Non existence du système immunitaire : le problème des greffes

Donc, comme dit dans l’article précédent, sans microbes pathogènes et sans maladies immunitaires, il ne reste plus que le problème des greffes pour valider l’existence du système immunitaire.

L’argument pour soutenir l’existence du système immunitaire par rapport au greffes, c’est le fait qu’il y a rejet des greffes quand le donneur n’est pas compatible avec le receveur, ainsi que le fait que même en cas de donneur compatible, il peut y avoir rejet de la greffe si le receveur ne prend pas de médicaments diminuant la réponse immunitaire. Le receveur est obligé de prendre ces médicaments toute sa vie ; sinon, à tout moment, il risque le rejet de la greffe.

Seulement, déjà, il y a une contradiction. Si le receveur prend des médicaments qui abaissent très fortement son immunité (tellement que son « système immunitaire » n’est plus capable de reconnaître le non soi, ou de le combattre), il devrait être sujet à toutes les infections de la terre. Comme pour le sida, il devrait mourir en une semaine d’un de ces microbes pathogènes qu’on trouve partout ou qui sont très fréquents : légionelle (dans l’eau des salles de bain, de la cuisine), salmonelle, staphylocoque doré, tétanos, rhume, grippe, toutes les maladies contre lesquelles il était vacciné et contre lesquelles il n’a plus de protection, gangrène, etc… Or, ça n’arrive pas. Un certains nombre de greffés subissent bien certaines infections. Mais on est loin du compte par rapport à la diversité et aux nombre d’infections qu’ils devraient contracter (d’ailleurs, ils devraient tout attraper en même temps). Et on est également loin du compte par rapport au fait qu’ils devraient succomber en à peine une semaine.

Surtout que l’organe à rejeter est largement supérieur en taille à ce que l’organisme à affaire d’habitude. Donc, le système immunitaire ne peut pas louper cet organe étranger. C’est la première chose à laquelle il devrait s’attaquer s’il avait la moindre possibilité de le faire. Donc, on ne peut pas défendre l’idée que le système immunitaire est juste affaibli suffisamment pour ne pas attaquer le greffon, mais suffisamment peu pour qu’il puisse continuer à endiguer le flot des microbes pathogènes. En plus, comme l’orthodoxie défend l’idée que sans les médicaments, la personne verrait sa greffe rejetée, on se demande bien quel est le niveau où se situerait le point d’équilibre entre non rejet de la greffe et rejet des microbes pathogènes. Est-ce que c’est 20 % d’efficacité en moins ? 50 % ? 70 % ?

Donc, leur immunité semble marcher très bien. Donc, normalement, le greffon devrait être rejeté rapidement. Seulement, ça n’arrive pas. Le greffon n’est pas rejeté. Donc, forcément, c’est qu’il n’y a pas de système immunitaire. S’il y en avait un, il rejetterait le greffon.

L’argument ultime, c’est que sans les médicaments, le greffon serait rejeté. Donc, les orthodoxes diront que ça prouve bien qu’il y a un système immunitaire. Les orthodoxes tablent sur le fait personne ne fait l’essai de suspendre son traitement. Alors, bien sur, en l’absence d’essai, il n’y a pas de preuve que le greffon serait rejeté, mais il n’y en a pas qu’il ne serait pas rejeté. Donc, les orthodoxes ne peuvent pas prouver qu’ils ont raison, mais on ne peut pas prouver non plus qu’ils ont tort. Donc, ils ne font qu’une supposition. Mais comme ce sont eux qui ont la puissance de l’autorité, la crédibilité, etc…, peu leur importe. Les gens croiront les partisans de l’orthodoxie, point.

Seulement, surprise !, manque de bol pour l’orthodoxie, il se trouve qu’il y a des gens qui arrêtent leur traitement et qui ne voient pas le rejet du greffon. Eh oui. C’est une chose peu connue, mais ça existe. Il y a des biologistes qui travaillent sur ce sujet et qui essayent de comprendre pourquoi ça arrive.

Alors, bien sur, on pourra répondre que ça ne concerne que quelques personnes. Oui, mais il y a aussi certainement extrêmement peu de monde qui ose interrompre son traitement. En fait, les gens qui interrompent leur traitement doivent à peine être plus nombreux qui ceux qui l’ont arrêté sans voir le rejet de leur greffe. Bref, on peut penser qu’il doit y avoir 80 ou 90 % de ceux qui ont tenté le coup qui n’ont pas rejeté le greffon, si ce n’est 100 %. Donc, le taux de réussite doit être très élevé.

Donc, l’ultime défense de l’orthodoxie se révèle fausse. On peut arrêter son traitement et ne pas voir le rejet du greffon (tout en ne mourant pas en quelques jours d’une maladie microbienne).

Et du coup, il n’y a plus aucune preuve de l’existence du système immunitaire. S’il n’y a pas de microbes pathogènes, pas de maladies du système immunitaire, et que l’organisme, sans prise de médicaments, ne rejette pas le greffon, impossible de prouver l’existence du système immunitaire.

Et même, le fait qu’il n’y a pas de rejet du greffon en l’absence de médicaments, montre bien qu’il n’y a pas de système immunitaire, puisque s’il y en avait un, il devrait rejeter le greffon. Donc, le problème des greffes ne fait pas qu’échouer à valider l’existence du système immunitaire, il la réfute carrément.

Les maladies touchant le système immunitaire

Je continue donc l’article précédent. En fait, pour les maladies du système d’immunodéficience c’est relativement simple. De ce qu’on peut observer, il n’y a pas de maladie d’immunodéficience. Une maladie d’immunodéficience, c’est une maladie qui selon la théorie officielle consiste en l’effondrement du système immunitaire. Dès lors, le corps n’a plus de défense contre les microbes pathogènes.

Vu que le corps n’a plus de défense, une maladie d’immunodéficience devrait donc se caractériser par l’apparition de maladies courantes, ou de celles liés à des microbes pathogènes qu’on peut trouver partout, comme les légionelles, les salmonelles, les staphylocoques dorés, le rhume, la grippe, l’herpès, le tétanos, etc…, voir par l’apparition de gangrène. Est-ce que c’est ce qu’on voit ? Non.

A priori, il y a deux maladies concernées par ce problème : le sida, et les personnes mises sous bulle. Pour le SIDA, bien sur, le virus n’existe pas (voir les écrits de la dissidence sur le sujet). Donc, a priori, je ne devrais pas l’étudier ici. Mais, on fait croire que la maladie d’immunodéficience existe bien, elle. Donc, ça rentre dans le cadre de cet article.

1) Le SIDA

Pour le sida, on ne voit que des microbes d’ordinaire inoffensifs, parce que stoppés par le système immunitaire, devenir mortels : pneumonie carinii (un champignon), toxoplasmose. Ou alors, des maladies peu fréquentes sous nos latitudes comme la tuberculose. Mais on ne voit que très rarement de maladies ordinaires ou de maladies causées par d’autres microbes présents partout. Alors que vu la diversité des microbes pathogènes, cette diversité devrait se retrouver au niveau des maladies touchant les sidéens. Si ce n’est pas le cas, s’il n’y a que quelques maladies, toujours les mêmes qui touchent les sidéens, c’est complètement louche. Par ailleurs, dans cette diversité, ce sont les maladies que j’ai citées qui devraient dominer statistiquement, puisque ce sont les plus présentes et les plus nombreuse (et en plus, qui peuvent agir le plus vite). Ca montre bien qu’il n’y a en fait aucun problème d’immunodéficience, et que le problème vient d’ailleurs.

Donc, déjà, quand il y a maladie, ce qui se passe ne ressemble pas du tout à ce qui devrait se passer en cas d’immunodéficience. Mais en plus, les mesures de l’immunité sont complètement fausses. On n’arrive pas à mesurer l’immunité. Le marqueur principal, pour le sida, ce sont les cd4. Or, on voit des personnes ayant une quantité de cd4 inférieure à 50 qui ne développent aucune maladie particulière pendant des mois voir des années. Alors que ces personnes devraient être mortes dans la semaine. Donc, le système immunitaire de ces personnes est parfaitement en place.

Donc, d’ou viennent les maladies en question ? En fait, ce dont on s’aperçoit, c’est que quand la personne ne prend pas de drogues et n’a pas de problème de malnutrition ou de sous-nutrition, le stade de la maladie arrive essentiellement quand la personne est sous médicaments. Et ce sont les effets secondaires causés par le ou les médicaments qui sont décrits comme causés par un microbe pathogène. Ce qui explique qu’on n’ait pas 36 types de maladies qui se manifestent en général. Par exemple, à mon avis, la toxoplasmose (je parle des cas où il y a des symptômes réels) est en réalité une destruction des parois de certains vaisseaux sanguins dans le cerveau causée par les médicaments (antibiotiques, certains anti-inflammatoires, etc…). Et les pneumonies peuvent aussi être causées par des antibiotique ou d’autres médicaments puissants. L’amaigrissement (qui va être considéré comme une caractéristique de la tuberculose par les médecins) peut lui aussi être causé par des médicaments. Etc…

Autre possibilité, quand une personne n’est pas encore sous médicaments, on exagère le diagnostic d’une maladie bénigne et banale, pour la transformer en maladie mortelle. Une simple grippe peut voir le diagnostic transformé en pneumonie. En fait, on invente un cas de maladie mortelle, alors qu’il n’y a rien de grave.

L’orthodoxie du sida joue sur un élément, c’est le fait qu’une personne qui a pris une trithérapie pendant longtemps et qui arrête brutalement, va subir une série d’effets secondaires lié à cet arrêt brutal. Du coup, l’orthodoxie a beau jeu de dire que la maladie n’est pas causée par le médicament, vu que la personne avait justement arrêté de les prendre. En réalité, ce qui se passe, c’est que les trithérapies ont apparemment les mêmes effets que les corticothérapies, aussi bien à la prise qu’à l’arrêt. Donc, un arrêt brutal d’une trithérapie, c’est comme l’arrêt brutal d’une corticothérapie. Ca conduit à des effets secondaires importants. Effets secondaires qui seront mis sur le dos du virus.

Pour plus de détails sur la cause des maladies « dites » du sida, voir www.sidasante.com

2) Les personnes mises sous bulles stériles

Pour les personnes mises sous bulles stériles, ça ne devrait servir à rien. Tout simplement parce qu’il est impossible de supprimer tous les microbes pathogènes du corps. Donc, ces personnes devraient subir tout de même l’apparition de maladies, et ce en seulement quelques jours. Mais ça n’arrive pas. Donc, ça montre bien que leur système immunitaire est en réalité parfaitement en place.

Où alors, il n’y a pas de microbes pathogènes. Et dans ce cas, système immunitaire ou pas système immunitaire, ce qui cause les affections que subissent les personnes sous bulles n’ont rien à voir avec un problème de système immunitaire (tel que pensé par l’orthodoxie).

Donc, sans maladie du système immunitaire, soit il y a un système immunitaire, mais il n’est jamais malade, donc, on ne peut pas identifier son existence par ce biais ; soit il y a système immunitaire mais pas de microbes pathogènes (mais ce serait absurde, puisque sans microbes pathogènes, il n’y a aucune raison qu’un système immunitaire existe) ; soit il n’y a pas de système immunitaire (et donc, pas de microbes pathogènes non plus, parce que sans système immunitaire, tout le monde mourrait en quelque jours). En tout cas, l’orthodoxie échoue à prouver l’existence du système immunitaire par ce biais.

Donc, sans maladies du système immunitaire, ce dernier devient un concept qui ne repose plus que sur une chose, le problème des greffes. Mais déjà d’emblée, c’est très bizarre et donc, suspect. Pourquoi y aurait-il un système immunitaire très compliqué mis en place uniquement pour le cas d’une greffe, alors qu’une telle chose n’arrive jamais dans la nature ? Ce serait complètement absurde.