Les vraies causes de la maladie d’Alzheimer. Des hémorragies cérébrales

On complique complètement les choses concernant la maladie d’Alzheimer. On dit que c’est une maladie de dégénérescence, que l’aluminium serait impliqué, etc… On s’interroge sur des mécanismes très compliqués. Les choses sont beaucoup plus simples.

Ce qui cause la maladie d’Alzheimer, ce sont des hémorragies cérébrales. Un individu va avoir une hémorragie cérébrale massive, ou des hémorragies cérébrales moins importantes mais répétées 3 ou 4 fois. Et du coup, la quantité de neurones va chuter fortement dans une ou plusieurs zones du cerveau. Ensuite, certaines zones étant du coup beaucoup moins sollicitées, elles vont partir lentement en déshérence et la personne va perdre petit à petit les facultés cognitives qui lui restaient. Mais en général, il y a une première atteinte plus ou moins importante du cerveau. Celle-ci étant causée donc par une hémorragie.

Bien sur, il doit y avoir de nombreux cas qui sont dus à des hémorragies cérébrales naturelles. Mais très souvent, il va y avoir une cause médicamenteuse.

Les médicaments désagrégateurs de cellules sont à mon avis très fortement impliqués dans ces problèmes : antibiotiques, anti-inflammatoires non-stéroidiens, traitements anti-cancer, etc…

Les opérations chirurgicales sont apparemment une source importante de cas. Les drogues utilisées lors de l’opération pour réaliser l’anesthésie générale, plus d’autres drogues utilisées pour l’opération vont déjà donner un premier coup de semonce. Surtout qu’il faut apparemment être à jeun pour une opération (pour éviter les reflux gastriques). Et comme on l’a vu dans d’autres articles, être à jeun, ça n’aide pas. Et après l’opération, l’usage des anti-inflammatoires ou/et des antibiotiques, qui n’est peut-être pas systématique, mais tout de même certainement très fréquent, va augmenter très fortement le risque d’hémorragie cérébrale. Et s’il y en a déjà une de créée, ils vont la faire durer et l’étendre, augmentant ainsi son impact sur le cerveau.

A partir de là, il va y avoir des personnes qui vont subir un simple mal de crâne, ou une incohérence mentale qui va rapidement disparaître, ou des problème neuromusculaires temporaires, etc… ET, il va y avoir les personnes qui vont sombrer dans la maladie d’Alzheimer.

Cela dit, on peut aussi de demander si les médicaments de types cortisone (donc, qui ne vont pas désagréger les cellules, enfin, à ce qu’il semble), ne peuvent pas également engendrer une agression régulière du cerveau. Quand on voit que parmi les symptômes de la cortisone, il y a des rougeurs au visage et des maux de tête, on peut avoir quelques angoisses. Mais là, on est encore dans le domaine de l’interrogation. Alors que pour les médicaments désagrégateurs de cellules, les choses semblent assez claires.

Dans mon entourage, j’ai eu 3 cas de maladie d’Alzheimer. A chaque fois, les médicaments, ou une hospitalisation pouvait être impliqué assez clairement.

1er cas : une de mes grand-mères. Vers 75 ans, elle subit une opération. Celle-ci se passe relativement mal. Juste après, elle devient Alzheimer.

2ème cas : une de mes tantes. Vers 70 ans, on lui diagnostique un cancer du sein. Elle subit les traitements d’usage. Juste après, elle devient Alzheimer.

3ème cas : une autre tante. la famille à supposé qu’elle est tombée dans un escalier. Elle va à l’hôpital. Le jour d’après, son fils vient la voir. Elle est parfaitement cohérente. On lui donne des antibiotiques. Deux jours plus tard, elle est aphasique est complètement incohérente. 10 mois plus tard, miracle, elle se remet à parler et à être parfaitement consciente. Deux ou trois mois plus tard, on lui donne des antibiotiques pour un rhume. Et elle replonge légèrement dans l’incohérence (et ça, ce n’est pas seulement moi qui le dit, mais d’autres personnes qui étaient également allées la voir à ce moment-là).

Et bien sur, je n’ai aucun problème avec la cause de la maladie des mes proches. Si on vient me démontrer de façon convaincante que j’ai tort, je ne m’accrocherais pas à ma théorie actuelle. Je dis ça au cas où certaines personnes penseraient que cet article viendrait du fait que je serais complètement bouleversé par la maladie de mes proches et que j’aurais une idée fixe sur la cause de leur problème, parce que je serais complètement dans l’émotionnel et pas dans la réflexion. Nan, ce n’est pas le genre de la maison. Enfin bon, de toute façon, vu la quantité de sujets abordés, on voit bien que je n’ai pas fait ce site pour parler juste de la maladie d’Alzheimer. Mais bon, je préfère préciser.

3 réflexions sur « Les vraies causes de la maladie d’Alzheimer. Des hémorragies cérébrales »

  1. Je trouve ce raisonnement très cohérent, je vis actuellement sur un proche ce type de souffrance et après observation des symptômes force est d’observer suite à diverses manifestations que ce trouble pourrait effectivement bien s’apparenter à des troubles circulatoires, spasme cérébral, petite hémorragie? à chaque manifestation de cet ordre la personne en ressort un peu plus diminuée, mais arrive au bout d’un certain temps à refaire un peu surface, mais en demeurant toutefois diminué à chaque « attaque ». En aucun cas je repousse cette maladie mais cherche seulement à en observer l’évolution et les manifestations, j’avais pensé en faire une étude au jour le jour en relevant les détériorations progressives pensant que peut être si le corps médical voulait bien l’entendre que ceci aurait pu aider à la compréhension de la maladie.

  2. Article Topsante de mars 2022 qui va dans le sens de ce que j’écrivais ici en 2008.

    « Prendre trop d’antibiotiques après 50 ans favoriserait le déclin cognitif »

    « Une vaste étude portant sur près de 15 000 personnes montre que la prise fréquente d’antiobiotiques après 50 ans augmente le risque de déclin cognitif. »

    « De nombreuses études ont déjà démontré le lien entre la prise d’anxiolytiques de la famille des benzodiazépines et le risque de développer la maladie d’Alzheimer. Mais une nouvelle étude de grande ampleur, publiée dans la revue Plos One, montre du doigt une nouvelle grande famille de médicaments. Selon cette étude, qui a porté sur près de 15 000 personnes, la prise régulière d’antibiotiques après 50 ans, augmenterait également le risque de souffrir de déclin cognitif. »

    « Pour ce projet, ils ont suivi des milliers d’infirmières qui s’étaient vues prescrire des antibiotiques sur une longue durée pour des infections respiratoires, des problèmes dentaires, de l’acné et des infections des voies urinaires.

    Leur capacité cognitive a été évaluée en moyenne 7 ans après le début de l’utilisation d’antibiotiques, grâce à des tests en ligne que les participantes ont effectué chez elles. Et les résultats aux tests étaient moins bons chez les infirmières qui avaient pris des antibiotiques pendant au moins 2 mois d’affilée. »

    Or, la plupart des antibiotiques sont des anticoagulants et peuvent donc causer des hémorragies cérébrales. Donc, plus ils sont pris longtemps, plus ils peuvent entrainer de dommages sur le cerveau.

    https://www.topsante.com/medecine/medicaments/grandes-familles-de-medicaments/antibiotiques-declin-cognitif-649523

    https://journals.plos.org/plosone/article?id=10.1371/journal.pone.0264649

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