La vraie cause des grippes et des rhumes

Avec la grippe, on est exactement au coeur des deux problématiques précédentes : il n’y a pas de virus, et il s’agit d’un problème lié aux protéines. Et en plus, c’est un sujet d’actualité.

Quelles sont les vraies causes de la grippe ? En fait, dans la lignée de l’article précédent, je pense qu’il s’agit simplement et principalement d’un problème de trop plein de protéines. Les protéines étant des éléments de structure, par ailleurs non stockables, il est clair qu’il ne faut pas en absorber trop. Sinon, étant incapable de les stocker, le corps va devoir les éliminer.

En gros, on va avoir ça. A cause d’une alimentation trop riche en protéines (une alimentation occidentale classique quoi), le sang est encombré de protéines. Et à un moment, le corps ne va plus pouvoir éliminer le surplus de protéines par les voies classiques. On arrive alors au point ou une réaction violente se fait : c’est alors le rhume, ou l’angine, ou la grippe. Est-ce qu’elle est provoquée par le corps lui-même, ou est-ce que c’est purement chimique et donc automatique (atteinte d’un point ou une réaction s’enclenche) ? Ou un peu des deux ? Je ne sais pas. Mais en tout cas, il y a élimination de cet excès de protéine. La grippe et le rhume sont des processus d’élimination.

Divers déclencheurs peuvent provoquer la réalisation du processus d’élimination sous le niveau d’excès de protéines qui aurait provoqué le déclenchement du processus normalement.

Un coup de froid par exemple, en provoquant un stress oxydatif au niveau des bronches, du nez, etc…, va peut-être être le point de départ du processus d’élimination, en favorisant la polymérisation des protéines en surplus.

Le ressèrement des veines sous l’action du froid va également entrainer d’un coup une concentration beaucoup plus importante des protéines dans les vaisseaux touchés par le resserrement, ce qui peut provoquer la mise en marche du processus de polymérisation.

Le fait de manquer de sommeil ou d’être stressé, va peut-être aussi enclencher prématurément le processus d’élimination. En effet, le fait d’être fatigué ou stressé va libérer du cortisol dans l’organisme. Le cortisol agit comme un désagrégateur de protéines. Donc, il va désagréger les protéines. Mais, ce faisant, il va rendre leur élimination moins facile. Le taux de protéines dans le sang va encore monter un peu plus. Et quand la période de stress va se terminer, ou être moins forte, la quantité de protéines ayant dépassé le niveau à partir duquel le processus s’enclenche, le rhume ou la grippe va apparaitre. Une déshydratation aussi peut provoquer le déclenchement du processus. Donc, il va s’agir souvent de stress, parfois de déshydratation, etc… Inversement, quelqu’un qui boit beaucoup va peut-être arriver à garder une quantité de protéines qui, autrement, aurait engendré un rhume ou une grippe.

En plus du processus d’élimination, le cerveau va supprimer la sensation de faim pour que la personne arrête de s’alimenter. Ce qui permet de vider les stocks de protéines. Il ne faut donc pas s’affoler quand un enfant qui a une grippe n’a pas faim. Ca ne veut pas dire qu’il est à l’article de la mort. C’est un élément normal du processus d’élimination.

Donc, d’un coté, il va y avoir la mise en place d’un processus spéciale (et rapide) d’élimination des protéines, et de l’autre, il va y avoir arrêt de l’apport de protéines. C’est pour ça que la guérison se fait en seulement 7 jours en général.

Evidemment, une fois qu’on a compris ça, on comprend également que les grippes ne sont jamais que la forme plus forte des rhumes. Fondamentalement, il n’y a rien de différent. C’est simplement un encrassement plus important de l’organisme.

Ce n’est donc pas un hasard si le gros des cas de rhumes et grippes se concentre en hiver, et spécialement au moment des fêtes de noel. A ce moment-là, on a une alimentation plus riche en protéines et graisses qu’en été, ou on mange plus de verdure et de fruits (parce que c’est la saison bien sur, et aussi à cause de la chaleur). Le moment des fêtes de noel va être l’occasion de repas très riches. Donc, si une personne est déjà limite en ce qui concerne son taux de protéines (parce que depuis quelques mois, son alimentation est devenue plus riche en protéines), les fêtes de noel vont être l’occasion d’un dépassement de la limite et donc, de l’apparition d’un rhume ou d’une grippe. Et comme, lors des mois de janvier et de février ça fait longtemps que les gens sont en surplus de protéines, les risques de dépassement de la limite restent importants. Par ailleurs, comme il fait froid, et que le froid est un déclencheur, ça augmente les risques d’attraper un rhume ou une grippe. Le fait de manger moins d’aliments contenant des antioxydants (fruits surtout) entraine que le niveau d’antioxydants est plus bas dans l’organisme, ce qui fait qu’un stress oxydatif peut servir de blancheur.

C’est aussi à cause de l’alimentation que les enfants ont des problèmes ORL à répétition. On leur donne du lait de vache qui contient 3 fois plus de protéines que le lait maternel. C’est comme si vous preniez 3 steaks au lieu d’un à tous les repas, et même au petit déjeuner. Rapidement, vous auriez les même problèmes que les enfants.

Le végétariens ne sont pas épargnés par les rhumes et les grippes parce qu’en fait, ils mangent pas mal de protéines eux aussi. Beaucoup de végétaux contiennent une forte proportion de protéines : céréales et légumineuses. Par ailleurs, beaucoup de végétariens s’autorisent à manger des produits lactés, voir des oeufs (et même parfois du poisson). Et puis, ils continuent naturellement à manger de façon assez classique, avec des plats élaborés. Or, ce genre de cuisine se fait en général avec des légumineuses et des céréales, qui contiennent, comme on l’a vu, pas mal de protéines.

Par ailleurs, ils sont pris dans le mythe du besoin de protéines. Les nutritionnistes insistent sur le fait que les végétariens risquent d’avoir des carences en protéines. Du coup, de nombreux végétariens en font trop et mangent autant, voir plus de protéines que s’ils mangeaient de la viande. Ils vont compenser en mangeant beaucoup de légumineuses, de céréales et de tofu, voir des steaks végétaux (avec du tofu souvent). Et du coup, ils n’échapperont pas aux symptômes provoqués par l’excès de protéine. En plus, ils croient que comme c’est végétal, il n’y a pas de risque. Ils pensent que le problème, c’est la qualité des protéines et que les protéines végétales sont sans danger. Donc, ils ne se méfient absolument pas. Donc, si déjà, ils ne se souciaient pas des problèmes d’excès de protéines, vu que des nombreux végétaux en contiennent beaucoup, ils en mangeraient pas mal, mais comme ils s’en soucient, ils en absorbent autant, voir plus que des gens gardant une alimentation classique. Bien sur, ce n’est pas le cas de tous les végétariens, mais de beaucoup quand même.

La solution pour ne plus jamais avoir de rhumes et de grippe est donc très simple : il suffit de changer d’alimentation pour un régime contenant beaucoup moins de protéines que le régime classique occidental.

Oui, mais la plupart des aliments contiennent beaucoup de protéines. Donc, comment faire ? Quels sont les aliments qu’ils faut privilégier pour diminuer la quantité de protéines absorbées ? La viande, ce n’est pas bon, les laitages non plus, les légumineuses non plus, les céréales non plus. Que reste-t-il ? Les fruits et la plupart des légumes. Ce n’est pas un hasard si c’est aussi la partie essentielle du régime des singes.

Bien sur, ça ne signifie pas qu’il ne faille manger que de ça. Mais il faut réduire fortement la part des aliments carnés (viande, oeufs, laitages divers) pour privilégier ce type d’alimentation.

Mon expérience a ce sujet est assez concluante, vu que je n’ai plus eu aucune grippe ou rhume, ou quoi que ce soit y ressemblant depuis l’été 2002 (donc 4 ans 1/2), date à laquelle j’ai changé d’alimentation pour un régime contenant beaucoup plus de fruits, et beaucoup moins de viandes, laitages, etc…

En règle générale, je mange un repas qui contient uniquement des fruits et du jus de fruit, un repas du même genre, mais avec des produits oléagineux (fruits oléagineux, ou du pain avec de l’huile de noix), et un repas classique. Bien sur, ce n’est pas parfait et je fait des écarts. Par exemple, même si on est bien approvisionnés dans nos pays occidentaux, il est difficile d’avoir des bons fruits durant les inter-saisons (le mois de mars par exemple, est vraiment vide). Donc, je me rabats alors sur des jus de fruits et par exemple des pamplemousses. Détail, j’ai remarqué que les petits gateaux ont tendance à faire mal à la gorge.

Par ailleurs, c’est assez facile de voir venir un rhume avec cette alimentation, si on fait des écarts. Aussitôt, le nez se met à être plus encombré, la gorge aussi, le nez est plus bouché. Aussi, avant qu’un rhume n’apparaisse, il y a plein de symptômes annonciateurs qui laissent largement le temps de se reprendre et d’empêcher l’arrivée du rhume.

Donc, évidemment, puisque la grippe et le rhume ne sont pas des maladies virales, ça ne sert strictement à rien de se faire vacciner.

D’ailleurs, fort des ces informations, on peut être sur qu’on ne verra jamais un vaccin contre le rhume (j’entends, un vaccin efficace à 95 %). Puisqu’il s’agit d’une maladie liée à l’alimentation, et malgré les manipulations statistiques qui sont la norme dans le monde médical, il serait impossible de masquer l’inefficacité quasi totale du vaccin. A moins d’inventer une nouvelle maladie reprenant exactement les symptômes du rhume et dans laquelle on mettrait les cas anciennement considérés comme des rhumes. Ou à moins que les gens se mettent à manger des aliments moins riches en protéines. Auquel cas, les médecins pourraient sortir un vaccin pour revendiquer cette baisse (comme ils l’ont fait pour un certain nombre de maladies, dont les cas n’ont baissé que grace à l’amélioration des conditions de vie).

Note : ce n’est pas une vision nouvelle. L’idée d’un processus d’élimination a déjà été abordé par d’autres. Par contre, ce que j’apporte, c’est l’idée de l’excès de protéines, qui permet de préciser beaucoup plus l’origine du problème, et le processus à l’oeuvre. L’encrassement, ca reste assez flou. L’excès de protéines, c’est beaucoup plus précis.

Histoire de l’invention des virus

Pour entrer directement dans le vif du sujet, les virus sont des inventions pures et simples qui ont été créés à l’époque de l’hystérie pastorienne sur les germes pathogènes. Ce n’est qu’une séquelle, une conséquence du délire de ces années là.

A l’époque, presque toutes les maladies étaient considérées comme étant dues à des germes pathogènes. Problème, il y avait des maladies pour lesquelles ont ne trouvait aucune bactérie pouvant être considérée responsable. Alors, comme il fallait obligatoirement que les maladies en question soient dues à des germes pathogène, on en a inventé de nouveaux. Et comme on ne pouvait pas les voir, on a incriminé les instruments de l’époque, et la taille des germes en question. On a dit qu’il y avait bien des germes, mais que ceux-ci étaient trop petits pour être détectés avec les instruments de l’époque. Les virus venaient d’être inventés.

Bien sur, certains découvreurs n’ont pas eu de scrupule à utiliser quelques animaux pour valider leurs théorie et ainsi, récolter la gloire d’être les découvreurs de nouveaux germes pathogènes (avec la manne financière qui allait avec cette gloire, sous forme de récompense de l’état, de chaires d’enseignements en faculté, etc…). Il suffisait de tuer ceux qui devaient correspondre à la théorie. Les animaux ne parlent pas.

C’est ainsi qu’on a pu réaliser les premiers soi-disants isolements rudimentaires de virus. On filtrait le sang ou le liquide contenant le supposé virus. Et quand les animaux utilisés ne tombaient plus malade, voir, ne mourraient plus, on « savait » qu’il n’y avait plus d’agent pathogène dans le filtrat. Donc, on arrivait grosso modo à établir la taille des agents pathogènes en question. Tout reposait sur le truandage des expériences d’inoculation de virus pathogènes aux animaux.

Donc, quand sont arrivées les méthodes moderne de détection des virus, la messe était déjà dite. La croyance en l’existence des virus était déjà totale dans le milieu scientifique. On ne pouvait plus faire marche arrière. Il fallait trouver des virus au microscope électronique. Sinon, la biologie et la médecine perdaient totalement la face.

Donc, tout était joué d’avance quand sont arrivés les microscopes électroniques dans les années 40, puis, les méthodes de culture in vitro dans les années 60, et enfin, les méthode d’identification des protéines et de l’ADN dans les années 70.

Heureusement pour eux, sur leur chemin, il y avait des particules qui étaient en fait les déchets de fonctionnement des cellules. Ces particules avaient la taille des particules virales. Et comme elles étaient émises par les cellules, il était possible de faire croire que lorsqu’elles sortaient des cellules, il s’agissait de réplication. De même, comme la cellule se nourrit, il était possible de faire croire que les particules absorbées par les cellules pour se nourrir étaient des virus en train d’infecter les cellules. Un peu comme quelqu’un qu’on observerait de loin pendant une semaine, et qui mangerait une fois une banane en plus d’autres plats. Les déjections ressemblant un peu à une banane, de loin on pourrait penser que la banane est un virus qui se multiplie dans le corps. Donc, chance pour eux, les virologues avaient sous la main un type de particule qui pouvait tout à fait passer pour un virus.

L’évolution technique progressive a été surtout une chance pour la virologie, même si elle introduisait une petite faille. Une chance, parce que la complexité des nouveaux outils permettaient de jeter une nappe de brouillard sur la discipline. Et avec cette nappe de brouillard technique, il y avait beaucoup moins de problèmes pour valider la discipline. Tout le savoir, et donc, le pouvoir était désormais dans les mains des spécialistes. Ca permettait de repousser pour très longtemps la critique de l’existence des virus. Mais, il y avait également une petite faille. Le coté progressif de l’évolution technique allait forcément entrainer un jour ou l’autre la question suivante de la part de gens ayant un minimum d’esprit critique : « Si la technique a évolué, et qu’il est obligatoire d’utiliser les derniers développements techniques pour être sur qu’on a bien identifié un virus, c’est que les techniques précédentes ne permettaient pas d’être sur qu’on avait affaire à un virus. Alors, comment pouvait-on être sur, lors des différentes phases de l’évolution technique, qu’on avait bien un virus, si la technique de l’époque n’était pas suffisamment évoluée pour en avoir la preuve ? ». Question qui devait aboutir à l’idée qu’il y avait eu truande avec les anciennes méthodes (sur la validité des découvertes). Et à partir de cette constatation, on pouvait remonter à la période actuelle. Parce que, si les virologues avaient été capables de truander dans les années 50/60, il n’y a pas de raison qu’ils n’aient pas continué à truander les décennies suivantes.

L’identification des virus a commencé par l’utilisation exclusive du microscope électronique (avec la méthode de l’ultracentrifugation pour isoler les particules de taille « virale »), vers la fin des années 40. La chance pour les virologues, c’est qu’en étant pas regardant sur les preuves, cette technique était juste assez convaincante pour faire croire à l’identification des virus. On arrivait grace à la purification, à avoir parfois jusqu’à 99 % de particules de même taille et même forme. Et elle permettait donc, grace aux peu de preuves exigées, de trouver beaucoup de nouveaux virus.

Mais bien sur, cette technique, n’était absolument pas valable. Le problème c’est qu’en l’absence de culture virale (technique non maitrisée à l’époque) et d’identification des particules (idem), on ne sait pas si ce qu’on a isolé est du virus, ou simplement des particules endogènes à (c’est à dire produites par) l’organisme. Donc, on a bien 99 % de quelque chose, mais de quoi ? Mystère.

Par la suite, dans les années 60, on a commencé à cultiver les virus, grace à des cultures de cellules. Grace à la culture de virus, on peut avoir une seconde culture témoin ; c’est à dire, une culture où il n’y a pas de virus d’introduit, et dans laquelle, il ne devrait pas y avoir de particules de taille virale. Le problème, c’est que les cultures de cellule ont un défaut fatal qui fait que, le couple « culture de virus + microscope électronique » n’est pas suffisant lui non plus. Le problème, c’est que les cultures de cellule engendrent la production de particules de tailles virale (ce qui est normal puisque les virus sont en fait des déchets des cellules). Donc, comme on a des particules de taille virale aussi bien dans la culture de virus, que dans la culture témoin, il faut identifier les particules virales pour faire la différence entre les deux. Si on cultive des virus dans des cellules, et qu’on n’a qu’un microscope électronique pour les identifier, ce n’est pas suffisant. Visuellement, on ne peut pas dire si telle particule de taille virale est une particule X ou Y. Donc, on ne peut pas dire si les particules de taille virale sont des virus ou des déchets cellulaires.

Donc, tous les virus identifiés durant ces années là ne peuvent pas être considérés comme ayant été isolé et identifiés. Ces virus sont des inventions pures et simples. De même que ceux trouvés avant cette période.

Dans les années 70, enfin on a réussi à identifier les composants des virus. On a d’abord réussi a identifier les protéines des virus, puis, leur ADN et ARN. Sur le papier, la méthode « culture de cellules + microscope électronique + identification des composants du virus » était enfin suffisante pour isoler et identifier les virus. La virologie tenait enfin son Graal.

Mais, à l’analyse, il se révèle que ces techniques d’identification des composants d’un virus sont totalement fallacieuses. Elles ne permettent pas du tout d’identifier ce qu’elles cherchent à identifier. Donc, on est resté en réalité à la période précédente, celle du couple « culture de cellules + microscope électronique ».

Le problème de l’identification des protéines, c’est que c’est une méthode indirecte qui repose sur le fait que les anticorps sont spécifiques des antigènes, et donc, que si on sait quel anticorps on a, on sait quel antigène il y a en face. De même, les antigènes sont supposé spécifiques d’un virus donné, et pas de plusieurs. Or, les anticorps ne sont pas spécifiques du tout, et les antigènes ne sont pas spécifique de tel ou tel virus. Donc, cette méthode ne permet pas du tout d’identifier les protéines des virus. Elle ne permet même pas d’identifier telle ou telle protéine. C’est une méthode qui ne vaut rien. En réalité, à mon avis, les anticorps sont simplement une espèce de papier tue-mouche, des particules collantes qui servent à collecter les déchets cellulaires pour permettre leur élimination ou leur recyclage par le système lymphatique. Donc, c’est normal qu’ils se collent à tout et n’importe quoi et qu’ils ne soient absolument spécifiques de tel ou tel antigène. Il n’y a pas de système clef/serrure entre l’anticorps et l’antigène.

Enfin, l’identification de l’ADN a l’air d’être carrément une truande totale. Quand on identifie un ADN, on a une longue bande principale, avec des bandes latérales. La position des bandes latérales permettent d’identifier des fragments de l’ADN en question, qui lui sont spécifiques. Ca donne une sorte d’empreinte digitale de l’ADN. Seulement, le problème, c’est que cette empreinte n’est pas identifiable directement, qu’elle doit donc passer par un traitement informatique, et qu’elle est complètement trafiquée par le technicien qui le réalise. Le cliché de départ, est trop sombre pour qu’on voit bien les bandes. Donc, il faut pousser la luminosité pour les voir. On fait ça avec un logiciel. Mais, le problème, quand on fait ça, c’est qu’il y en fait beaucoup de bandes qui apparaissent. Alors, le technicien en enlève, en repositionne, en redimensionne certaines, pour obtenir ce qu’il veut. Donc, en réalité, la fameuse empreinte digitale de l’ADN est une arnaque totale.

Vous me direz qu’il y a quand même l’expérience d’inoculation du virus, qui montre bien qu’il y a quelque chose de taille virale qui provoque la maladie et qui peut être ensuite transmis à une autre personne, puis une autre, etc… Donc, même si les techniques d’isolements n’étaient pas valables, il serait quand même clair qu’il y a un microbe pathogène d’impliqué. Mais non. Pour d’évidentes raisons éthiques, il est hors de question d’inoculer la maladie à des êtres humains. Donc, on n’inocule la maladie qu’à des animaux. Or, comme déjà mis en avant, les animaux ne parlent pas. Donc, toutes les truandes sont possibles. Vous me direz qu’il y a les virus touchant les animaux eux-même. Mais on retombe sur le même problème. Les animaux ne parlent pas. Donc, on peut dire ce qu’on veut sur ce qui arrive quand on leur inocule tel ou tel soi-disant virus, comme tout ça se passe en laboratoire, personne ne peut venir raconter le contraire. Le seul modèle qui soit valable, c’est l’être humain. Parce que lui, on ne peut pas parler à sa place.

Donc, l’histoire des virus est l’histoire d’une invention continue de particules qu’on a déclarées virales alors qu’on n’avait pas les moyens de le prouver. C’est l’histoire d’un bluff et donc, d’une arnaque permanents.