L’excellent Jamie Andrews a montré récemment que la génétique était une arnaque totale. Il n’y a même pas d’ADN.
A partir de là, j’ai repensé à la PCR. Il y a 20 ans, je m’étais dit que la PCR n’était qu’une réaction de type test d’anticorps, où des particules collantes se collent les unes aux autres. Ceci, sans aucune spécificité. Les tests d’anticorps aussi sont une arnaque. Ils réagissent à un peu n’importe quoi. J’avais déjà eu l’idée de Jamie Andrews concernant les tests d’anticorps, à savoir qu’il ne s’agit que de réactions électromagnétiques, ce qui implique qu’elles ne peuvent avoir aucune spécificité.
Mais, n’ayant pas les informations sur la quantité de matière utilisée dans la PCR et celles-ci étant très difficiles à trouver à l’époque, j’avais été obligé de reculer et d’accepter une petite partie de la théorie officielle.
Mais, en utilisant l’IA (idée que j’ai découverte là-aussi grâce à Jamie Andrews), j’ai pu trouver les informations en question. Et grâce à ces informations plus les découvertes de Jamie Andrews, je suis à nouveau pratiquement sûr que la PCR est en réalité un test d’anticorps.
Déjà, vu que l’ADN n’existe pas, comme l’a montré Jamie Andrews, on ne peut pas avoir une réaction comme celle qui est décrite par l’orthodoxie médicale. Donc, il est clair qu’il n’y a que des particules biologiques lambda dans la PCR. Et donc, il n’y a pas formation de fils d’ADN comme le dit l’orthodoxie, mais simplement des collages entre des particules individuelles ; ce qui forme des boules et pas des fils.
Alors, s’il n’y avait que quelques brins d’ADN dans la réaction initiale, ça voudrait dire que l’orthodoxie médicale a raison. Si on obtenait beaucoup de matériel à la fin alors qu’il n’y en avait pratiquement pas au départ, ça laisserait à penser qu’il y a bien eu une réaction telle que décrite par la médecine officielle. Mais, la plupart du temps, il y a beaucoup de matériel « génétique ». L’orthodoxie fait croire que, souvent, il y en a peu. Mais elle organise sciemment la confusion entre le morceau d’ADN cible et la totalité de l’ADN présent, qui lui est présent en grandes quantités. Donc, il est tout à fait possible que la réaction soit de type anticorps-antigène et que ce qu’on obtient au final ne soit que des particules rondes collées entre elles, une simple agglomération de particules.
Cela dit, il est même possible que le matériel initial fournisse seulement un certain pH, une certaine quantité de sels minéraux, et que ça suffise à faire réagir le matériel « génétique » ajoutée à la solution (c’est-à-dire les amorces et les nucléotides). Dans ce cas, il n’y aurait même pas besoin de matériel biologique sanguin dans l’échantillon à tester. Les particules ajoutées à la solution seraient suffisantes pour obtenir un résultat. Le fait que la bande de contrôle d’électrophorèse puisse devenir positive montre bien que c’est le cas.
Une autre chose qui va dans le sens d’une réaction de type agglomération de particules collantes est la forme des courbes de réaction dans la PCR. C’est une courbe de type logarithmique qui augmente très vite, puis qui devient très plate.
Seulement, une réaction de type PCR ne devrait pas donner une telle courbe. Elle devrait former une exponentielle de base 2, c’est-à-dire une courbe montant constamment. On veut bien que ça ne soit pas parfait et que ça s’infléchisse un peu au bout d’un moment. Mais, on ne devrait pas avoir un ralentissement aussi important et aussi rapidement.
Par contre, la forme de la courbe est tout à fait logique s’il s’agit d’une réaction de type collage entre particules. Au début, comme il y a beaucoup de petites particules séparées, il y a beaucoup de réactions et la courbe monte de façon exponentielle. Puis, comme les particules sont déjà collées, il y a beaucoup moins de réactions et la courbe s’aplatie. D’où une courbe logarithmique.
On peut donc se dire que les étapes de chauffage durant la PCR, les cycles, sont en fait de la poudre aux yeux pour faire croire qu’il y a bien ce que décrit l’orthodoxie, c’est-à-dire des cycles de séparation, puis de collage de brins d’ADN. En réalité, ça ne fait probablement que suspendre le collage des particules présentes. Mais, ça ne les sépare pas. Ou peut-être que ça sert en partie pour induire du mouvement dans la solution et accélérer le collage. A voir.
Mais, si on laissait les particules à température ambiante, elles se colleraient rapidement entre elles. Peut-être plus vite, peut-être moins vite qu’avec le chauffage. Mais elles finiraient par le faire.
D’ailleurs, quand on conserve de l’ADN, on dilue apparemment la solution (dilution x10). Pourtant, les brins d’ADN ne devraient pas se coller entre eux vu qu’ils sont déjà appariés. Mais, s’il s’agit de débris biologiques ordinaires, alors il est normal qu’ils le fassent.
Donc la PCR est bien une simple réaction de type test d’anticorps, c’est-à-dire une réaction de collage non spécifique entre particules collantes. L’orthodoxie a utilisé une ancienne technique pour faire croire à la réalité de l’ADN et de la PCR.
Et si c’est un test d’anticorps, et vu que l’ADN n’existe pas, ça veut dire qu’en théorie, ça réagit à la quantité de particules présentes dans le sang, quelles qu’elles soient. Donc, si une personne est malade, il va y avoir souvent plus de débris cellulaires dans le sang, ce qui va augmenter le risque d’avoir un PCR positif à n’importe quelle infection soi-disant microbienne (virale ou bactérienne). Comme les tests d’anticorps, les tests PCR ne sont pas spécifiques. Donc, quelqu’un qui a une grippe peut faire réagir positif un test PCR au VIH, ou à la rougeole, ou à la dengue, etc.., exactement comme avec un test d’anticorps. Et il peut réagir aussi à la présence de soi-disant particularités génétiques, comme le risque de développer tel cancer, le diabète, Alzheimer, etc…
Chez une personne malade, non seulement il doit y avoir plus de particules dans le sang, mais, comme l’a souligné Jamie Andrews, elles doivent souvent être plus chargées électriquement, ce qui favorise la réaction dans la PCR.
Et comme la réactivité du test augmente avec la charge électrique des particules, on peut par exemple utiliser du sang de n’importe quel animal en parfaite santé, et faire réagir positif le test en ajoutant une liquide de pH acide, ou peut-être même basique, ainsi que du magnésium ou du sel de cuisine. Ainsi, on peut faire réagir positif un animal à des maladies purement humaines, et inversement.
Et on doit certainement pouvoir faire réagir le test avec simplement de la colle issu de l’industrie pétrochimique, sans aucune particule biologique à l’intérieur.
Et on peut certainement obtenir une réaction avec simplement du liquide acide et du magnésium ou du sel, et seulement le matériel « génétique » ajouté (amorces, nucléotides, etc..). Comme dit précédemment, Jamie Andrews a montré que les bandes contrôle pouvaient réagir positives. Donc, si on aide suffisamment la réaction en abaissant le pH et en ajoutant un sel minéral, il est possible de faire réagir assez souvent positif quelque-chose qui ne contient rien d’autre que le matériel ajouté.
