Vaccin contre la grippe et Alzheimer : un témoignage

Voici un témoignage de première main sur le vaccin contre la grippe.

Une proche parente s’est fait vacciner contre la grippe pendant environ 6 ou 7 ans ; et ce, jusqu’à il y a 2 ans. Son âge était de 70 ans environ quand elle a commencé à se faire vacciner.

Or, il se trouve que quasiment à chaque fois qu’elle s’est fait vacciner, le jour même, j’ai pu constater une baisse de niveau intellectuel et des problèmes de mémoire. Tout d’un coup, des personnes relativement connues de la télévision n’étaient plus reconnues. Les raisonnements étaient de moins bonne qualité. Il y avait tout d’un coup un coté « petite chose » qu’il n’y avait pas avant (par « petite chose », j’entends un coté plus facilement effrayé, s’excusant plus, alors que ce n’est pas le genre d’habitude). Il n’y a qu’une fois où il ne s’est rien passé.

Ce phénomène durait environ 7 à 10 jours de façon aussi intensive que durant les premiers jours. Puis, pendant 2 à 5 mois, le phénomène perdurait de façon beaucoup moins forte, et en allant en s’améliorant de plus en plus. Globalement, ça allait. Mais il y avait comme un je ne sais quoi au niveau général qui n’était pas comme d’habitude (le coté « petite chose » évoqué plus haut, et parfois des raisonnements justes, mais bizarrement amenés). Il y avait quelques moments du même genre que ceux de la première crise, mais très épisodiques (par exemple 4 ou 5 fois en décembre et janvier, 2 ou 3 fois en février et 1 fois en mars) et n’arrivant que par flashes de maximum une ou deux heures. Ce je ne sais quoi d’inhabituel diminuait donc de plus en plus. Et vers le mois d’avril, tout était redevenu comme avant. Et tout était normal jusqu’à octobre ou novembre, où là, à nouveau, le jour de la vaccination, le problème réapparaissait. Et c’était bien le jour même de la vaccination, pas 7 jours, ou 10 jours après. Non, c’était le jour même.

Une ou deux fois, je n’ai pas su si elle s’était fait vacciner, mais j’ai pu le déterminer simplement à cause de son état mental.

Il s’agit donc d’une expérience sur 6 ou 7 ans. Il ne s’agit pas d’une expérience qui n’aurait duré que 2 ans et qui n’aurait donc aucune signification. Là, sur 6 ou 7 ans, toujours au même moment, il y a très peu de chance que ce soit un hasard.

Et je ne suis pas le seul ayant noté ce genre de dégradation, puisque une autre personne proche a noté aussi des symptômes anormaux aux mêmes moments. Personne avec qui je n’avais pas parlé avant et qui n’est pas du tout quelqu’un critiquant la médecine (et qui d’ailleurs n’avait pas relié le phénomène avec la vaccination).

Vu qu’au début, les symptômes étaient légers et ne duraient qu’une semaine ou dix jours, avec juste des séquelles très intermittentes durant les 2 ou 5 mois suivants, je n’osais pas trop intervenir. Surtout que tout ça était récent. Donc, on n’avait pas encore suffisamment de recul pour que mon discours de prudence soit convaincant. Le problème, c’est qu’au fur et à mesure des années, les symptômes devenaient de plus en plus manifestes et duraient de plus en plus longtemps. La vaccination de fin 2008 ayant eu un effet largement plus important que celui des autres fois, j’ai décidé en septembre 2009 d’intervenir. Et heureusement, j’ai été écouté.

Et comme par hasard, quand elle a arrêté de se faire vacciner, eh bien, il n’y a plus eu de problèmes. Il n’y a plus eu de déclin soudain au mois d’octobre ou novembre. Ses performances intellectuelles sont actuellement au top. Tout va parfaitement bien.

Alors on pourrait dire que je ne suis pas objectif et que si je dis que tout va bien désormais, c’est parce que je suis influencé par le fait que je sais qu’elle ne se fait plus vacciner. Seulement justement, durant la première année, je n’en avais pas reçu confirmation. Elle avait dit qu’elle ne le ferait plus, mais je n’étais pas sur qu’elle avait vraiment respecté cet affirmation. Ce n’est qu’il y a 6 mois que j’ai appris au détour d’une conversation que ça avait bien été le cas (d’autres personnes avaient dit qu’elles s’étaient faites vaccinées, et elle, avait répondu qu’elle ne le faisait plus depuis mon intervention). Et pourtant, bien que j’ai été dans l’expectative et que j’observais attentivement des signes éventuels de problèmes, je n’en avais trouvé aucun.

A l’époque, toute cette histoire m’a fait repenser à quelque chose d’un peu similaire qui m’était arrivé à l’armée. Je me rappelle très bien m’être dit à plusieurs reprises durant mon armée que mon niveau intellectuel avait baissé. Plus envie de lire des bouquins un peu complexes. Plus tellement envie de réfléchir. Une sorte d’ambiance intellectuelle délétère quoi. A l’époque, j’avais pensé que c’était à cause du fait que je me levais très tôt chaque matin (5h45) et que du coup, j’étais régulièrement crevé. Seulement, j’avais eu l’occasion quelques années après, dans le cadre d’un travail un peu éloigné de chez moi, de me réveiller aussi très tôt et donc d’être souvent assez crevé. Et pourtant, là, je n’avais ressenti aucune baisse d’acuité intellectuelle à ce moment-là. Donc a priori, ce n’est pas la fatigue qui posait problème. Seulement, durant les classes (le premier mois d’armée), on se fait refaire des tas de vaccinations. Je m’étais même fait vacciner contre l’hépatite B. Donc, il est bien possible que le problème ait été lié à ça.

Donc, au travers de cette expérience de 6 ans, je crois tout à fait à la possibilité que les vaccins aient une influence néfaste sur les performances intellectuelles et puissent favoriser la survenue de la maladie d’Alzheimer ou d’autres maladies comme l’autisme, la dyslexie, etc…

C’est vrai qu’on ne s’aperçoit pas de ça sur les personnes jeunes (mais ayant dépassé le stade de la prime enfance). Mais c’est parce que leur cerveau est au top de ses performances. Ca va peut-être avoir un léger impact chez certains, mais pas suffisant notable pour qu’il soit remarqué.

C’est sur les personnes âgées ou les nourrissons, donc quand le cerveau commence à décliner ou qu’au contraire, il n’est pas encore complètement formé, que l’impact va être le plus grand. Il est évident qu’injecter un produit qui a ce genre d’effet quand le cerveau est au tout début de sa phase d’apprentissage peut la perturber fortement. De la même façon, injecter ce genre de produit quand le cerveau commence à péricliter risque d’accélérer le phénomène. Et bien sur, le cas de la vaccination contre la grippe pose particulièrement problème, vu qu’il y a répétition de l’acte tous les ans. Donc, le cerveau a à peine le temps de récupérer que paf, on l’endommage à nouveau. Surtout que la personne étant de plus en plus vieille à chaque nouvelle vaccination, l’impact risque d’être plus fort chaque année. Sur certaines personnes déjà fragiles, ça peut peut-être suffire pour qu’elles passent au bout de 8 ou 10 ans au stade de la maladie d’Alzheimer.

Seulement, dans le cas des nourrissons, vu qu’ils ne parlent pas encore et que leur interaction avec l’environnement ne consiste qu’à manger et faire quelques risettes ou pleurer, impossible de s’apercevoir du problème. Ce n’est que quand ils se mettent à parler, puis à accomplir des actions intellectuelles avancées (lecture, écriture, calcul, mémorisation, etc…), qu’on peut se rendre compte de l’état dégradé du cerveau (dyslexie, difficultés scolaires, autisme…). Seulement, à ce moment-là, comme la vaccination est déjà ancienne, impossible de relier directement la vaccination aux problèmes cognitifs. Quand les vaccins ont été faits à entre le premier mois de vie et la deuxième année et que les problèmes ne deviennent visibles qu’à 5 ou 6 ans, ça fait 4 ou 5 ans entre la cause et la découverte de l’effet. Même pour l’autisme, vu qu’on ne considère qu’il y a vraiment un problème que si l’enfant ne parle toujours pas vers 4 ou 5 ans, les vaccinations sont déjà loin derrière. En plus, la plupart des gens ont été vaccinés et n’ont pas de problèmes cognitifs pour autant. Donc, les médecins ont beau jeu de dire qu’il n’y a aucun lien entre la vaccination et ce genre de problème.

Et pour les personnes âgées, là aussi, ça passe inaperçu. Parce que comme les performances intellectuelles peuvent se dégrader avec l’âge, on fera passer le problème sur le compte de la vieillesse. On se dira que c’est un début d’Alzheimer et on n’ira pas chercher plus loin.

Seulement, maintenant qu’il y a soupçon de dégradation immédiat des performances intellectuelles à cause des vaccins, les gens pourront surveiller leur état et ceux de leurs proches. Et il pourra y avoir plus de témoignages du genre de celui du présent article.

En fait, en poussant les personnes âgées à faire régulièrement le vaccin contre la grippe, on peut penser que l’orthodoxie a fait une erreur. Parce que maintenant, tout le monde peut vérifier assez facilement s’il y a oui ou non des effets temporaires sur les performances intellectuelles. Alors qu’avant, vu que les vaccins étaient faits dans la prime enfance essentiellement, et que par la suite, ils n’avaient pas de caractère régulier, c’était plus difficile de déterminer l’existence de ce genre d’effet secondaire.

Bien sur, il y avait chez les anti-vaccins de forts soupçons d’un lien entre la vaccination et l’autisme ou la maladie d’Alzheimer. Et dans ce cadre là, cet article apporte juste un témoignage en plus allant dans ce sens (témoignage intéressant, puisque là, il s’agit d’une expérience sur 6 ou 7 ans). Mais, il n’y avait pas l’idée que ça pouvait avoir une influence délétère immédiate dans certaines catégories de population (ou alors pour des cas considérés assez extrêmes, comme des accidents vaccinaux, où par exemple un nourrisson meurt peu de temps après s’être fait vacciner. Donc, des cas très rares). Idée qui est introduite par le présent papier.