Le paludisme n’est pas une maladie microbienne (partie 1/3)

 

On voit voir ici que le paludisme, non seulement n’est pas une maladie microbienne, mais semble même une pure invention.

 

1) Les symptômes du paludisme

 

Wikipédia nous donne ceci.

Symptômes

  • Fatigue généralisée
  • Perte d’appétit
  • Vertiges
  • Céphalées
  • Troubles digestifs (embarras gastrique), nausées, vomissements, douleurs abdominales
  • Diarrhée
  • Myalgies
  • Fièvre
  • Tremblements intermittents
  • Arthralgies
  • Signes d’anémie causée par l’hémolyse
  • Hémoglobinurie
  • Convulsions
  • Ictère

 

Sur le site de l’institut Pasteur, on a ça :

« Les manifestations cliniques du paludisme sont très diverses. Le paludisme débute par une fièvre 8 à 30 jours après l’infection, qui peut s’accompagner – ou non – de maux de tête, de douleurs musculaires, d’un affaiblissement, de vomissements, de diarrhées, de toux. Des cycles typiques alternant fièvre, tremblements avec sueurs froides et transpiration intense, peuvent alors survenir : c’est  » l’accès palustre ». La périodicité de ces cycles dépend de l’espèce de parasite en cause, et coïncide avec la multiplication des parasites et l’éclatement des globules rouges, qui conduit également à l’anémie. Le paludisme à P. falciparum peut être fatal s’il n’est pas traité. Dans certains cas, les globules rouges infectés peuvent bloquer les vaisseaux sanguins irriguant le cerveau : c’est le neuropaludisme, souvent mortel.« 

Sur le site de l’OMS, on a :

« Le paludisme est une maladie caractérisée par des épisodes fébriles aigus. Les symptômes apparaissent au bout de sept jours ou plus (généralement 10 à 15 jours) après la piqûre de moustique infectante. Les premiers symptômes – fièvre, maux de tête, frissons et vomissements – peuvent être modérés et difficiles à attribuer au paludisme. S’il n’est pas traité dans les 24 heures, le paludisme à P. falciparum peut évoluer vers une affection sévère souvent mortelle.

Les enfants fortement atteints développent fréquemment un ou plusieurs des symptômes suivants: anémie sévère, détresse respiratoire consécutive à une acidose métabolique ou paludisme cérébral. Chez l’adulte, on observe aussi fréquemment une atteinte de tous les organes. Dans les zones d’endémie, les personnes peuvent parfois être partiellement immunisées, et il peut y avoir des infections asymptomatiques.« 

 

Donc, le cœur de la maladie, c’est la fièvre, la transpiration (ce qui ne présente rien de spécifique). Et à côté de ça, il y a des symptômes annexes qui sont les nausées, les vomissements, les diarrhées, les maux de tête, l’anémie, la jaunisse. Là encore, on n’a rien de vraiment spécifique.

Ces autres symptômes permettent de faire correspondre la maladie aux problèmes occasionnés par les médicaments. Comme les antibiotiques entrainent des problèmes de diarrhées, vomissements, nausées et jaunisse, on ajoute ça aux symptômes du paludisme.

Les autres symptômes permettent également d’étendre la maladie et de faire un diagnostic de paludisme pour tout et n’importe quoi. Ça permet de multiplier les cas.

Il n’y a que le fait que la personne meurt qui relie la fièvre à quelque chose de particulier. Mais on va voir dans la prochaine section que dans la mesure où ça concerne surtout les enfants, ça reste très peu spécifique.

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