Les vraies causes de la maladie d’Alzheimer. Des hémorragies cérébrales

On complique complètement les choses concernant la maladie d’Alzheimer. On dit que c’est une maladie de dégénérescence, que l’aluminium serait impliqué, etc… On s’interroge sur des mécanismes très compliqués. Les choses sont beaucoup plus simples.

Ce qui cause la maladie d’Alzheimer, ce sont des hémorragies cérébrales. Un individu va avoir une hémorragie cérébrale massive, ou des hémorragies cérébrales moins importantes mais répétées 3 ou 4 fois. Et du coup, la quantité de neurones va chuter fortement dans une ou plusieurs zones du cerveau. Ensuite, certaines zones étant du coup beaucoup moins sollicitées, elles vont partir lentement en déshérence et la personne va perdre petit à petit les facultés cognitives qui lui restaient. Mais en général, il y a une première atteinte plus ou moins importante du cerveau. Celle-ci étant causée donc par une hémorragie.

Bien sur, il doit y avoir de nombreux cas qui sont dus à des hémorragies cérébrales naturelles. Mais très souvent, il va y avoir une cause médicamenteuse.

Les médicaments désagrégateurs de cellules sont à mon avis très fortement impliqués dans ces problèmes : antibiotiques, anti-inflammatoires non-stéroidiens, traitements anti-cancer, etc…

Les opérations chirurgicales sont apparemment une source importante de cas. Les drogues utilisées lors de l’opération pour réaliser l’anesthésie générale, plus d’autres drogues utilisées pour l’opération vont déjà donner un premier coup de semonce. Surtout qu’il faut apparemment être à jeun pour une opération (pour éviter les reflux gastriques). Et comme on l’a vu dans d’autres articles, être à jeun, ça n’aide pas. Et après l’opération, l’usage des anti-inflammatoires ou/et des antibiotiques, qui n’est peut-être pas systématique, mais tout de même certainement très fréquent, va augmenter très fortement le risque d’hémorragie cérébrale. Et s’il y en a déjà une de créée, ils vont la faire durer et l’étendre, augmentant ainsi son impact sur le cerveau.

A partir de là, il va y avoir des personnes qui vont subir un simple mal de crâne, ou une incohérence mentale qui va rapidement disparaître, ou des problème neuromusculaires temporaires, etc… ET, il va y avoir les personnes qui vont sombrer dans la maladie d’Alzheimer.

Cela dit, on peut aussi de demander si les médicaments de types cortisone (donc, qui ne vont pas désagréger les cellules, enfin, à ce qu’il semble), ne peuvent pas également engendrer une agression régulière du cerveau. Quand on voit que parmi les symptômes de la cortisone, il y a des rougeurs au visage et des maux de tête, on peut avoir quelques angoisses. Mais là, on est encore dans le domaine de l’interrogation. Alors que pour les médicaments désagrégateurs de cellules, les choses semblent assez claires.

Dans mon entourage, j’ai eu 3 cas de maladie d’Alzheimer. A chaque fois, les médicaments, ou une hospitalisation pouvait être impliqué assez clairement.

1er cas : une de mes grand-mères. Vers 75 ans, elle subit une opération. Celle-ci se passe relativement mal. Juste après, elle devient Alzheimer.

2ème cas : une de mes tantes. Vers 70 ans, on lui diagnostique un cancer du sein. Elle subit les traitements d’usage. Juste après, elle devient Alzheimer.

3ème cas : une autre tante. la famille à supposé qu’elle est tombée dans un escalier. Elle va à l’hôpital. Le jour d’après, son fils vient la voir. Elle est parfaitement cohérente. On lui donne des antibiotiques. Deux jours plus tard, elle est aphasique est complètement incohérente. 10 mois plus tard, miracle, elle se remet à parler et à être parfaitement consciente. Deux ou trois mois plus tard, on lui donne des antibiotiques pour un rhume. Et elle replonge légèrement dans l’incohérence (et ça, ce n’est pas seulement moi qui le dit, mais d’autres personnes qui étaient également allées la voir à ce moment-là).

Et bien sur, je n’ai aucun problème avec la cause de la maladie des mes proches. Si on vient me démontrer de façon convaincante que j’ai tort, je ne m’accrocherais pas à ma théorie actuelle. Je dis ça au cas où certaines personnes penseraient que cet article viendrait du fait que je serais complètement bouleversé par la maladie de mes proches et que j’aurais une idée fixe sur la cause de leur problème, parce que je serais complètement dans l’émotionnel et pas dans la réflexion. Nan, ce n’est pas le genre de la maison. Enfin bon, de toute façon, vu la quantité de sujets abordés, on voit bien que je n’ai pas fait ce site pour parler juste de la maladie d’Alzheimer. Mais bon, je préfère préciser.

Le concept d’antibiothérapie est absurde

Quand on y réfléchit un peu d’un point de vue critique, on se rend compte qu’en fait, le concept d’antibiothérapie est absurde. On ne voit pas comment ce produit pourrait tuer les bactéries à l’intérieur du corps, comme on le prétend.

Comment ce produit pourrait tuer les bactéries, alors qu’elles sont disséminées partout dans le corps au plus profond des chairs ? Surtout que ce produit attaque les cellules humaines. Donc, il faudrait détruire tout le corps pour réussir à détruire toutes les bactéries. C’est une idée qui ne tient pas la route. L’antibiothérapie, c’est une idée qui a l’air géniale de prime abord, mais qui apparaît comme complètement stupide dès qu’on y réfléchit un peu plus.

Un antibiotique, ça peut marcher in vitro, mais pas in vivo. In vitro, c’est sur que vu qu’il n’y a que les bactéries et le produit, il n’y a pas de problème. Mais en situation réelle, c’est à dire une fois dans le corps, c’est autre chose. Là, ça ne peut pas marcher parce qu’il faut détruire le corps en entier pour détruire la totalité des bactéries.

C’est encore pire que la chimiothérapie (pour le cancer donc). Parce qu’au moins, pour la chimiothérapie, la tumeur est à peu près localisée. Donc, on pourrait éventuellement attaquer la chose localement (ce qu’on ne fait pas, puisqu’on fait passer les médicaments par le système sanguin). Mais là, ce n’est même pas le cas.

D’ailleurs, il semble qu’on ne prétende pas exactement que les antibiotiques tuent les bactéries, mais plutôt qu’ils les empêchent de se développer. Donc, il ne s’agirait même pas de les tuer.

On pourrait me dire que ça laisse le temps au système immunitaire de mettre en place sa défense pour éliminer la bactérie. Mais, même là, de toute façon, l’antibiotique ne pourra pas avoir assez d’action pour empêcher la bactérie de se développer en masse. Et puis, dans ce cas, puisque le système immunitaire serait alors sensé pouvoir se débarrasser de la bactérie, il suffirait de vacciner contre la bactérie. Mais s’il n’y a pas de vaccin, c’est qu’il ne peut pas y en avoir. Et puis, pour plein de bactéries tueuses, par exemple pour la légionelle, les gens sont en permanence, ou au moins très souvent en contact avec elles. Donc, si le fait d’être en contact prolongé devait leur permettre d’avoir des défenses, ils devraient en avoir depuis bien longtemps, lorsque le problème arrive. Donc, on ne peut pas mettre en avant cet argument que ça donnerait le temps au système immunitaire de se mettre en place.

Le seul endroit où un antibiotique pourrait éventuellement avoir un effet, c’est dans le système digestif, puisque la bactérie n’est alors pas enfouie loin dans le corps ; mais ailleurs, non (tout ça en supposant bien sur que les bactéries pathogènes existent bien sur). Mais comme l’antibiotique attaque par ailleurs le système digestif, on ne sait pas ce qui est le pire. De toute façon, en général, les bactéries impliquées dans l’attaque du système digestif sont sensées attaquer par émission de toxine (ce que je pense être vrai. C’est une des seules situations, avec la gangrène, où effectivement, des bactéries me semblent impliquées. On retrouve l’action via toxines aussi dans le tétanos). Et il semble qu’en fait, en général, la toxine a été produite dans l’eau ou l’aliment, puis avalée, mais n’a pas été produite sur place, dans le ventre (en tout cas, pas en quantités suffisantes pour entraîner un problème). Donc, puisque le problème se résume à l’ingestion d’un poison, l’antibiotique ne sert à rien.

En fait, l’antibiothérapie c’est encore un concept qui a été conçu dans les temps héroïques de la médecine, au temps des médias de masse, quand personne ne pouvait contester le truc. Et ensuite, comme c’est rentré dans les moeurs, plus personne n’a pensé à remettre en cause les fondements du truc.

D’ailleurs, ça enterre pas mal aussi la théorie des bactéries pathogènes. Parce que les personnes sont sensées avoir des bactéries pathogènes dans le corps, et elles s’en sortent alors que les médicaments qu’on leur donne ne leur permettent en réalité pas de s’en sortir. Donc, ça montre bien que les bactéries pathogènes en question ne sont pas pathogènes du tout et que la cause du mal être est ailleurs. A mon avis, le plus probable est que la cause des problèmes est toujours physico-chimique (mais plus souvent purement chimique que physique et chimique, ou purement physique). Il s’agit simplement, en général, de déséquilibres chimiques ou de manque de telle ou telle substance importante pour le corps, parfois de problèmes plus physiques que chimiques (donc, qui se situent à des niveaux plus macroscopiques que microscopiques).

Concernant le fait que l’antibiotique attaque aussi les cellules humaines, je crois avoir lu sur certains documents que les antibiotiques sont sensés ne réagir qu’avec les bactéries et pas avec les cellules humaines. Donc, on pourrait me dire que ça n’attaque en fait pas le corps. Ce qui conduit à l’idée que l’intégralité du produit serait disponible pour lutter contre les bactéries puisque ça n’interagit pas avec le corps. Et donc, ça conduit à l’idée qu’il n’y aurait pas besoin de détruire le corps presque en totalité pour détruire les bactéries pathogènes. Ce qui peut au bout du compte amener à penser que la dose d’antibiotique est adaptée et que l’antibiotique pourrait se faufiler dans les méandres du corps pour atteindre l’intégralité des bactéries pathogènes. Ben dans ce cas, si c’est si anodin, qu’on donne dix ou vingt fois la dose habituelle d’antibiotique aux personnes qui seraient susceptibles de défendre cette idée. Et on verra si c’est si anodin et si ça n’interagit pas avec les cellules humaines. Je suis sur qu’il n’y aurait pas beaucoup d’amateurs et que les conseilleurs n’auraient pas tellement envie d’être les payeurs.

La leucémie est causée par les antibiotiques et les anti-inflammatoires. Et la nature de la leucémie n’a rien à voir avec celle de la version officielle

Parmi les effets des médicaments désagrégateurs de cellules (antibiotiques, anti-inflammatoires, anti-paludéens, etc…), il y a celui de provoquer des leucémies. On va d’ailleurs voir à l’occasion de cet article que la nature de la leucémie n’a rien à voir avec ce qu’en dit la médecine officielle, et que loin d’un diagnostic de mort plus ou moins imminente, c’est un diagnostic de quelque chose de complètement anodin.

1) Diagnostic et symptômes de la leucémie

Selon la version officielle, la leucémie est une forme de cancer de la moelle osseuse. La moelle osseuse se mettrait à produire des quantités invraisemblables de lymphocytes, ce qui est sensé conduire plus ou moins rapidement à la mort. Il suffirait d’une prise de sang pour détecter le problème. Les globules blancs produits seraient des globules blancs immatures. Dans un certain nombre de cas, la multiplication des globules blancs se ferait au détriment de celle des globules rouges et des plaquettes.

Tout ceci entraînerait les symptômes suivants : asthénie, pâleur, dyspnée (c’est à dire détresse respiratoire, liées à l’anémie), syndrome hémorragique [lié à la thrombopénie ou à la CIVD (coagulation intravasculaire disséminée)], fièvre spécifique ou bactérienne, hématomes, douleurs osseuses, atteinte neurologiques, atteintes cutanées. Ca c’est pour les LAM (leucémie aigues myéloïdes).

Le diagnostic repose donc sur la présence des symptômes cliniques, puis sur l’analyse du sang. Mais, désormais, on fait reposer in fine le diagnostic sur un examen de la moelle osseuse. Et ce n’est que si celle-ci est anormale qu’on dit qu’il y a leucémie.

La réalité est la suivante. En fait, la théorie est fausse, les tests sont faux, et le diagnostic est faux. La leucémie ne vient pas du tout d’une cancérisation de la moelle osseuse.

A mon avis, il y a deux possibilités. Je penche désormais plus pour la première (qui est d’ailleurs chronologiquement la dernière que j’ai imaginée).

2) Première possibilité

Il y a plusieurs choses qui vont amener à un diagnostic de leucémie.

2,a) Des tests non spécifiques

Déjà, les tests ne mesurent pas du tout la quantité de lymphocytes, mais la quantité de particules de la taille des lymphocytes. Le test n’est absolument pas spécifique des lymphocytes (chose que je n’avais pas compris au moment de ma première analyse). Tout agglomérat de particules de la taille des lymphocytes va être considéré comme un lymphocyte par le test, même si ça n’en est pas. Donc le test va comptabiliser les lymphocytes, plus plein d’autres particules. Particules qui se trouvent avoir la même taille que les lymphocytes. Donc, le diagnostic repose en réalité sur un test qui mesure un artefact.

2,b) Prise de médicaments désagrégateurs de cellules

Ensuite, presque tout le temps, la personne aura pris un médicament désagrégateur de cellule. Une personne va prendre pour une raison ou pour une autre des antibiotiques, ou des anti-inflammatoires non stéroïdiens, ou un anti-paludéen, etc…, tout médicament désagrégeant les cellules et les débris. Du coup, les particules dans le sang vont être désagrégées. A partir de là, il va y avoir plusieurs problèmes.

D’abord, comme on l’a déjà vu dans l’article sur les antibiotiques, ces médicaments vont désagréger les parois des petits vaisseaux sanguins. Ca ne va pas avoir de répercussion dans les endroits où il y a des muscles, parce que les dégâts ne sont pas assez importants pour être gênants. Les muscles étant trop robustes pour être impactés. Mais dans les endroits plus fragiles ou qui ne peuvent pas se réparer, on va se rendre compte du problème. Les poumons vont être plus facilement agressés, ainsi que le cerveau. Les yeux vont parfois saigner aussi. Ces médicaments peuvent aussi créer des éruptions cutanées, ainsi que des douleurs articulaires. Donc, on retrouve les symptômes de leucémie décrits plus haut : détresse respiratoire, hémorragies, hématomes, atteintes neurologiques (en fait, en général des accidents vasculaires cérébraux), atteinte cutanées, douleurs osseuse

Ensuite, ces médicaments vont désagréger les globules rouges et les plaquettes. Du coup, la diminution du nombre des globules rouge et des plaquettes va engendrer une anémie (et donc de la pâleur).

Ensuite, concernant la multiplication des globules blancs (les leucocytes), ce qui ce passe est la chose suivante.

D’abord, puisque les médicaments en question désagrègent les débris cellulaires et les cellules, il va y avoir une explosion de petites particules dans le sang. Ce sont ces particules qui, à terme, vont être comptabilisées comme globules blancs ; mais pas dans l’immédiat, puisqu’elles sont trop petites pour être détectées en tant que globules blancs.

Ca pourrait être éliminé ou recyclé par le foie. Mais il est bien possible que le foie recycle plus mal les particules en dessous d’une certaine taille. En effet, il est face à un dilemne. Il doit éliminer les déchets cellulaires. Mais il ne doit pas éliminer les nutriments de type protéine. Donc, comment faire ? Eh bien, les déchets passent par le système lymphatique, qui est en réalité comme un système d’égout pour le corps. C’est un système veineux différent du système veineux sanguin. Donc, a priori, dans le système lymphatique. les déchets sont collés à des particules plus grosses, et par ailleurs, elles doivent s’agglomérer entre elles pour former des particules plus grosses. Et du coup, ce qui doit se passer, c’est que dans le foie, les grosse particules sont éliminées, tandis que les petites (normalement les protéines), ne le sont pas. Pour le corps, c’est un moyen simple et élégant de résoudre le problème.

Mais du coup, quand une personne prend des médicaments qui désagrègent les cellules et les débris dans le sang, ceux-ci sont désagrégés en des particules probablement trop petites pour être éliminées par le foie. Donc, elles continuent à tourner dans le sang, sans être éliminées, ou en étant éliminés en moins grande quantités que d’habitude. Un autre effet de ces médicaments (reconnu officiellement celui-ci) est d’esquinter le foie. Du coup, là aussi, on va avoir une moins grande élimination des déchets cellulaires que d’habitude.

Résultat, les petites particules s’accumulent dans le sang. Et elles restent sous cette forme de petites particules à cause de l’action des médicaments désagrégateurs.

Les tests de mesure de quantité de globules blancs doivent estimer la taille des particules. Donc, normalement, il n’est pas possible que des petites particules passent pour un globule blanc. Mais voilà ce qui va se passer.

Le jour où la personne arrête de prendre les médicaments en question, comme il n’y a plus de substance pour désagréger les particules, celles-ci vont recommencer à s’agréger entre elles. Et elles vont le faire d’autant plus qu’elles sont nombreuses dans le sang. Donc, il va y avoir une explosion de la quantité de « grosses » particules, et donc, de particules de la taille des lymphocytes.

Du coup, si on fait un test sanguin pour voir la quantité de lymphocytes, on va avoir l’impression que la quantité de lymphocyte a explosé. Donc, le médecin va avoir une forte probabilité de commencer à penser à un diagnostic de leucémie.

On va avoir d’autant plus de globules blancs que la médecine officielle estime que lors d’une leucémie, il y a, en plus des globules blancs normaux, de nombreux globules blancs anormaux qui sont comme des précurseurs de globules blancs, des bébés globules blancs. Donc, a priori, ce sont des globules blancs d’une taille inférieure à celle de globules blancs normaux. Et le processus que j’ai décris précédemment fait qu’on va en comptabiliser beaucoup, car l’agrégation des petites particules va faire plus de petites cellules que de grosses, au moins dans un premier temps. Surtout qu’on va certainement comptabiliser aussi les globules blancs normaux.

Donc, avec les symptômes qu’il y a eu quelques semaines avant, lors de la prise de l’antibiotique, si on fait un test pour mesurer la quantité de leucocytes à ce moment là, le médecin risque de s’orienter vers un diagnostic de leucémie.

En résumé, on a deux étapes : 1) une étape de prise de médicaments désagrégateurs de cellules, avec les symptômes liés à ces médicaments ; 2) une étape de récupération après l’arrêt des médicaments. Etape qui, au niveau des symptômes cliniques, s’accompagne surtout d’un retour de la fièvre, puisqu’il faut éliminer les particules en suspension dans le sang et le système lymphatique. Et au niveau des marqueurs biologiques cette étape s’accompagne donc d’une explosion de ce que les tests supposent être des globules blancs.

Comme on peut le voir, les symptômes se présentent à des moments différents. Mais pourtant, des symptômes de la période 1 se retrouvent avec des symptômes de la période 2 dans le diagnostic des leucémies.

En fait, à ce moment là, la personne ne subira probablement plus les symptômes ressentis lors de la prise de l’antibiotique. Mais le médecin ne considérera pas que les symptômes présents au moment de l’examen. Il prendra en compte aussi les symptômes qui se seront manifestés 3 semaines avant, lors de la prise de l’antibiotique. Donc, dans le diagnostic fait par le médecin, on aura effectivement tous les symptômes de la leucémie présents : explosion du nombre de globules blancs, anémie, pâleur, éventuellement éruption cutanée, éventuellement baisse de la quantité des globules rouges et des plaquettes, etc… En fait, la médecine officielle mélange allègrement les symptômes des deux périodes. Comme elle ne comprend pas ce qui se passe, elle considère que les symptômes qu’il y a eu quelques semaines avant ont pour origine la même cause et font partie d’un même phénomène, alors qu’en réalité, c’est parce que ce qui entraînait les symptômes de la phase 1 n’agit plus que les symptômes de la phase 2 apparaissent.

Heureusement, comme le diagnostic final repose sur l’analyse de la moelle osseuse, on va avoir peu de cas de leucémie. Il va falloir trouver une moelle osseuse qui sera estimée cancéreuse (ce qui dépendra, là aussi, de diagnostics qui doivent reposer la plupart du temps sur des artefacts). Et comme ça n’arrive pas souvent, ça limite le nombre de cas de leucémie. Sinon, si on ne se basait que sur les diagnostics sanguins, on aurait facilement 20 fois plus de diagnostics par an.

En général, les choses ne vont pas se passer en une seule fois. Il va y avoir une succession de cycles de ce genre : épisode de maladie, accompagné de prise d’antibiotiques ou d’anti-inflammatoires, rémission des symptômes consécutive à la prise d’antibiotique (qui va faire tomber la fièvre principalement, mais aussi limiter certains autres symptômes comme le nez qui coule), puis reprise de la maladie lors de l’arrêt de l’antibiotique, ce qui s’accompagne à nouveau d’une prise d’antibiotique, etc… Après 3 ou 4 cycles de ce genre, les parents peuvent s’affoler et aller voir un médecin qui, s’il est du genre excité, va éventuellement faire un prè-diagnostic de leucémie. Et avec pas mal de malchance, les examens biologiques vont trouver une moelle osseuse cancéreuse.

C’est pour ça qu’il y a pas mal d’enfants qui sont touchés (la leucémie représente 1/3 des cancers de l’enfant. C’est le plus fréquent des cancers de l’enfant). C’est parce qu’à cet age, il y a souvent des problèmes ORL qui sont soignés par antibiotiques et donc, qui récidivent, et qui sont à nouveau soignés par antibiotiques, etc… Ceci, en générale par des parents qui pensent obtenir un maximum de sécurité en donnant des antibiotiques à leur enfant ou par des médecins qui donnent des antibiotiques pour un oui ou pour un non. Ca arrivera moins chez les adultes, parce que ceux-ci laisseront passer l’orage sans utiliser de médicaments. Et en plus, le médecin ne pensera pas à une leucémie face à un tel problème. Il fera plus un diagnostic de bronchite chronique, ou autre problème du genre récidivant mais plus ou moins bénin.

3) Deuxième possibilité

L’antibiotique ou autres médicaments désagrégateurs de cellules attaquerait la moelle osseuse. Du coup, il y aurait comme un phénomène de rattrapage à l’arrêt de la prise d’antibiotique. La moelle osseuse, ayant été agressée, se mettrait à produire beaucoup plus de globules blancs. Donc, le test mesurerait cette explosion de la quantité de globules blancs, et le docteur diagnostiquerait alors une leucémie. Donc, là aussi, on serait face à un phénomène non dangereux et devant rapidement régresser.

Seulement, il y a deux ou trois choses qui me font pencher pour la première possibilité.

A mon avis, la moelle osseuse ne peut pas être atteinte par l’antibiotique parce que celui-ci aura réagi avec autre chose avant d’atteindre la moelle osseuse. Donc, il n’y aurait pas de raison que celle-ci surréagisse. Croire que la moelle osseuse va être en partie détruite, c’est comme croire à la chimiothérapie pour le cancer. Il faudrait qu’une partie identique, voir supérieure du corps soit détruite pour que la moelle osseuse ait un tel pourcentage de détruit. Donc, il semble peu probable que ça détruise la moelle osseuse, et donc, qu’il y ait comme un phénomène de rattrapage. A priori, c’est plus la première possibilité qui semble la plus crédible. Par ailleurs, la réussite des traitements fait beaucoup plus privilégier la première solution que la seconde (voir la section 6).

4) Un phénomène naturel non dangereux

Donc, en réalité, on est face à un phénomène naturel qui n’est pas du tout dangereux pour la santé. Et évidemment, avec l’élimination qui se fait à nouveau normalement, la quantité de leucocytes estimée par le test (en réalité la quantité de particules ayant la taille des leucocytes), va diminuer progressivement au fur et à mesure que le temps avance. Disons un mois plus tard, la quantité aura déjà bien diminué, et trois mois plus tard, il n’y paraîtra plus.

Seulement, en général, les médecins n’attendent pas un mois plus tard, ou trois mois plus tard. Non, puisque la leucémie, en tout cas, la leucémie aigue (mais la leucémie myéloïde chronique est sensée conduire automatiquement à la leucémie myéloïde aigue. Et elle entraîne la prise immédiate d’un traitement) est considérée comme mortelle à relativement brève échéance, ils vont déclencher le plan Orsec immédiatement, et donner à la personne un traitement de cheval. Donc, impossible de voir que la situation aurait évolué dans le bon sens assez rapidement (sans nouvelle prise de médicament désagrégateur de cellule évidemment. Parce que dans ce cas, la situation resterait la même, voir se dégraderait).

Bien sur, ce traitement contre la leucémie va tuer un certain nombre de personnes. Et vu que la leucémie n’est pas mortelle du tout, tous les morts seront donc dûs aux médicaments. Mais les médecins considèreront la plupart du temps que c’est la leucémie qui est en cause. Enfin, ça, ça sera l’opinion du médecin de base. Bien sur, certains médecins d’un peu plus haut niveau accepteront l’idée que les médicaments causent un certain nombre de morts, puisque la médecine applique en général le principe que si la maladie est dangereuse, il faut des médicaments puissants. Mais, comme ils posent à la base le principe que la leucémie est mortelle 100 % du temps, ils mettront en avant le principe « bénéfice/risque », c’est à dire que le bénéfice du médicament outrepasse son risque. C’est à dire qu’à partir du moment où le médicament soigne, ne serait-ce que quelques % des patients, même s’il en tue disons 50 %, le bénéfice reste positif, puisque sinon, il y aurait 100 % de morts. Avec ce type de réflexion, le moindre bénéfice du médicament valide son usage.

Donc, que l’opinion du médecin soit la première ou la deuxième, ça ne change pas grand chose pour le patient. Le médecin est convaincu du bien fondé du traitement. A noter que même pour ceux qui ont une opinion un peu plus évoluée sur le sujet (la deuxième donc), en général, dans la pratique, il vont considérer que la mort est due à la leucémie, et ne pas chercher les signes que la mort est due aux médicaments. Ca ne sera que s’ils ont une conversation sur le bien fondé du traitement, donc en général déconnectée d’un cas précis, qu’ils se rappelleront d’un seul coup du problème.

5) Résultat

C’est pour ça qu’on voit des individus qui font un yoyo « maladie – prise d’antibiotiques – diminution de certains symptômes (fièvre par exemple) – arrêt des antibiotiques – remaladie – prise d’antibiotiques – diminution de certains symptomes – arrêt des antibiotiques – remaladie-etc…, avec au bout de 2 ou 3 mois un diagnostic de leucémie. Lors de mes premières recherches sur la leucémie, il y a 3 ou 4 ans, je suis tombé sur deux ou trois cas d’enfants qui avaient suivi exactement ce parcours. Pendant 3 ou 4 mois, ils avaient soi-disant eu des bronchites, ou des rhumes à répétition (dans les trois ou quatre cycles comme décrit précédemment), à chaque fois soignés par des antibiotiques, avec à la fin le diagnostic de leucémie.

Le problème, c’est que les antibiotiques vont avoir une grosse tendance à entraîner ce genre cycle. En effet, en plus de désagréger les cellules et les débris, ça va diminuer la fièvre. Donc, la personne se sentant mieux va avoir l’impression que sa maladie est terminée, alors qu’en fait, les particules sont toujours en suspension et vont redéclencher de la fièvre dès l’arrêt de l’antibiotique. Ce sont plutôt les antibiotiques qui vont mener à ce genre de yoyo, parce qu’ils sont utilisés, à tort, pour lutter contre les rhumes, les grippes, et autres problèmes ORL de ce genre (bronchites, etc…). Les anti-inflammatoires stéroïdiens vont a priori être moins concernés par ce genre de cycle. Ils font tomber la fièvre eux aussi, mais a priori sans le phénomène de désagrégation des cellules et des débris. Toutefois, on peut se demander s’ils n’empêchent quand même pas l’agrégation des débris déjà constitués. Par contre, concernant les anti-inflammatoires non stéroïdiens, il est très possible qu’eux aussi entrainent une désagrégation des cellules et débris et soient aussi néfastes que les antibiotiques. Mais ça doit dépendre du dosage. De l’aspirine faiblement dosée doit avoir les mêmes effets que de la cortisone. Et comme ce sont des dosages relativement faibles qu’on utilise généralement dans ces cas là, on peut penser que les anti-inflammatoires sont relativement peu impliqués dans ce genre de cycle. Peut-être que les anti-paludéens pourraient déclencher ce genre de cycle. Mais dans les pays dans lesquels le paludisme est sensé être endémique, on va très rarement faire un diagnostic de leucémie, par manque de moyens de détection. Heureusement pour eux.

Donc, avec ce système de cycle, on commence en général par quelque chose d’anodin pour finir par quelque chose de grave. C’est un phénomène qui survient souvent avec la médecine officielle.

Autre chose. Si on a affaire à des parents angoissés qui sont du genre à s’affoler quand ce genre de choses arrive, la probabilité d’un tel diagnostic de leucémie augmente. Parce qu’ils vont déclencher le plan Orsec et vont risquer alors de tomber sur un médecin surexcité. Surtout qu’ils auront tendance à prêter plus attention à ce type de médecin qu’à un médecin qui se veut rassurant. On voit de temps à autre à la télé des gens comme ça, qui disent que tel premier médecin consulté n’avait rien trouvé de grave, et qu’heureusement qu’ils ont trouvé le médecin qui a fait le diagnostic de leucémie, sinon, leur fils ou leur fille y passait. D’ailleurs, dans le cas d’un enfant, le genre de parcours yoyo décrit plus haut indique déjà un certain stress des parents, puisque donner des antibiotiques à chaque coup pour un simple rhume, ou bronchite ou autre problème ORL bénin indique déjà une certain propension à la médicalisation pour assurer une sécurité maximum à son enfant. Une telle façon de faire n’est bien sur pas systématiquement significative d’un comportement du genre à s’affoler. Mais ça va assez souvent avec.

Autres situations possibles, les individus qui subissent une opération chirurgicale qui prennent des anti-inflammatoires, et qui, lorsqu’ils les arrêtent, ont de la fièvre, etc…, et ont un diagnostic de leucémie. Cela dit, souvent, ça ne sera pas aussi direct. La personne qui a pris des anti-inflammatoire après l’opération, lorsqu’elle aura son épisode de fièvre, prendra probablement des antibiotiques. Et ce n’est qu’après cette prise d’antibiotiques, ou même après un deuxième cycle « arrêt des antibiotiques-fièvre-prise d’antibiotique », qu’on lui diagnostiquera la leucémie. Ca pourra aussi passer par la découverte d’une soi-disante infection nosocomiale (genre staphylocoque doré), qui impliquera la prise d’antibiotique pour la soigner. En général, il suffira de tomber sur un médecin un peu surexcité de la leucémie, et hop, le diagnostic tombera. Donc, il y a aussi une grosse part de manque de bol dans cette histoire de leucémie. Parce que pas mal de médecins prendront le truc de façon relativement cool, et éviteront de balancer un diagnostic apocalyptique comme la leucémie.

Le diagnostic de leucémie doit arriver aussi à la tête du client, comme très souvent en médecine. Si on est un enfant ou un vieillard, on va avoir beaucoup plus de chance d’avoir un diagnostic de leucémie (même si c’est très loin d’arriver systématiquement dans les situations que j’ai décrites. Heureusement, sinon, entre 10 et 20 % de la population aurait un diagnostic de leucémie un jour ou l’autre, voir peut-être plus) que si on est un jeune adulte. C’est le principe des catégories à risque.

Enfin bref, la leucémie, c’est vraiment l’arnaque totale. Autant, pour les autres cancers, il y a un danger éventuel que la tumeur devienne trop grosse dans ou à proximité d’un organe vital et provoque le dysfonctionnement de cet organe, autant là, c’est du pur n’importe quoi.

6) Une incohérence apparente et le pourquoi de la « réussite » des traitements contre la leucémie

On me dira que justement, souvent, on prend des antibiotiques lors d’un traitement contre la leucémie. Et la chimiothérapie est à base de médicaments qui ont les mêmes effets que les antibiotiques (ce sont des désagrégateurs de cellules). Donc, on devrait se retrouver avec le même phénomène de yoyo. Et la leucémie devrait revenir à la fin du traitement.

Bref, il devrait y avoir une rechute à court terme. Or, ce n’est en général pas le cas. Pourquoi ? C’est parce qu’on donne un traitement de cheval. Un des effets de ce traitement massue est qu’on a beaucoup moins envie de manger et donc, qu’on maigrit. Du coup, au bout du traitement, puisqu’on mange très peu et donc, qu’on a maigrit, l’organisme a eu le temps d’éliminer les particules présentes dans le sang, et on se retrouve avec très peu de ces particules dans le sang. Donc, forcément, il y a également beaucoup moins de particules de la taille des leucocytes. Et comme ce sont les particules de la tailles des leucocytes, et pas seulement les leucocytes eux-mêmes que mesurent les tests, les médecins vont dire que le traitement à réussi. Ensuite, le taux de leucocyte va remonter, mais comme il est reparti d’un bas niveau et qu’il n’y a désormais plus de raisons (plus de prise d’antibiotiques ou autres médicaments désagrégateurs de cellules) que les petites particules s’accumulent, il va revenir à un taux normal. En fait, le traitement de la leucémie réussit parce que c’est un jeûne forcé.

Par ailleurs, dans l’hypothèse de la possibilité deux, donc si la moelle osseuse peut vraiment être attaquée par un tel traitement, il serait alors possible que le traitement attaque la moelle osseuse, ce qui ferait qu’avec un traitement aussi puissant, on finirait par avoir vraiment une agression du système produisant les leucocytes.

C’est pour ça que la première hypothèse analysée me semble la plus juste. Parce que si la moelle osseuse était agressée et qu’il y avait un phénomène de rattrapage de la part de celle-ci, on aurait ce phénomène de rattrapage aussi à la fin de la chimiothérapie. Le fait que ça n’arrive pas, va dans le sens de la première possibilité.

Cela dit, le taux de récidive des leucémies aigues, pas dans l’immédiat, mais au bout de plusieurs mois ou années, semble assez important (en tout cas pour la leucémie myéloïde aigue dont le taux de récidive est entre 60 et 90 %). Mais, il est bien possible que comme la personne est sous-surveillance médicale serrée, et que l’angoisse doit être élevée concernant son état de santé, le moindre rhume ou autre petite affection sera traité plus sérieusement qu’un problème chez une personne sans antécédent de leucémie. Donc, on aura plus souvent tendance à donner à nouveau des antibiotiques, ce qui recommencera le cycle décrit plus haut, et fera que la personne aura un risque d’avoir à nouveau un diagnostic de leucémie.

7) Autre objection possible

Bien sur, comme in fine, le diagnostic repose sur l’analyse de la moelle osseuse, on pourrait dire que quelque part, l’hypothèse d’une tumeur est tout aussi plausible que la mienne. La moelle osseuse pourrait être réellement de caractère tumoral. Il pourrait y avoir réellement surproduction de leucocytes et sous production de globules rouges et de plaquettes. Et donc, les premiers symptômes de type rhumes ou bronchite a répétition, et de risque d’hémorragie, seraient eux aussi logiques dans cette optique.

Seulement, ce qui va à l’encontre de cette idée, c’est que les traitements marchent. Or, ils ne devraient pas marcher. Comme je l’ai déjà dit, croire qu’on peut détruire toute la moelle osseuse via les traitements, c’est comme croire la même chose pour les cancers. S’ils détruisent la moelle osseuse, ils devraient avoir détruit le corps bien avant.

Donc, ça marche alors que ça ne devrait pas marcher. Donc, c’est bien que la réussite vient d’une autre raison. Et la raison, c’est celle évoquée dans la section précédente, à savoir que le traitement diminue l’appétit et donc, fait maigrir la personne, ce qui fait que la quantité de particules de la taille des leucocyte s’effondre et ne remonte pas une fois le traitement stoppé.

Par ailleurs, normalement, ça ne pourrait pas être toute la moelle osseuse qui devrait être cancérisée, mais seulement une partie. Ca devrait être localisé. Donc, on devrait assister à une augmentation localisée de globules blancs. On devrait pouvoir tracer l’endroit où se trouve la tumeur. Et du coup, il devrait y avoir des thromboses aux endroits en question, à cause de l’accumulation locale de globules blancs. En fait, dans de nombreux cas, l’afflux de globules blanc ne devrait pas pouvoir sortir de la zone. Donc, on ne devrait pas pouvoir mesurer la chose à partir d’une prise de sang faite dans le bras. Les ganglions lymphatiques devraient être complètement enflés à proximité de l’endroit ou se trouve le cancer, comme pour les autres cancers. Mais ce n’est pas le cas.

D’ailleurs, dans la mesure où ça devrait être un phénomène local, on voit mal, puisque seulement une petite partie de la moelle osseuse serait cancérisée, comment une multiplication incontrôlée d’une petite partie de l’ensemble de la moelle osseuse devrait aboutir à une quantité de globules blancs mettant en jeu le pronostic vital de l’individu. A priori, quelqu’un qui avale 2 steaks, plusieurs yaourts, du pain, etc…, dans une journée, va avoir plus de particules en suspension dans le sang que ce que peut en produire une moelle osseuse cancérisée à un endroit du corps. Surtout qu’il y a le problème de l’épuisement du stock local de matière première permettant de fabriquer les leucocytes qui se pose. Est-ce que vu le rythme de multiplication des leucocytes, la matière première permettant de les fabriquer ne va pas venir à manquer assez rapidement ?

Enfin, vu que le phénomène ne devrait être que local, il ne devrait pas y avoir de baisse très notable de la quantité des plaquettes et des globules rouges. Puisque la moelle osseuse se trouvant dans d’autres os n’est pas touchée par le problème, elle devrait continuer à produire des plaquettes et des globules rouges. Et comme cette moelle osseuse saine devrait représenter la majorité de la moelle osseuse, la quantité de plaquettes et de globules rouges devrait rester a peu près normale. Mais ça baisse. Donc, c’est qu’il y a une autre raison à la baisse de la quantité de plaquettes et de globules rouges.