croire à la théorie des bactéries pathogène. Mais ça ne change pas grand chose, vu qu’il y a maladie et qu’il n’y a pas de virus.

III) Hypothèse d’une absence d’influence

Il est difficile de défendre l’idée qu’elles n’ont pas d’influence, bref, qu’elles seraient neutres, alors que dans le même temps, on défend l’idée qu’elles transportent de l’information entre les cellules (et c’est encore pire si on considère qu’elles ont une action chimique directe, du genre hormone). Surtout que si on reconnait qu’elles se multiplient durant les phases de maladie, c’est qu’elles y jouent un rôle (puisque ce ne sont pas de simples débris). Si elles se multiplient durant une maladie, c’est qu’elles ont une influence : soit néfaste (on a vu qu’il n’y a aucune raison que ce soit le cas), soit positive, mais une influence. Elles ne vont pas se multiplier pour rien.

Donc, on voit difficilement comment on pourrait défendre l’idée d’une absence d’effet, tout en refusant l’idée que ce sont des débris cellulaires.

Et on ne peut pas dire que l’effet serait trop lent pour être visible, puisque ce particules sont émises durant les phases aigues des maladies. Donc, c’est que l’effet est limité à la phase aigue. Donc, il doit être relativement rapide.

Conclusion :

Donc, d’une part, l’idée d’une particule transportant de l’information et qui se multiplie durant les phases de maladie mais qui n’aurait pas d’effet est complètement absurde. Et d’autre part, la théorie des particules a effet positif n’est pas absurde. Mais le problème, c’est qu’on ne constate pas la présence d’effets positifs liés à ces particules. Donc, on voit mal comment ces particules pourraient être autre chose que des débris cellulaires. Quand à l’idée que ces particules pourraient causer des maladies, de la même façon que les virus, c’est en même temps absurde et pas vérifié par les faits.