Quelques considérations supplémentaires sur le cancer

Voici une réponse que je viens juste de faire à un lecteur ayant le pseudo Dims à propos du cancer (dans les commentaires de l’article sur un cas de cancer du sein foudroyant, daté du 23 décembre 2014). Celui-ci me demandait si mon avis avait évolué sur la question depuis nos derniers échanges en 2017. Je pense que ça pourra intéresser d’autres personnes :

« Oui, ça a évolué. J’ai découvert de nouvelles choses. Je pense toujours que 99 % des cancers n’en sont pas.

Je pense que 99 % du temps, soit :

– il n’y a rien. Invention pure et simple quand la grosseur est minuscule ou même inexistante, cas qu’on retrouve dans les dépistages de masse ou certains dépistages individuels.

– il y a une masse ou une zone anormale. Mais, dans ce cas, 99 % du temps, les soi-disant tumeurs sont soit des engorgements lymphatiques ou sanguins, soit des glandes enkystées (chose que j’ai découverte avec mon analyse du cancer du sein, mais qui est valable pour tous les organes avec des glandes. Exemple, le col de l’utérus), soit des tissus enflammés, nécrosés ou dégradés.

Ce que j’ai découvert sur les glandes enkystés est très important, parce que ça permet d’expliquer une bonne quantité de tumeurs qui échappaient à l’explication du blocage sanguin ou lymphatique. Les médecins font croire qu’ils peuvent dire si une glande mammaire est un simple kyste ou une tumeur. Mais c’est faux. En réalité, la glande mammaire considérée comme tumorale n’est qu’une variante, un peu moins chargée en eau, du kyste glandulaire.

D’ailleurs, comme cette variante représente seulement 10 % des cas, ça permet aux médecins de faire croire qu’ils ne cherchent pas à multiplier les diagnostics de cancers du sein, puisqu’ils éliminent 90 % des cas en les classant en simples kystes.

Idem pour les tissus enflammés/dégradés/nécrosés (à des degrés divers). Ça permet par exemple d’expliquer la majeure partie des soi-disant tumeurs au cerveau et une bonne partie des tumeurs à d’autres endroits (certaines tumeurs du foie ou des reins, par exemple). On fait croire qu’une zone anormale est forcément liée à une accumulation de matière. Mais, ça peut simplement être la zone qui s’est dégradée, sans aucune accumulation de matière. Cerise sur le gâteau, si l’inflammation s’étend, on peut faire croire que c’est bien une accumulation de matière, puisque la zone anormale augmente de taille (alors que ce sont simplement les tissus normaux adjacents à l’inflammation qui sont à leur tour enflammés). Ça sert particulièrement pour les « tumeurs » dans des endroits où on ne peut pas faire de palpation ; et donc où on peut inventer n’importe quoi.

Il y a quelques semaines, en faisant un papier sur le zona, j’ai découvert une nouvelle source de « tumeurs », très féconde elle-aussi. En fait, les problèmes d’insuffisance cardio-pulmonaire ou les problèmes rénaux ou hépatiques vont souvent entrainer un ralentissement du flux sanguin en amont. Du coup, les tissus en amont vont avoir tendance à s’engorger, voire à gonfler parce que de l’eau va s’y accumuler. Et il pourra y avoir accumulation plus importante qu’ailleurs dans tel ou tel endroit pendant un temps plus ou moins long. Du coup, ça permettra d’inventer des tumeurs à cet endroit.

L’orthodoxie reconnait d’ailleurs que le risque de cancer est fortement accru chez les insuffisants cardiaques (76 %), les insuffisants rénaux ou les gens qui ont de l’hypertension.

Ça pourrait expliquer le cas dont on avait parlé du cancer de la thyroïde non soigné qui avait abouti à  la mort de la personne. En fait, en plus de l’explication que j’ai déjà  donnée, il est possible que la personne souffrait en réalité d’insuffisance cardiaque ou rénale ou hépatique. Ici, on peut penser à une insuffisance cardiaque. Et du coup, il y a eu inflammation de la thyroïde, puis des poumons et du cerveau. Ensuite, on ne sait pas si ce sont les médecins qui l’ont tué ou s’il est mort naturellement à cause d’une insuffisance pulmonaire ou cardiaque, ou d’un AVC.

Alors, pour le système cœur-poumons, comme souvent, l’accumulation va toucher le bras ou l’épaule ou le dos, on ne va pas parler de tumeur. Par ailleurs, comme généralement, l’insuffisance cardio-pulmonaire aura déjà  été détectée, les problèmes aux poumons ou au foie ou aux reins seront considérés correctement comme des engorgements liés à l’insuffisance cardio-pulmonaire. Mais, ça pourra servir à inventer des cancers de la thyroïde ou du cerveau. Et ça pourra quand même servir à inventer des tumeurs aux poumons, ou au foie ou aux reins ou au pancréas dans certains cas. »

 

Posté initialement le jeudi 11 mai 2023 à 18:38

 

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