Les maladies touchant le système immunitaire

Je continue donc l’article précédent. En fait, pour les maladies du système d’immunodéficience c’est relativement simple. De ce qu’on peut observer, il n’y a pas de maladie d’immunodéficience. Une maladie d’immunodéficience, c’est une maladie qui selon la théorie officielle consiste en l’effondrement du système immunitaire. Dès lors, le corps n’a plus de défense contre les microbes pathogènes.

Vu que le corps n’a plus de défense, une maladie d’immunodéficience devrait donc se caractériser par l’apparition de maladies courantes, ou de celles liés à des microbes pathogènes qu’on peut trouver partout, comme les légionelles, les salmonelles, les staphylocoques dorés, le rhume, la grippe, l’herpès, le tétanos, etc…, voir par l’apparition de gangrène. Est-ce que c’est ce qu’on voit ? Non.

A priori, il y a deux maladies concernées par ce problème : le sida, et les personnes mises sous bulle. Pour le SIDA, bien sur, le virus n’existe pas (voir les écrits de la dissidence sur le sujet). Donc, a priori, je ne devrais pas l’étudier ici. Mais, on fait croire que la maladie d’immunodéficience existe bien, elle. Donc, ça rentre dans le cadre de cet article.

1) Le SIDA

Pour le sida, on ne voit que des microbes d’ordinaire inoffensifs, parce que stoppés par le système immunitaire, devenir mortels : pneumonie carinii (un champignon), toxoplasmose. Ou alors, des maladies peu fréquentes sous nos latitudes comme la tuberculose. Mais on ne voit que très rarement de maladies ordinaires ou de maladies causées par d’autres microbes présents partout. Alors que vu la diversité des microbes pathogènes, cette diversité devrait se retrouver au niveau des maladies touchant les sidéens. Si ce n’est pas le cas, s’il n’y a que quelques maladies, toujours les mêmes qui touchent les sidéens, c’est complètement louche. Par ailleurs, dans cette diversité, ce sont les maladies que j’ai citées qui devraient dominer statistiquement, puisque ce sont les plus présentes et les plus nombreuse (et en plus, qui peuvent agir le plus vite). Ca montre bien qu’il n’y a en fait aucun problème d’immunodéficience, et que le problème vient d’ailleurs.

Donc, déjà, quand il y a maladie, ce qui se passe ne ressemble pas du tout à ce qui devrait se passer en cas d’immunodéficience. Mais en plus, les mesures de l’immunité sont complètement fausses. On n’arrive pas à mesurer l’immunité. Le marqueur principal, pour le sida, ce sont les cd4. Or, on voit des personnes ayant une quantité de cd4 inférieure à 50 qui ne développent aucune maladie particulière pendant des mois voir des années. Alors que ces personnes devraient être mortes dans la semaine. Donc, le système immunitaire de ces personnes est parfaitement en place.

Donc, d’ou viennent les maladies en question ? En fait, ce dont on s’aperçoit, c’est que quand la personne ne prend pas de drogues et n’a pas de problème de malnutrition ou de sous-nutrition, le stade de la maladie arrive essentiellement quand la personne est sous médicaments. Et ce sont les effets secondaires causés par le ou les médicaments qui sont décrits comme causés par un microbe pathogène. Ce qui explique qu’on n’ait pas 36 types de maladies qui se manifestent en général. Par exemple, à mon avis, la toxoplasmose (je parle des cas où il y a des symptômes réels) est en réalité une destruction des parois de certains vaisseaux sanguins dans le cerveau causée par les médicaments (antibiotiques, certains anti-inflammatoires, etc…). Et les pneumonies peuvent aussi être causées par des antibiotique ou d’autres médicaments puissants. L’amaigrissement (qui va être considéré comme une caractéristique de la tuberculose par les médecins) peut lui aussi être causé par des médicaments. Etc…

Autre possibilité, quand une personne n’est pas encore sous médicaments, on exagère le diagnostic d’une maladie bénigne et banale, pour la transformer en maladie mortelle. Une simple grippe peut voir le diagnostic transformé en pneumonie. En fait, on invente un cas de maladie mortelle, alors qu’il n’y a rien de grave.

L’orthodoxie du sida joue sur un élément, c’est le fait qu’une personne qui a pris une trithérapie pendant longtemps et qui arrête brutalement, va subir une série d’effets secondaires lié à cet arrêt brutal. Du coup, l’orthodoxie a beau jeu de dire que la maladie n’est pas causée par le médicament, vu que la personne avait justement arrêté de les prendre. En réalité, ce qui se passe, c’est que les trithérapies ont apparemment les mêmes effets que les corticothérapies, aussi bien à la prise qu’à l’arrêt. Donc, un arrêt brutal d’une trithérapie, c’est comme l’arrêt brutal d’une corticothérapie. Ca conduit à des effets secondaires importants. Effets secondaires qui seront mis sur le dos du virus.

Pour plus de détails sur la cause des maladies « dites » du sida, voir www.sidasante.com

2) Les personnes mises sous bulles stériles

Pour les personnes mises sous bulles stériles, ça ne devrait servir à rien. Tout simplement parce qu’il est impossible de supprimer tous les microbes pathogènes du corps. Donc, ces personnes devraient subir tout de même l’apparition de maladies, et ce en seulement quelques jours. Mais ça n’arrive pas. Donc, ça montre bien que leur système immunitaire est en réalité parfaitement en place.

Où alors, il n’y a pas de microbes pathogènes. Et dans ce cas, système immunitaire ou pas système immunitaire, ce qui cause les affections que subissent les personnes sous bulles n’ont rien à voir avec un problème de système immunitaire (tel que pensé par l’orthodoxie).

Donc, sans maladie du système immunitaire, soit il y a un système immunitaire, mais il n’est jamais malade, donc, on ne peut pas identifier son existence par ce biais ; soit il y a système immunitaire mais pas de microbes pathogènes (mais ce serait absurde, puisque sans microbes pathogènes, il n’y a aucune raison qu’un système immunitaire existe) ; soit il n’y a pas de système immunitaire (et donc, pas de microbes pathogènes non plus, parce que sans système immunitaire, tout le monde mourrait en quelque jours). En tout cas, l’orthodoxie échoue à prouver l’existence du système immunitaire par ce biais.

Donc, sans maladies du système immunitaire, ce dernier devient un concept qui ne repose plus que sur une chose, le problème des greffes. Mais déjà d’emblée, c’est très bizarre et donc, suspect. Pourquoi y aurait-il un système immunitaire très compliqué mis en place uniquement pour le cas d’une greffe, alors qu’une telle chose n’arrive jamais dans la nature ? Ce serait complètement absurde.

Le système immunitaire n’existe pas

Ce n’est pas une idée que j’ai trouvée moi-même. En fait, ça vient d’un petit bout de texte trouvé sur un site qui n’avait rien de plus sur le sujet. Vu que j’étais en train de remettre en cause les microbes pathogènes, malgré la très faible longueur du texte, et donc le peu de détails, j’ai tout de suite pensé que l’auteur du texte avait vu juste. Je pense qu’avec la remise en cause des virus et bactéries pathogènes, j’aurais fini par venir à cette idée. Mais ça m’aurait probablement pris plus de temps. Et encore plus de temps pour comprendre ce qu’est vraiment le « système immunitaire ».

En fait, la remise en cause de l’existence du système immunitaire (tel qu’il est conçu par l’orthodoxie) est normale, à partir du moment où on remet en cause l’existence des virus et bactéries pathogènes.

Si les virus et bactéries pathogènes n’existent pas, il n’y a plus aucune raison pour qu’un système immunitaire existe (d’ailleurs, le concept du système immunitaire a été conçu a peu près en même temps que le concept des maladies transmissibles). En effet, dans ce cas, il n’y a plus rien d’autre qui rentre dans le corps que : de l’air, de l’eau et de la nourriture. Trois éléments qui sont parfaitement acceptés par le corps, qui font partie de son fonctionnement normal. Pourquoi le corps irait-il mettre en place un système immunitaire très compliqué alors qu’il n’y a aucun organisme vivant pathogène qui serait susceptible de pénétrer dans le corps, puis de l’attaquer ? Ce serait absurde.

A la rigueur, le corps pourrait mettre en place un système de défense contre les poisons. Mais on s’aperçoit que ce n’est pas le cas. Quand un poison est entré dans le système sanguin, le corps ne sait pas le contrer. Il y a bien un système de protection, mais c’est plutôt un système d’évitement du poison. Et ce système ce situe plutôt en amont. Le sens du goût nous permet de ne pas accepter les substances non comestibles. Et si malgré tout, on a avalé la substance en question, le système digestif possède souvent encore la capacité de la rejeter (par vomissement). Mais une fois que la substance est passée dans le système sanguin, le corps n’a plus beaucoup de capacité de défense. Donc, pour des dangers clairement identifiés, et qui, de plus, ne changent pas (contrairement aux virus et bactéries, qui peuvent muter), donc, qui sont plus facilement contrôlables, le corps ne possède pas de système de défense. Mais c’est normal, parce que normalement, les substances en question ne doivent pas atterrir dans l’organisme. Elles doivent être rejetées avant. Donc, il est normal que le corps ne sache pas traiter les poisons une fois que ceux-ci ont dépassé la barrière digestive.

Donc, ce n’est même pas que le corps a à faire face à un danger non changeant, c’est que normalement, il n’a à faire face à aucun danger (je parle ici de l’intérieur du corps). Et c’est confirmé par le fait que quand il y a un danger sous la forme d’un poison, on constate qu’il ne sait pas y faire face. Ce qui montre que le corps ne sait traiter que des problèmes usuels, des problèmes de fonctionnement normal du corps. Il se repose sur le fait que le poison va être refusé, ou alors, que le système digestif va le rejeter.

Si le corps n’a à faire face à aucun danger (normalement), alors, la seule chose qu’il doive gérer, c’est l’élimination de l’excès des substances naturelles introduites dans le corps, et l’élimination des déchets engendrés par le fonctionnement des cellules. Une tache connue et sans surprise, une tache simple et relativement mécanique.

Donc, ce qu’on désigne comme étant le système immunitaire est en réalité un simple système d’égout amélioré (c’est grâce à l’article en anglais dont je parlais au début, que j’ai appris ça).

Le système lymphatique est le réseau d’égouts. Et les globules blancs sont des particules qui vont servir à coller les particules plus petites. Ceci se fera en partie dans les ganglions lymphatiques. Qui sont comme des filtres ou les particules venant du liquide interstitiel vont être piégées par les globules blancs. Ensuite, ces particules seront recyclées dans le corps, ou éliminées ; et ceci, par des organes comme le foie ou les reins.

Il n’y a donc pas de système ultra sophistiqué de reconnaissance des différentes particules (dénommées antigènes dans la littérature officielle, c’est à dire, en gros, les bactéries, les virus, les protéines, etc…), de système clef/serrure hyper spécifique entre l’antigène et l’anticorps, de base de données hallucinante de tous les antigènes rencontrés, d’adaptation permanente entre des microbes pouvant muter et le système immunitaire. Tout ça, c’est bidon.

Dans cette vision des choses, on remplace un système hyper sophistiqué, à la limite du surnaturel, qui doit faire face en permanence à un environnement changeant et très compliqué, par un système simple, presque mécanique, qui doit faire face habituellement à des situations connues et changeant relativement peu.

C’est un système tout à fait adapté à un environnement assez stable. Et c’est bien ce qu’est l’environnement en question (en ce qui concerne les éléments qui entrent dans le corps). Comme déjà dit, ce qui entre dans le corps, c’est de l’air, de l’eau et de la nourriture. L’air est à peu près toujours le même. L’eau idem. La nourriture comestible est connue. Donc, le corps a à faire face à un environnement qui reste à peu près identique au cours des années.

Bien sur, il y a d’autres éléments que les microbes pathogènes qui sont mis en avant pour prouver l’existence du système immunitaire. En gros, il y en a deux d’apparemment convaincants : les « maladies du système immunitaire », et le problème du rejet des greffes. Je traiterai de ces deux problèmes dans un autre article. Je ne mets pas les maladies auto-immunes dans cette catégorie. Vu que je considère qu’on peut sans problème en attribuer la responsabilité à d’autres causes.