Une petite réflexion à brûle pourpoint concernant le choléra (que j’ai mise initialement sur le forum onnouscachetout).
Ce qui est bien possible, pour le choléra, c’est qu’en fait, il s’agisse tout simplement d’une intoxication aiguë à l’arsenic.
Déjà, les symptômes sont grosso modo les mêmes : diarrhées, vomissements. Et quand on regarde les zones géographiques où le choléra est considéré comme endémique, ben comme par hasard, ce sont des endroits où il y a des gros problèmes d’intoxication des puits à l’arsenic (Inde, Afrique…).
Par exemple, en Inde, le Bengal-Occidental est considéré comme ayant de très gros problèmes de contamination des puits à l’arsenic. Et comme par hasard, c’est une des régions les plus touchées par le choléra (voir ici http://www.larecherc…rticle?id=20536 et là http://www.who.int/b…b/fr/index.html ).
Donc, bon…
Et puis, on peut se demander si ce n’est pas le cas également pour la maladie ébola. Quand on lit les symptômes ça ressemble aussi pas mal aux symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic.
Initialement, j’ai écrit ça en réaction à une question sur Pettenkofer. Pour situer le problème, Pettenkofer est un scienfitique qui, au début du 20ème siècle soutenait que le cholera n’est pas causé par la bactérie du même nom. Pour le démontrer, il a avalé devant ses étudiants un verre plein de bacilles du choléra. Et bien sur, il ne lui est rien arrivé du tout.
Et du coup, avec la réflexion précédente, j’ai été faire quelques recherches supplémentaires sur le choléra. Ce qui m’a amené à cette autre réflexion :
« Sinon, pour l’expérience de Pettenkofer, maintenant, la médecine officielle dit que « Moins de 10 % des personnes qui ingèrent la bactérie présentent les symptômes particuliers appelés choléra. » ( http://santecheznous.com/condition_info_details.asp?disease_id=31 ).
A mon sens, ça va bien dans le sens de l’expérience de Pettenkofer. Ce qu’on peut penser, c’est qu’au départ, ils devaient penser qu’au moins 80 % de gens ayant la bactérie développaient les symptômes. Puis, ils ont été obligés de revoir énormément à la baisse le pourcentage en question, parce qu’ils ont du découvrir la bactérie chez plein de personnes non malades. Ce qui évidemment, vide « légèrement » de son sens la théorie officielle. Comment être sur dans ce cas que c’est bien la bactérie la cause des malades et pas une autre cause ? Tant qu’on tape dans les 90 % de personnes ayant la bactérie qui développent la maladie, ok, ça semble bien corrélé. Mais quand on tombe à des niveaux aussi bas, plus ok du tout. »