Histoire de l’invention des virus

Pour entrer directement dans le vif du sujet, les virus sont des inventions pures et simples qui ont été créés à l’époque de l’hystérie pastorienne sur les germes pathogènes. Ce n’est qu’une séquelle, une conséquence du délire de ces années là.

A l’époque, presque toutes les maladies étaient considérées comme étant dues à des germes pathogènes. Problème, il y avait des maladies pour lesquelles ont ne trouvait aucune bactérie pouvant être considérée responsable. Alors, comme il fallait obligatoirement que les maladies en question soient dues à des germes pathogène, on en a inventé de nouveaux. Et comme on ne pouvait pas les voir, on a incriminé les instruments de l’époque, et la taille des germes en question. On a dit qu’il y avait bien des germes, mais que ceux-ci étaient trop petits pour être détectés avec les instruments de l’époque. Les virus venaient d’être inventés.

Bien sur, certains découvreurs n’ont pas eu de scrupule à utiliser quelques animaux pour valider leurs théorie et ainsi, récolter la gloire d’être les découvreurs de nouveaux germes pathogènes (avec la manne financière qui allait avec cette gloire, sous forme de récompense de l’état, de chaires d’enseignements en faculté, etc…). Il suffisait de tuer ceux qui devaient correspondre à la théorie. Les animaux ne parlent pas.

C’est ainsi qu’on a pu réaliser les premiers soi-disants isolements rudimentaires de virus. On filtrait le sang ou le liquide contenant le supposé virus. Et quand les animaux utilisés ne tombaient plus malade, voir, ne mourraient plus, on « savait » qu’il n’y avait plus d’agent pathogène dans le filtrat. Donc, on arrivait grosso modo à établir la taille des agents pathogènes en question. Tout reposait sur le truandage des expériences d’inoculation de virus pathogènes aux animaux.

Donc, quand sont arrivées les méthodes moderne de détection des virus, la messe était déjà dite. La croyance en l’existence des virus était déjà totale dans le milieu scientifique. On ne pouvait plus faire marche arrière. Il fallait trouver des virus au microscope électronique. Sinon, la biologie et la médecine perdaient totalement la face.

Donc, tout était joué d’avance quand sont arrivés les microscopes électroniques dans les années 40, puis, les méthodes de culture in vitro dans les années 60, et enfin, les méthode d’identification des protéines et de l’ADN dans les années 70.

Heureusement pour eux, sur leur chemin, il y avait des particules qui étaient en fait les déchets de fonctionnement des cellules. Ces particules avaient la taille des particules virales. Et comme elles étaient émises par les cellules, il était possible de faire croire que lorsqu’elles sortaient des cellules, il s’agissait de réplication. De même, comme la cellule se nourrit, il était possible de faire croire que les particules absorbées par les cellules pour se nourrir étaient des virus en train d’infecter les cellules. Un peu comme quelqu’un qu’on observerait de loin pendant une semaine, et qui mangerait une fois une banane en plus d’autres plats. Les déjections ressemblant un peu à une banane, de loin on pourrait penser que la banane est un virus qui se multiplie dans le corps. Donc, chance pour eux, les virologues avaient sous la main un type de particule qui pouvait tout à fait passer pour un virus.

L’évolution technique progressive a été surtout une chance pour la virologie, même si elle introduisait une petite faille. Une chance, parce que la complexité des nouveaux outils permettaient de jeter une nappe de brouillard sur la discipline. Et avec cette nappe de brouillard technique, il y avait beaucoup moins de problèmes pour valider la discipline. Tout le savoir, et donc, le pouvoir était désormais dans les mains des spécialistes. Ca permettait de repousser pour très longtemps la critique de l’existence des virus. Mais, il y avait également une petite faille. Le coté progressif de l’évolution technique allait forcément entrainer un jour ou l’autre la question suivante de la part de gens ayant un minimum d’esprit critique : « Si la technique a évolué, et qu’il est obligatoire d’utiliser les derniers développements techniques pour être sur qu’on a bien identifié un virus, c’est que les techniques précédentes ne permettaient pas d’être sur qu’on avait affaire à un virus. Alors, comment pouvait-on être sur, lors des différentes phases de l’évolution technique, qu’on avait bien un virus, si la technique de l’époque n’était pas suffisamment évoluée pour en avoir la preuve ? ». Question qui devait aboutir à l’idée qu’il y avait eu truande avec les anciennes méthodes (sur la validité des découvertes). Et à partir de cette constatation, on pouvait remonter à la période actuelle. Parce que, si les virologues avaient été capables de truander dans les années 50/60, il n’y a pas de raison qu’ils n’aient pas continué à truander les décennies suivantes.

L’identification des virus a commencé par l’utilisation exclusive du microscope électronique (avec la méthode de l’ultracentrifugation pour isoler les particules de taille « virale »), vers la fin des années 40. La chance pour les virologues, c’est qu’en étant pas regardant sur les preuves, cette technique était juste assez convaincante pour faire croire à l’identification des virus. On arrivait grace à la purification, à avoir parfois jusqu’à 99 % de particules de même taille et même forme. Et elle permettait donc, grace aux peu de preuves exigées, de trouver beaucoup de nouveaux virus.

Mais bien sur, cette technique, n’était absolument pas valable. Le problème c’est qu’en l’absence de culture virale (technique non maitrisée à l’époque) et d’identification des particules (idem), on ne sait pas si ce qu’on a isolé est du virus, ou simplement des particules endogènes à (c’est à dire produites par) l’organisme. Donc, on a bien 99 % de quelque chose, mais de quoi ? Mystère.

Par la suite, dans les années 60, on a commencé à cultiver les virus, grace à des cultures de cellules. Grace à la culture de virus, on peut avoir une seconde culture témoin ; c’est à dire, une culture où il n’y a pas de virus d’introduit, et dans laquelle, il ne devrait pas y avoir de particules de taille virale. Le problème, c’est que les cultures de cellule ont un défaut fatal qui fait que, le couple « culture de virus + microscope électronique » n’est pas suffisant lui non plus. Le problème, c’est que les cultures de cellule engendrent la production de particules de tailles virale (ce qui est normal puisque les virus sont en fait des déchets des cellules). Donc, comme on a des particules de taille virale aussi bien dans la culture de virus, que dans la culture témoin, il faut identifier les particules virales pour faire la différence entre les deux. Si on cultive des virus dans des cellules, et qu’on n’a qu’un microscope électronique pour les identifier, ce n’est pas suffisant. Visuellement, on ne peut pas dire si telle particule de taille virale est une particule X ou Y. Donc, on ne peut pas dire si les particules de taille virale sont des virus ou des déchets cellulaires.

Donc, tous les virus identifiés durant ces années là ne peuvent pas être considérés comme ayant été isolé et identifiés. Ces virus sont des inventions pures et simples. De même que ceux trouvés avant cette période.

Dans les années 70, enfin on a réussi à identifier les composants des virus. On a d’abord réussi a identifier les protéines des virus, puis, leur ADN et ARN. Sur le papier, la méthode « culture de cellules + microscope électronique + identification des composants du virus » était enfin suffisante pour isoler et identifier les virus. La virologie tenait enfin son Graal.

Mais, à l’analyse, il se révèle que ces techniques d’identification des composants d’un virus sont totalement fallacieuses. Elles ne permettent pas du tout d’identifier ce qu’elles cherchent à identifier. Donc, on est resté en réalité à la période précédente, celle du couple « culture de cellules + microscope électronique ».

Le problème de l’identification des protéines, c’est que c’est une méthode indirecte qui repose sur le fait que les anticorps sont spécifiques des antigènes, et donc, que si on sait quel anticorps on a, on sait quel antigène il y a en face. De même, les antigènes sont supposé spécifiques d’un virus donné, et pas de plusieurs. Or, les anticorps ne sont pas spécifiques du tout, et les antigènes ne sont pas spécifique de tel ou tel virus. Donc, cette méthode ne permet pas du tout d’identifier les protéines des virus. Elle ne permet même pas d’identifier telle ou telle protéine. C’est une méthode qui ne vaut rien. En réalité, à mon avis, les anticorps sont simplement une espèce de papier tue-mouche, des particules collantes qui servent à collecter les déchets cellulaires pour permettre leur élimination ou leur recyclage par le système lymphatique. Donc, c’est normal qu’ils se collent à tout et n’importe quoi et qu’ils ne soient absolument spécifiques de tel ou tel antigène. Il n’y a pas de système clef/serrure entre l’anticorps et l’antigène.

Enfin, l’identification de l’ADN a l’air d’être carrément une truande totale. Quand on identifie un ADN, on a une longue bande principale, avec des bandes latérales. La position des bandes latérales permettent d’identifier des fragments de l’ADN en question, qui lui sont spécifiques. Ca donne une sorte d’empreinte digitale de l’ADN. Seulement, le problème, c’est que cette empreinte n’est pas identifiable directement, qu’elle doit donc passer par un traitement informatique, et qu’elle est complètement trafiquée par le technicien qui le réalise. Le cliché de départ, est trop sombre pour qu’on voit bien les bandes. Donc, il faut pousser la luminosité pour les voir. On fait ça avec un logiciel. Mais, le problème, quand on fait ça, c’est qu’il y en fait beaucoup de bandes qui apparaissent. Alors, le technicien en enlève, en repositionne, en redimensionne certaines, pour obtenir ce qu’il veut. Donc, en réalité, la fameuse empreinte digitale de l’ADN est une arnaque totale.

Vous me direz qu’il y a quand même l’expérience d’inoculation du virus, qui montre bien qu’il y a quelque chose de taille virale qui provoque la maladie et qui peut être ensuite transmis à une autre personne, puis une autre, etc… Donc, même si les techniques d’isolements n’étaient pas valables, il serait quand même clair qu’il y a un microbe pathogène d’impliqué. Mais non. Pour d’évidentes raisons éthiques, il est hors de question d’inoculer la maladie à des êtres humains. Donc, on n’inocule la maladie qu’à des animaux. Or, comme déjà mis en avant, les animaux ne parlent pas. Donc, toutes les truandes sont possibles. Vous me direz qu’il y a les virus touchant les animaux eux-même. Mais on retombe sur le même problème. Les animaux ne parlent pas. Donc, on peut dire ce qu’on veut sur ce qui arrive quand on leur inocule tel ou tel soi-disant virus, comme tout ça se passe en laboratoire, personne ne peut venir raconter le contraire. Le seul modèle qui soit valable, c’est l’être humain. Parce que lui, on ne peut pas parler à sa place.

Donc, l’histoire des virus est l’histoire d’une invention continue de particules qu’on a déclarées virales alors qu’on n’avait pas les moyens de le prouver. C’est l’histoire d’un bluff et donc, d’une arnaque permanents.

2 réflexions sur « Histoire de l’invention des virus »

  1. Bonjour

    Votre article est très intéressant. Malheureusement le débat est interdit et les personnes comme vous finissent par s’essouffler et se taire. cet article date de 2006. Aucun échos parmi les lecteurs, à moins que vous l’ayez publié sur des forums.

    Je vous vois souvent intervenir sur le forum sidasanté. Un forum qui va visiblement disparaître bientôt, faute de participants et même faute d’administrateurs.

    Si par chance ce message devait parvenir à l’auteur, il serait bien gentil de me contacter par mail. J’ai des questions très précises à poser.

    Merci

  2. Bonjour,

    Ne vous inquiétez pas. Je ne suis pas du genre à m’essouffler. D’ailleurs, le fait que j’écrive encore sur ce blog, qui est là depuis 9 ans, va dans ce sens. Si je réduis le rythme de mes articles, c’est essentiellement parce qu’ils deviennent de plus en plus longs et fouillés.

    Quant à sidasanté, ça ne disparaitra pas non plus, puisque c’est moi que le tiens. Au pire, il y aura moins de monde qui interviendra dessus.

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