L’arnaque d’Ebola

 

A mon avis, Ebola est une arnaque.

Mais c’est une arnaque à retardement. L’industrie pharmaceutique a posé ses premiers jalons dans les années 70, sans faire de bruit, en parlant d’épidémies limitées à quelques villages africains et sans proposer de traitement. Elle a attendu patiemment 40 ans pour que personne n’aille imaginer une arnaque. Et peut-être que bientôt, elle fera enfin fructifier ça avec la mise au point d’un vaccin. Ça n’est peut-être pas pour tout de suite. Peut-être que l’arnaque sera mise en sommeil pendant quelques années et qu’il y aura une étape suivante. Mais il semble qu’on aille vers ça.

 

Donc, l’épidémie actuelle est inventée, comme les précédentes.

Comment font-ils ça ? Un récent reportage de TF1 (« Dans l’antre du virus », diffusé le 7 septembre 2014) est assez instructif. En fait, ils font venir des médecins dans les villages africains. Et là, il suffit que des personnes aient des symptômes très lambda, comme des diarrhées, des vomissements, de la fièvre, des céphalées, pour qu’on déclare qu’elles ont Ebola. C’est ce qui se passait dans le reportage. Par deux fois on voit ça (une première femme a des diarrhées, des vomissements et de la fièvre, la deuxième, juste des céphalées). . Ils les emmènent ensuite dans des hôpitaux. Dans le reportage, le médecin discutaient avec des supposés malades (qui n’avaient pas plus l’air malades que vous et moi) et les convainquaient de venir à l’hôpital se faire traiter.

Une fois dans les hôpitaux, ils en tuent une bonne partie avec des antibiotiques, des anti-inflammatoires et surtout, de la morphine (ce qui n’est pas dit dans le reportage évidemment). Et bien sûr, ils accusent Ebola de les avoir tués. Ainsi, on obtient plein de cas et de morts et on a une base réelle pour parler d’une épidémie. C’est aussi simple que ça.

 

Apparemment, dans les années 70, c’était différent. On parlait plus d’hémorragies internes, de saignements au niveau des yeux, de diarrhées sanguinolentes, et d’éruptions cutanées énormes avec des cloques. Or, ça, ce sont des symptômes clairement liés à la prise d’antibiotiques ou d’anti-inflammatoire (ou des deux) à des doses très importantes. Donc, on devait leur donner ces médicaments à des doses beaucoup plus importantes que maintenant. C’est comme ça qu’on créait les symptômes en question.

L’utilité de ça, pour l’industrie pharmaceutique, c’est que ça a donné des symptômes spectaculaires, permettant d’instiller la peur panique de cette maladie. C’est un peu comme pour le sida, où le fait de tuer les sidéens en masse avec l’AZT a permis de provoquer la terreur. Ce qui a permis ensuite de vendre les tests et les traitements.

Cela dit, comme on sait maintenant qu’il s’agit d’une arnaque, et que ça ne concernait à l’époque que quelques villages, peut-être aussi qu’on a très fortement exagéré le nombre de personnes touchées par ces symptômes apocalyptiques. C’est probable. Avec le peu de villages concernés, et la quarantaine, personne n’allait vérifier de quoi il retournait vraiment. Donc, peut-être que seuls 10 ou 20 % des malades avaient ces symptômes, à l’époque.

 

Actuellement, comme ils veulent que ça touche plus de monde, ils diagnostiquent la maladie à partir de symptômes complètement banals, comme des diarrhées, des vomissements, des céphalées, de la fièvre. Ça permet d’inventer des tas de cas facilement et dans n’importe quel ville ou village. Mais, comme ça se voit, ils ont été obligés de le reconnaitre et de donner une explication. L’explication, c’est que le virus aurait muté et donc la souche actuelle serait moins virulente.

C’est ce que dit le docteur Sylvain Baize ici :

: « Le virus détecté en Guinée a évolué et « semble un peu moins pathogène« , selon le Dr Sylvain Baize, responsable du Centre national de référence des Fièvres hémorragiques virales, qui évoque un taux de mortalité autour de 50 à 60 % et « les symptômes, moins hémorragiques« . »

 

Le fait que les docteurs reviennent régulièrement dans les villages où ils ont déjà trouvé des malades est utile pour les concepteurs de l’arnaque. Parce que, du coup, les docteurs peuvent cibler les proches des malades précédents. Et si jamais ils manifestent le moindre symptôme de quoi que ce soit, ils sont emmenés et éventuellement tués. Ainsi, les autorités médicales et les médias peuvent dire que telle famille a été presque entièrement décimée par la maladie. Forcément, ça frappe les imaginations. Dans l’esprit des gens, c’est une preuve qu’il s’agit d’une maladie transmissible. Même chose pour les villages. Avec cette façon de faire, on peut dire que tel village a été fortement frappé en X mois par la maladie. Là aussi, ça sonne comme une preuve du caractère transmissible de la maladie dans la tête des gens.

Comme désormais, il y a le téléphone dans tous les villages africains, ça facilite le travail des docteurs à ce niveau. En effet, ça permet à ces derniers de demander au chef du village de surveiller les personnes ayant été au contact des malades, et de les appeler quand ils manifestent des céphalées, des diarrhées, de la fièvre, des vomissements, etc… Ainsi, les personnes en question sont sous surveillance constante. Et dès qu’ils manifestent le moindre signe de quoi que ce soit, le chef du village appelle et les personnes en question sont emmenées. Bien sûr, comme de toute façon, les docteurs visitent les villages et y reviennent, ils pourraient inventer des cas de la façon décrite dans le paragraphe précédent. Mais là, ça leur permet de multiplier le nombre de villages visités et d’inventer plus de cas.

Ça permet aussi d’avoir plus de cas au sein d’un même village. Le fait qu’une personne proche vienne d’être déclarée malade d’Ebola, voire même de mourir, entraine un stress énorme pour les proches. Et encore plus le fait de savoir qu’ils sont probablement contaminés et sont les prochains sur la liste. Donc, forcément, à cause de ce stress, beaucoup risquent de tomber malade peu de temps après et d’avoir des céphalées et de la fièvre. Et comme on soigne la fièvre et les céphalées avec des produits qui donnent de la diarrhée et des maux de ventre (anti-inflammatoires), ces symptômes peuvent se manifester après. Par ailleurs, ils seront tentés de se traiter préventivement via les marabouts locaux, qui leur donneront des médicaments entrainant aussi ce genre de symptômes (ou alors, ce sera l’arrêt du traitement qui les provoquera). Donc, si le médecin arrive à ce moment-là, il va les déclarer malades d’Ebola et les emmener. Mais, si le médecin ne se basait que sur les visites sur place, ces personnes pourraient s’être déjà remises lors de sa prochaine visite et il lui serait alors beaucoup plus difficile de leur diagnostiquer la maladie. Le fait qu’on demande au chef du village de les surveiller et d’appeler le médecin en cas de symptômes optimise donc fortement la chose. Le médecin ne rate alors aucun épisode de maladie des gens en question et peut alors leur faire un diagnostic d’Ebola. Et bien sûr, le fait de se savoir surveillés en permanence et de n’avoir droit à aucun moment de faiblesse doit ajouter à leur stress.

Et si le docteur a bien fait paniquer les habitants, ils auront tendance à vouloir se débarrasser des proches en question et donc : soit à inventer carrément des symptômes, soit à exagérer le moindre symptôme que ceux-ci manifesteront.

 

Du coup, avec cette façon de faire, le nombre de cas dépend en fait des moyens alloués à la recherche des malades dans les villages. S’il n’y a pas d’équipe, il n’y a pas de malades. Et s’il y en a une, on se met à en découvrir. Et plus la recherche est optimisée, plus on découvre de cas avec le même nombre de médecins. Donc, s’il y a 3 équipes, on découvrira 3 fois plus de cas que s’il y en a une seule. Idem, si les équipes disposent de 3 voitures, on découvrira 3 fois plus de cas que s’il y en a une seule. Si on demande aux chefs de village de signaler des cas, on découvrira plus de cas. Etc…

Cela dit, la résistance de la population doit aussi limiter les possibilités des ONG d’inventer des cas. Beaucoup de villages sont ultra méfiants et pensent que ce sont les ONG qui tuent les leurs. Donc, les médecins sont souvent refoulés.

A priori, ce ne sont pas tellement les médecins locaux indépendants qui « découvrent » des cas, mais des médecins (éventuellement locaux) financés par des organisations internationales comme la Croix-Rouge, Médecin sans Frontière (les deux étaient présents dans le reportage), ou l’OMS.

Ça permet à ces organisations de gérer le nombre de malades « découverts ». En décidant d’allouer tels moyens à la recherche de malades, et en décidant de limiter la recherche à tels ou tels villages, ils découvrent plus ou moins de cas.

 

C’est pour ça que les cas se trouvent à proximité des camps des ONG et pas ailleurs. On fustige les africains d’accuser les ONG de créer des cas et des morts. On se moque en disant qu’ils (sous-entendu, ces pauvres paysans analphabètes) n’ont rien compris et que c’est l’inverse : c’est parce qu’il y a des cas que les ONG sont là. Sauf que, non non, les africains en question ont parfaitement bien compris la situation. C’est bien parce que les ONG sont là qu’il y a des cas à proximité.

Cela dit, il est bien possible aussi que ces histoires selon lesquelles les villageois penseraient que ce sont les docteurs qui tuent et du coup, ne les appelleraient pas ou les empêcheraient même de venir, sont peut-être inventées par les médias. Parce que dans le reportage de TF1, on ne constatait rien de ce genre. Les gens n’avaient pas l’air du tout hostiles. Au contraire, ils avaient l’air neutres, les malades bien obéissants, et le chef du village tout à fait coopératif. A quoi ça sert alors ? Eh bien, avec ce genre d’histoire, on peut dire que si l’épidémie se répand, c’est en partie parce que les gens ne préviennent pas, ou pas à temps, les médecins et que ceux-ci ont des difficultés pour pénétrer dans les villages ; bref, qu’il y a obstruction. Et puis, petit bonus, ça permet au passage de taper un peu sur le conspirationnisme.

D’ailleurs, si les villageois se méfiaient autant des médecins, alors, ils les appelleraient uniquement quand la personne est proche de mourir, et pas quand elle est encore sur pied, souffrant de troubles tout à fait mineurs (comme des maux de tête et du mal de ventre apparemment léger). Or, d’après ce qu’on a pu voir dans ce reportage, c’est bien le cas.

 

Alors, concernant le diagnostic, on dira que celui-ci ne repose pas que sur les symptômes. Une fois à l’hôpital, un test d’anticorps ou de PCR est fait qui permet d’éliminer les personnes qui sont malades d’autre chose. Donc, le diagnostic n’est pas si bidon que ça.

Et dans les hôpitaux de campagne montés par les ONG, là, il y a très probablement du matériel de test et le personnel sachant l’utiliser. Donc, des tests sanguins doivent y être pratiqués. Or, comme la plupart des malades doivent passer par ces hôpitaux, ils passent effectivement un test.

Le problème, c’est que le pourcentage de personnes réagissant positif aux tests peut être réglé à volonté par les labos. Donc, il suffit de régler les tests sur 80 % de positifs pour que 80 % des gens qui arrivent à l’hôpital soient considérés comme positifs au virus Ebola. Ça peut être 5 % ou 20 %, ou un autre pourcentage, les labos font ce qu’ils veulent.

Et comme les antibiotiques et les anti-inflammatoires à haute dose ont tendance à faire positiver les tests, avec les traitements données aux supposés malades, on va avoir beaucoup plus de positifs que normalement. Si le test est réglé pour réagir 25 % du temps chez des gens lambdas, mais qu’on teste essentiellement des personnes prenant déjà des antibiotiques et des anti-inflammatoires, on va peut-être passer à 50 % de positifs.

Par ailleurs, le problème des tests en question, c’est qu’ils engendrent trop de faux négatifs (c’est-à-dire que la personne est considérée comme non contaminée, alors qu’elle l’est). Et c’est pire pour l’épidémie actuelle, car comme la souche est différente de d’habitude (il existe 5 souches), le taux estimé de faux négatifs est encore bien plus élevé. Surtout qu’il est reconnu que les tests sont plus souvent faussement négatifs quand la maladie est déjà bien avancée. Comme les médecins savent tout ça, ils ne se fient pas trop aux résultats des tests négatifs. Donc, même si un patient est déclaré négatif par un test, il pourra être malgré tout considéré positif par les médecins sur la foi des symptômes cliniques et de la proximité avec de précédents malades. Au final, si les résultats négatifs peuvent être ignorés, le diagnostic peut être fait au feeling par les médecins ; et le sérieux supposément introduit par les tests disparait.

Et justement, pour les symptômes cliniques, même si la personne n’en a pas au départ, comme les médecins vont donner par précaution des médicaments qui vont en provoquer, elle va en développer. Et du coup, on peut prendre une personne seulement suspectée d’avoir Ebola, et le fait de la faire avoir les symptômes en question va sembler confirmer le fait qu’elle a bien la maladie.

 

Et si on parle de cas en Europe et en Amérique, c’est pour faire en sorte de vendre plus facilement un vaccin. Si c’était limité à quelques centaines ou milliers des cas africains, tout le monde s’en foutrait. Mais si ça commence à arriver chez nous, là, les occidentaux se mettront à avoir peur et accepteront le financement d’un vaccin pour les africains. C’est pour ça qu’on nous a parlé très rapidement de gens contaminés rapatriés dans des pays occidentaux. Et c’est pour ça qu’on n’arrête pas de nous parler d’épidémie incontrôlable et de menace de propagation à l’Europe et aux USA.

 

Au passage, bien sûr, les institutions (OMS) et les ONG impliquées (Croix-Rouge, Médecins Sans-Frontière, etc..) travaillent en réalité pour l’industrie pharmaceutique. Il ne faut pas se faire d’illusion. Mais c’est au plus haut niveau bien sûr. Le médecin lambda ne comprend rien à rien et ne fait qu’appliquer les consignes.

 

En tout cas, jusque-là, on ne savait pas forcément trop de quoi il retournait. Maintenant, grâce à cette pseudo-épidémie, c’est clair : Ebola est une arnaque pure et simple.

Une autre chose qui est positive, c’est que bien qu’il s’agisse d’une maladie à laquelle les gens croient potentiellement bien plus qu’au H1N1 (par exemple), de nombreux blogs doutent fortement de la réalité de l’épidémie et voient bien qu’il s’agit une arnaque des labos pour nous fourguer un nouveau vaccin dans le futur. Donc, le niveau de conscience augmente.

 

PS :

Au passage, il y a 30 ans, on nous expliquait qu’il y avait très peu de risque que la maladie ne s’étende jamais au-delà de quelques villages, à cause de la vitesse de déclenchement de la maladie et mode de contamination exigeant un contact direct avec des sécrétions corporelles. Mais en 2014, oublié tout ça, plus de problème pour que la contamination s’étende à plusieurs pays en quelques mois, et à un continent entier ensuite. Ben voyons.

PS 2 :

Donc, ce n’est pas du tout comme on l’imagine à priori où les gens mourraient dans leur village tous seuls, sans intervention médicale d’aucune sorte. Puis après, les médecins viendraient et constateraient que ces personnes sont mortes et établiraient le diagnostic (à l’aide des symptômes, de la mort et des tests sanguins). Là, d’accord, on pourrait dire qu’il y a vraiment quelque chose.

Mais non, il y a toujours intervention du médecin bien avant qu’il y ait des symptômes vraiment spécifiques à Ebola. Et la personne meurt pratiquement toujours après être allée à l’hôpital.

Bien sûr, il peut toujours y avoir des morts spontanées. Et puis, il faut voir qu’ils ne visent pas que des petits villages, mais également des villes de 100.000 habitants. Et dans ce cas, ça n’a rien d’extraordinaire de trouver des gens qui viennent de mourir chez eux. Ça arrive tous les jours. Et puis, il peut y avoir des morts liées à une mauvaise automédication ou aux traitements des marabouts.

Et ce ne sont pas des gens qui sont extrêmement malades, ni même leurs proches, qui appellent les médecins. Là encore, si c’était le cas, on pourrait se dire qu’éventuellement, il y a quelque chose. Mais non, ce sont ces derniers qui viennent dans les villages et déclarent que des personnes apparemment sans symptômes graves sont atteintes. Ou alors, ce sont les proches qui appellent, mais alors que la personne a juste des symptômes tout à faits banals et bénins. Or, là encore, ça n’a strictement rien d’extraordinaire d’avoir des gens avec des symptômes de céphalée, de fièvre, de diarrhées, de vomissements, etc…

PS 3 :

Concernant les morts des médecins et autre personnel médical en contact avec les malades, une bonne partie doit être inventée. Ce qu’il y a, c’est que comme les gens doutent de tout désormais, il faut renforcer l’arnaque, la rendre plus convaincante. Dans l’esprit des gens, si même les médecins meurent, l’épidémie ne peut plus être une arnaque.

Il est possible cela-dit que quelques médecins et infirmiers locaux soient effectivement sacrifiés, comme le Dr Olivier Buck. Pour ça, il suffit d’utiliser la même méthode que pour les autochtones. A la moindre fièvre, diarrhée, céphalée, vomissement, on les hospitalise et on les tue.

 

 

3 réflexions sur « L’arnaque d’Ebola »

  1. Bonjour,
    Ebola est une arnaque, c’est à peu près sûr en effet.

    Je me permets de compléter avec une hypothèse intéressante, trouvée sur votre propre site, en avril 2010, dans l’article « Choléra ou empoisonnement à l’arsenic ? »:
    « Et puis, on peut se demander si ce n’est pas le cas également pour la maladie ébola. Quand on lit les symptômes ça ressemble aussi pas mal aux symptômes de l’empoisonnement à l’arsenic. »

    Peut-être que l’arnaque actuelle (faire peur pour vendre des vaccins) n’est que le recyclage de l’arnaque de l’époque (invention d’un virus pour cacher la pollution à l’arsenic due à l’industrie minière en Afrique) ?

  2. Bonne analyse, et c’était évident.

    A mon avis, la volonté de mettre en place Ebola à un niveau épidémique est non seulement fait pour que les gens paniquent, un peu partout dans le monde, mais en plus, cela doit cacher quelque chose qui me semble beaucoup plus gros.

    D’un côté, il y a l’arnaque à l’Ebola, avec mise en place de camp de concentrations, comme ils l’ont montré dans les journaux télévisés ces derniers temps. De l’autre, sur le plan politique, il y a une volonté d’établir des troupes en Syrie, en Irak, et probablement établir un pseudo conflit avec la Russie.

    Puis, enfin, troisième point (économique celui-ci), on sait que le dollar est voué à disparaître. Mais, je ne crois pas que ce soit tout. L’euro va aussi disparaître, pour laisser place à une monnaie qui pourrait être établie à la fois sur le continent étasunien et européen. Et en France, si tu remarques bien, les élites au pouvoirs commencent à cracher dans la soupe quant à la belle image qu’est l’UE. Il y a donc un retournement de veste qui est surprenant. Ils appellent à une autre Europe. Donc, lorsque l’euro tombera, l’UE disparaîtra. Mais, pour laisser place à quelque chose de plus important.

    Tout cela me fait penser qu’Ebola est souhaitée pour instaurer la loi martiale. Parce que, si le niveau est épidémique au point où le monde est touché, l’ONU et l’OMS pourraient mettre en place une telle loi pour « encadrer » les populations vers un ordre politique qui sera très probablement totalitaire.

    J’espère me tromper, mais, dans l’analyse globale des choses, tout est indiqué sur le plus ou moins long terme. C’est donc une question de temps ; une affaire de mois, dirais-je.

  3. Bien évidemment Ebola est une arnaque au même titre que le H1N1 et le Gardasil.
    Il faut des médecins comme le Professeur Joyeux et le Dr Tal Schaller pour réveiller les gens endormis…

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