Cas de cancer du sein foudroyant

 

Un cas récent de cancer dans mon entourage vient de me faire comprendre comment une grosseur importante peut apparaitre et se développer en très peu de temps au niveau du sein.

Le cas en question est celui d’une femme d’un peu plus de 50 ans. Elle avait repéré une petite grosseur au sein droit depuis un mois ou deux, mais n’avait pas voulu s’inquiéter.

Quoi qu’il en soit, tout d’un coup, vers le 2 ou 3 décembre, une grosseur importante est apparue en à peine quelques jours au niveau du bras gauche. Durant le même temps, la grosseur au niveau du sein droit s’est mise à grossir elle-aussi. Elle faisait déjà 4 cm lorsque les premiers examens ont été réalisés vers début décembre, et 11 cm le 19 décembre.

Comme je l’avais dit dans d’autres articles, si je ne crois pas au cancer, je pense que les tumeurs existent. Donc, on peut se poser la question ; vu qu’il y a effectivement apparition d’une grosseur manifeste, est-ce qu’il s’agit bien d’une tumeur, ou est-ce qu’il s’agit d’autre chose ? A priori, rien ne s’oppose à ce que ce soit tout simplement une tumeur.

 

1)    Première explication possible

 

Mais, en fait, quand on m’a informé de cette histoire, j’ai pensé surtout à un problème d’œdème causé par un caillot sanguin ou lymphatique (ceci, à cause de la deuxième explication, qui est présentée plus bas).

En effet, c’est la seule autre chose qui peut provoquer une apparition aussi soudaine d’une grosseur quelque part. Et en fait, vu le côté extrêmement rapide du grossissement, c’est même beaucoup plus probable que l’hypothèse d’une tumeur.

Par ailleurs, il n’y avait aucune raison qu’une grosseur apparaisse également au bras, et aussi soudainement qu’au niveau du sein.

Et même plus soudainement qu’au niveau du sein, puisque là, il y avait apparemment déjà une petite grosseur ; alors qu’au bras, il n’y avait rien. Donc, ça voudrait dire qu’en moins de quelques jours, quelques cellules auraient été multipliées par 100.000 ou 1 million. C’est impossible en si peu de temps.

Et puis, depuis quelques jours, la grosseur au sein semble avoir vu la vitesse de son gonflement très fortement diminuer. Alors qu’en quelques jours, elle avait dû passer de 1 cm à 4 cm, puis en une semaine, de 4 cm à 10 cm, il semble que sur la dernière semaine, elle n’ait plus grossi que d’un centimètre, pour passer à 11 cm. Si c’est une tumeur se développant d’une façon foudroyante, ça devrait continuer à progresser au même rythme effréné. Elle devrait faire désormais 20 cm, ou même 30. Ça n’est pas impossible que ça s’arrête à 11 cm, puisque je pense que la plupart des tumeurs considérées comme importantes stoppent leur grossissement à une taille assez moyenne (mais avec un développement qui se passe sur plusieurs semaines ou mois). Mais dans le cas d’un truc aussi fulminant, c’est quand même assez bizarre. Mais si c’est un œdème, ça devient tout à fait normal. Rapidement, l’œdème atteint une taille donnée et s’arrête de grossir.

Donc pour moi, il est clair qu’il s’agit en réalité simplement d’un œdème, probablement causé par un caillot.

Dans cette hypothèse, le caillot bouche une veine, du coup, le retour du sang vers le cœur se fait mal, l’eau s’accumule dans les cellules, et un œdème plus ou moins important se forme à l’endroit bouché. Il est possible aussi que le caillot ne soit pas sanguin, mais lymphatique. Le principe reste alors le même : un œdème se forme parce que le liquide lymphatique ne peut pas être évacué, sauf que c’est dans le système lymphatique.

Concernant la grosseur au niveau du sein, soit il s’agit d’un autre caillot, soit il s’agit d’un engorgement du système lymphatique.

Pour le premier cas, il est possible que deux caillots aient été formés et que l’un soit allé dans le bras et l’autre dans une veine au niveau du sein.

Mais il est plus probable que l’œdème dans le bras ait provoqué une surcharge globale du système lymphatique. Or comme celui était déjà surchargé localement au niveau du sein (d’où la grosseur déjà ressentie, qui n’était probablement qu’un ou deux ganglions enflés), cette surcharge supplémentaire a pu provoquer un engorgement du système lymphatique au niveau du sein, et au final un œdème.

Pour mémoire, le système lymphatique est le système d’égout du corps. C’est un circuit parallèle au circuit sanguin. Le circuit sanguin apporte les nutriments aux cellules, tandis que le circuit lymphatique collecte les déchets des cellules. Comme tout système d’égout, s’il y a trop de déchets, il peut s’engorger à tel ou tel endroit.

Par ailleurs, la personne en question est en léger surpoids. Or, il est possible dans ce cas que des ganglions soient gonflés au niveau des aisselles ou du cou ; ceci parce que le système lymphatique est plus chargé que celui d’une personne qui mange peu (il y a plus de déchets à éliminer). Et il y a plus de risque de développer des caillots sanguins (surtout s’il y a consommation de produits à effets anti-inflammatoires dans l’alimentation, comme le café). En effet, plus le sang est chargé en particules, plus celles-ci risque de s’agréger entre elles. Donc, il est possible que ce soit l’alimentation qui ait conduit au gonflement du ganglion. Et elle aurait été un facteur favorisant l’apparition de l’éventuel caillot.

Dans ce cas, la grosseur au niveau du sein ne serait pas une tumeur, mais un simple engorgement lymphatique. Le liquide lymphatique n’arrive plus à passer ; et du coup, il s’accumule dans les cellules en amont et forme un œdème.

Et tout ça expliquerait très bien pourquoi la grosseur a autant augmenté de taille en à peine quelques jours.

 

2)    Deuxième explication possible complétant la première : vaccination

 

Par ailleurs, il est bien possible que la majeure partie du problème vienne de l’administration du vaccin contre la grippe.

En effet, le 30 novembre, je suis allé manger chez la personne en question. Vers la fin, la conversation s’est portée sur le vaccin contre la grippe. Le couple a alors dit qu’ils avaient leurs doses dans le frigidaire et qu’ils allaient se faire l’injection sous peu (le mari est médecin).

Alors, je ne sais pas si la vaccination a été effectivement pratiquée, mais comme a priori, ils prévoyaient de le faire assez vite, normalement, ça a été fait. Surtout que ça serait logique : vu qu’on était déjà fin novembre, ils n’allaient pas attendre 15 jours pour le faire.

Du coup, ce qu’on peut penser, c’est que soit le vaccin a provoqué la formation d’un caillot sanguin ou lymphatique, soit il pourrait y avoir eu une réaction inflammatoire locale au vaccin.

Dans le premier cas, le vaccin aurait pu entrainer une précipitation du sang ou du liquide lymphatique, ce qui aurait provoqué la formation d’un caillot et donc un œdème au bras.

Dans le deuxième, il est possible que le vaccin ait provoqué une agression directe des cellules proches du point d’injection et que ça ait donc provoqué directement un œdème au bras.

Au final, je penche plus vers cette hypothèse, vu qu’apparemment, l’œdème au bras semble avoir déjà bien dégonflé. Mais bon, en même temps, un caillot peut souvent disparaitre tout seul en peu de temps. Donc, l’hypothèse du caillot reste possible. Mais à la base, je privilégierais plus l’hypothèse d’une réaction inflammatoire.

Dans les deux cas, le mécanisme conduisant à la grosseur au sein serait la même que dans le cas où il n’y aurait pas eu de vaccin. Soit un deuxième caillot sanguin serait allé boucher une veine au niveau du sein, soit la zone lymphatique déjà un peu engorgée au niveau du sein l’aurait été largement plus à cause d’une surcharge générale du système lymphatique causée par l’engorgement au niveau du bras.

Dans le cas où ce serait bien le vaccin la cause du problème, s’il n’avait pas été fait, alors, la personne n’aurait eu que la petite grosseur au sein préexistante au vaccin. Et du coup, le problème aurait été considéré comme relativement bénin par les médecins (au pire, il y aurait eu ablation du sein). Ou alors, si la personne n’était pas allée consulter, la grosseur aurait probablement fini par partir et il ne se serait rien passé.

Donc, si vaccination il y a eu et qu’elle est à l’origine du problème, alors, ça veut dire que les vaccins peuvent provoquer des œdèmes, non seulement au point d’injection, mais ailleurs, et spécialement au niveau du sein. Et du coup, se faire vacciner contre la grippe après 50 ans, quand les risques de problèmes aux seins augmentent, est une très mauvaise idée.

Suite à ces réflexions, je suis allé vérifier sur Internet s’il y avait des témoignages de survenue d’œdème au point d’injection suite à une vaccination. Je pensais n’en trouver que quelques-uns et je pensais aussi que la médecine officielle n’en parlait pas du tout. En fait, il y a plein de témoignages sur le sujet. Et la médecine officielle reconnait tout à fait l’existence de ce problème. Il est même considéré comme très fréquent pour certains vaccins. Donc, mon idée que c’est le vaccin qui a provoqué l’œdème au bras a de très fortes chances d’être la bonne.

 

3)    Réflexions diverses

 

Evidemment, vu qu’elle est déjà dans les mains de la médecine officielle, l’avenir de la personne en question est sombre. Normalement, un cancer du sein se « guérit » 80 % du temps. Mais quand il s’agit d’un cancer du sein inflammatoire, là, le taux de survie à 5 ans diminue à 25-55 % (avec les traitements officiels). Avec en plus une grosseur au bras, les chances doivent encore faiblir.

D’autant plus que son entourage étant composé en partie de médecins (qui sont tous des gens très sympathiques) et qu’elle a confiance en eux, il y a peu de chance qu’elle ait un point de vue critique sur le sujet.

 

Or, même dans le cas où la grosseur au sein serait vraiment tumorale, il n’y aurait aucune raison qu’elle meurt. Même si on reste dans la théorie officielle, dans la mesure où la grosseur au bras n’est clairement pas tumorale, il n’y a que la grosseur au sein qui l’est. En effet, des tests ont été réalisés et, en dehors du bras, aucune métastase n’a été trouvée ailleurs qu’au sein. Donc, il suffit d’enlever le sein et c’est bon. Donc, si la personne meurt, ce sera à cause de la chimiothérapie et de la morphine.

Comme on l’a déjà vu par ailleurs, la séquence fatale est la suivante. La chimiothérapie fait maigrir parce qu’elle est tellement toxique qu’elle supprime l’envie de manger. On donne aussi de la morphine pour supporter la douleur. Ca participe à faire maigrir parce que ça diminue l’envie de manger.

Au bout d’un moment, la personne est très maigre. Elle est également amoindrie par la morphine. Elle est alors déclarée être en état terminal. En effet, à doses élevées, la morphine met dans un état qui ressemble à ça. La personne somnole, ne peut plus se concentrer, parle difficilement, ne peut plus manger seule, ne peux plus se lever.

Et une fois à ce stade, les médecins euthanasient le patient avec 1) des doses massives de morphine, 2) la suppression de l’alimentation et, in fine, 3) la suppression de l’hydratation.

 

4)    Solutions alternatives

 

Si le problème correspond à des caillots sanguins partout, une simple prise d’aspirine pourrait arriver à faire dégonfler aussi bien la grosseur au bras qu’au sein.

S’il s’agit d’un caillot dans le bras, et d’un engorgement du système lymphatique dans le sein, une prise d’aspirine pourrait dégager le bras, et ensuite, un jeûne pourrait permettre de dégager le sein. Ceci, parce que le jeûne permet de diminuer la quantité de déchets circulants dans le système lymphatique. Donc, moins il y a de déchets, plus la zone lymphatique encombrée peut se dégager facilement. C’est pour ça que le jeûne est décrit depuis longtemps comme un moyen de guérir le cancer. Et la médecine officielle semble s’y intéresser désormais.

Arrêter de porter un soutien-gorge peut favoriser aussi le dégagement de la zone, parce que celui-ci la comprime et gène le passage du liquide lymphatique.

Et puis, apparemment, les déodorants contenant de l’aluminium passent dans l’organisme si les aisselles sont rasées. Ça ne doit pas être bon pour le système lymphatique qui est à proximité. Donc, supprimer ces déodorants peut aider également.

Une fois la zone lymphatique dégagée, l’œdème devrait totalement disparaitre et le sein reprendre une taille normale.

Est-ce que le problème peut dégénérer malgré tout ? Oui, c’est possible. Un des pires problèmes qui puisse se présenter, c’est qu’il y ait gangrène du sein. Si les tissus étouffent parce que le canal lymphatique est trop bouché, le sein peut se nécroser et se gangréner (ce qui là-aussi, peut passer pour un cancer). Et le sein entier peut-être perdu. Mais même dans ce cas, il suffit de procéder à l’ablation du sein, comme on le ferait si c’était vraiment une tumeur. Et ensuite, il n’y a rien à faire, pas de chimio, pas de rayon. La personne n’a aucun risque ultérieur de mourir.

Mais, le risque qu’une telle chose arrive doit être extrêmement faible. Normalement, à moins de faire n’importe quoi, les vaisseaux lymphatiques bloqués doivent se déboucher spontanément.

Il est dit dans la littérature officielle que la personne peut mourir d’étouffement. En effet, si le blocage des vaisseaux lymphatiques s’étend, l’œdème peut se propager et atteindre le poumon. Mais ça doit être excessivement rare ; parce que le blocage se situe vers l’avant du sein. Derrière, c’est-à-dire vers les poumons et les épaules, il n’y a pas de blocage. Donc, tout fonctionne à peu près normalement. Et puis, il faudrait que les deux seins soient dans ce cas pour que la personne finisse par mourir à cause du dysfonctionnement des poumons. C’est quasi impossible. Ce qui est probable, c’est que souvent la personne meurt d’étouffement à cause de la morphine. Et on accuse alors le cancer.

 

Au final, cet exemple permet de voir que la forme de cancer du sein la plus impressionnante et la plus convaincante concernant le fait qu’il y ait réellement des tumeurs du sein, n’a probablement généralement rien à voir avec une tumeur.

 

PS : bien sûr, il y a certainement eu une biopsie de faite. Mais, très probablement que si les cellules respirent mal à cause du caillot, les tissus vont avoir un aspect tumoral au microscope. Or, sauf si la tumeur est clairement une excroissance de chair, c’est le seul examen permettant de dire si la grosseur est tumorale ou non. Du coup, rien ne permet de distinguer une tumeur d’un œdème important.

 

Ajout 29 janvier 2015 :

 

Quelques nouvelles concernant la personne

 

Il y a déjà eu 2 séances de chimiothérapie : la première, le 21 décembre, la deuxième, le 8 janvier. Les chimios sont donc espacées de 3 semaines.

La personne a perdu 5 kg durant les 3 premières semaines. Depuis, son poids s’est stabilisé.

La chimio a tendance à donner un gout désagréable aux aliments pendant une semaine ou 10 jours.

Ces informations sont intéressantes. Je me demandais un peu pourquoi une personne sous chimio perdait du poids. Je pensais que le traitement était tellement puissant qu’il provoquait une absence d’appétit, et qu’éventuellement, il dissuadait de manger à cause des nausées et vomissements qu’il pouvait créer.

C’était une explication qui pouvait se tenir. Mais quand même, dans la mesure où la chimio est composée d’analogues d’anti-inflammatoires, ça aurait dû au contraire augmenter l’appétit et la rétention d’eau dans le corps. D’accord on parle de très fortes doses d’équivalents d’anti-inflammatoires (genre de l’aspirine à très forte dose). Donc, peut-être qu’au début, le choc sur le corps est tellement important que ça perturbe l’envie de manger. Mais comme la chimio n’a lieu que toutes les 3 semaines, le choc ne va pas durer très longtemps, une semaine au plus. Et ensuite, avec le taux de cortisol qui est encore élevé, la personne devrait avoir des grosses fringales et faire de la rétention d’eau. Donc, elle devrait reprendre le poids perdu.

Avec ces informations, on peut penser à une explication alternative. Déjà, à cause du gout désagréable des aliments pendant les 7-10 premiers jours qui suivent la chimio, la personne ne va pas avoir envie de manger. Donc, il y a déjà une première source d’amaigrissement. Ensuite, comme chaque chimio est espacée de 3 semaines et ne dure qu’une journée, ce qui doit se passer, c’est que le taux de cortisol doit s’effondrer au bout de 7-10 jours. Du coup, à cause de ce taux de cortisol bas, la personne ne va plus avoir envie de manger et va perdre du poids. Et comme ça va aboutir à une vidange de l’eau accumulée dans le corps, la personne va perdre du poids aussi de cette façon-là. Du coup, ce serait surtout à cause de la modification du gout, puis ensuite, de la baisse du taux de cortisol que les personnes sous chimio perdraient du poids (même si le choc induit par la chimio peut jouer un rôle).

Le problème, c’est que si le poids semble pouvoir se stabiliser, il semble que ce soit plus difficile pour lui de remonter ; ce qui est normal, vu les problèmes de gout et de taux de cortisol évoqués au paragraphe précédent. Donc, si, au mieux, le poids ne peut que se stabiliser pendant certaines périodes, au final, il va forcément diminuer. Sauf s’il n’y a perte de poids à aucun moment ; mais c’est peu probable. Donc, s’il y a 8 ou 9 séances de chimio, la personne peut perdre 10 ou 15 kg au final. Et c’est sournois, parce que comme ça va se faire de façon plutôt discontinue et peut-être sur une minorité de séance, la personne va se dire que ça n’est tout simplement pas de chance quand ça arrive.

Sinon, comme on l’en avait prévenue, elle perd ses cheveux en masse et doit désormais mettre une perruque.

 

  • Evolution de la tumeur

Un autre élément intéressant est l’évolution de la tumeur. Celle-ci a complètement disparu. Elle avait commencé à diminuer après la première chimio. Et là, fin janvier, il n’y a plus aucune grosseur. Même le ganglion qui était gonflé depuis le mois d’octobre, avant l’apparition de la grosseur ne l’est plus. Tout ça va exactement dans le sens de ce que j’avais dit lors de l’écriture du présent article. En réalité, il ne s’agissait que d’un œdème, probablement lié à une vaccination contre la grippe. Et comme l’engorgement local du système lymphatique ne devait pas être trop important, la zone a dû se débloquer rapidement, faisant ainsi disparaitre l’œdème (et même le ganglion initialement gonflé). Le fait que la personne ait perdu du poids a certainement du aider à ce que le désengorgement se fasse.

Croyez-vous que pour les médecins, ça signifie la fin du cancer ? On pourrait se dire que normalement, ça devrait être le cas.

Eh bien non. Dans la mesure où cette zone a été considérée comme cancéreuse, même s’il y a disparition de la grosseur et du gonflement des ganglions attenant, dans l’esprit des médecins, ça reste cancéreux. Surtout que des ganglions cancéreux ont apparemment été détectés ailleurs lors de la phase de diagnostic (début décembre 2014). Donc, peu importe qu’ils aient dégonflé (même si les médecins trouvent ça très positif bien sûr), les médecins considèrent qu’elle a toujours un cancer. Et donc, ils vont mener la chimiothérapie jusqu’à son terme. Et ensuite, selon les dires de la personne, ils vont très certainement procéder à l’ablation du sein. En effet, comme le cancer a été considéré au départ comme assez infiltré (c’est-à-dire, que beaucoup de ganglions à proximité de la tumeur étaient considérés comme cancéreux), et qu’on reste sur ce diagnostic malgré la disparition de la grosseur, on va faire comme s’il ne s’était rien passé et on va tout enlever (et pas seulement ce qui serait encore douteux à ce moment-là). Et non seulement ça, mais ils pourraient enlever une grosse partie de la chaine ganglionnaire située encore un peu plus loin, par précaution.

Et on ne parle évidemment pas du fait que la disparition rapide de la grosseur pourrait signifier pour les médecins qu’ils se soient trompés sur le diagnostic. Parce que, comment une grosseur constituée de chair pourrait-elle disparaitre aussi rapidement (ou même disparaitre tout court) ? Une fois la chair crée, normalement, c’est définitif. S’il y a disparition de l’excroissance, c’est forcément qu’à la base, c’était essentiellement constitué d’eau et qu’il s’agissait simplement d’un œdème. Mais évidemment, ils n’y pensent même pas. Pour eux, une erreur de diagnostic est impossible. Et ils n’ont aucun problème à statuer que la disparition de la supposée tumeur vient de la réussite d’une seule séance de chimio.

Alors, d’accord, pour la chimiothérapie, on pourrait dire qu’il y a des ganglions ailleurs dans le corps qui pourraient être encore cancéreux. Donc, à cause de ça, la chimiothérapie pourrait continuer à être justifiée (et encore, elle devrait être adaptée à l’évolution constatée). Mais ça n’est pas le cas de la chirurgie. Dans le sein, apparemment, tout a disparu. Et pourtant, on envisage quand même encore de réaliser l’ablation entière de ce dernier.

Donc, tout ça est intéressant. Ça veut dire que même si une grosseur disparait complètement, ainsi que le gonflement de tous les ganglions à proximité, le diagnostic de cancer demeure et le traitement également. On ne dira pas que le cancer a guéri, ou au minimum qu’il est beaucoup moins grave que prévu. Donc, peu importe qu’il n’y ait plus rien, le traitement ira jusqu’à son terme quoi qu’il arrive.

Il faudra qu’il n’y ait plus de grosseur ET que le traitement soit allé jusqu’à son terme pour qu’on dise qu’il n’y a plus de cancer. Tant que le traitement n’a pas été terminé on dit qu’il y en a toujours un. Il n’y aura rien de changé entre le début du traitement et la fin (la tumeur ayant disparu dès le départ). Mais on dira qu’il n’y a plus de cancer qu’à ce moment-là. Fabuleux, non ?

 

Ajout du 15 juillet 2015 :

 

La dernière chimio a eu lieu en juin (9 au total). J’estime le poids perdu à environ 15 kilos. C’est environ le poids que la personne avait en trop (elle est donc plus ou moins à son poids de forme). On peut imaginer ce qui se serait passé si cette quantité avait été perdue chez une personne n’étant pas en surpoids.

On peut également imaginer ce qui se serait passé si la chimio avait été plus longue. En effet, on lit ici que « La durée totale d’une chimiothérapie est variable. Généralement, elle est d’au moins 3 à 4 mois. Elle est parfois beaucoup plus longue« . Dans ce cas, la personne serait passée au-dessous de son poids de forme et les problèmes auraient pu commencer à arriver.

Des chimios, beaucoup moins fortes (suppression du Taxotère, maintien, je crois de l’Herceptin et du Perjeta) vont continuer à être administrées toutes les 3 semaines. La première de ce genre l’a déjà été. Du coup, avec la suppression des médicaments les plus agressifs, le gout et les cheveux sont revenus, et les douleurs musculaires également. Ces chimios « light » vont apparemment durer plusieurs années.

Il y a eu ablation d’un des seins en juillet. Les ganglions des deux seins ont été curetés jusqu’à assez haut dans les épaules (on a cureté le deuxième sein à cause de l’œdème qu’il y avait eu au bras, œdème que je pense avoir été causé par la vaccination contre la grippe). L’opération s’est très bien passée. Il n’y avait pratiquement pas de douleurs (donc, pas besoin de morphine). La personne est revenue chez elle après 2 jours. Son état général est tout à fait satisfaisant, compte-tenu des traitements qu’elle a subit.

Des séances de rayons auront lieu en septembre ou octobre.

La chance, pour l’instant, c’est qu’aucune métastase n’a été détectée ailleurs. Dans la mesure où ça n’est que local, ça évite que des traitements extrêmement lourds continuent à être pris.

 

 

25 réflexions sur « Cas de cancer du sein foudroyant »

  1. Salut Aixur,

    Imaginons que l’injection du vaccin s’est faite sur le bras gauche. Quelle est donc la relation entre la grosseur au bras gauche et celle du sein droit ? Je veux dire, comment l’effet s’est-il répercuté du côté droit ? c’est nerveux ?

    Même chose pour la première explication,
    à moins qu’il y ait deux caillots ?

    J’aime beaucoup ton approche en général sur ton blog mais je ne comprends pas pourquoi tu te limites à la mécanique du corps. J’me dis que si tu cherchais outre ce qui est visible tu pourrais aller bien plus loin.

    L’œdème apparaît suite à un traumatisme et son rôle est d’amener les éléments nécessaires à la réparation des tissus. Comment peux-tu être certain que le traumatisme dans son bras et dans son sein est de cause mécanique seulement (caillot, vaccin) ?

    Que connais-tu de sa vie personnelle ?
    Que s’est-il passé dans son foyer ?
    A t-elle des enfants ?

    Mémémé, que de questions …

  2. Salut Agrathor,

    La réponse est dans le texte. Je parle de la possibilité qu’il y ait eu 2 caillots.

    « Dans les deux cas, le mécanisme conduisant à la grosseur au sein serait la même que dans le cas où il n’y aurait pas eu de vaccin. Soit un deuxième caillot sanguin serait allé boucher une veine au niveau du sein, soit la zone lymphatique déjà un peu engorgée au niveau du sein l’aurait été largement plus à cause d’une surcharge générale du système lymphatique causée par l’engorgement au niveau du bras. »

    Sinon, je ne crois pas aux théories de Hamer (puisque je suppose que c’est lui que tu évoques). Ça me parait beaucoup trop facile comme explication. Tu peux toujours trouver une raison psychologique à chaque cas. Vu que les cancers arrivent à des personnes plutôt âgées, tu trouveras toujours des accidents de la vie, des relations conflictuelles qui pourront expliquer le cancer.

    Et puis, à l’inverse, il y a plein de gens qui ont eu des problèmes similaires à d’autres, mais qui eux n’ont pas développé de cancer. Alors, on va dire « oui, mais ils ont géré le problème différemment ». Oui, mais bon, ça rend la théorie peu convaincante.

    Et comme par hasard, il ne semble pas qu’il remette en cause le diagnostic (chose que je fais, c’est même la base essentielle de mes théories sur le sujet). Ça mène à quoi, vis à vis de gens qui croient à ses théories ? Eh bien au fait qu’ils vont avoir tendance à mixer le traitement officiel et le traitement psychologique à la Hamer. Donc, aucun danger pour la médecine officielle.

    Bien sûr, probablement que Hamer a conseillé à ses patients de ne pas suivre le traitement officiel. Mais sans Hamer, ce qui va se passer, c’est que ceux-ci vont mixer les deux. Au final, on a une situation qui ne gène pas du tout l’orthodoxie, qui est que les patients prennent sagement leur traitement allopathique, tout en cherchant par ailleurs à résoudre leurs « conflits ». En faisant ça, les patients se croient raisonnables et pensent prendre le meilleurs des deux mondes.

    C’est vrai qu’il critique la chimio et les rayons. Mais, je ne sais pas combien il s’est étendu sur le sujet. Et surtout, là encore, sans le « maitre » pour les orienter, les patients vont avoir tendance à mixer le traitement classique et le traitement à la Hamer.

    Par ailleurs, comme par hasard, il a fait des déclarations conspirationnistes contre les juifs à propos des traitements allopathiques. Il dirait que  » la chimiothérapie et la morphine seraient utilisées par une conspiration juive dans l’objectif d’un génocide de la population non juive ». Il dirait également que les juifs utilisent son traitement en secret tout en tuant les non-juifs avec les traitements classiques. Du coup, c’est le bon moyen de faire en sorte que les gens lambda se dissocient de ses propos sur ce point particulier et continuent à prendre la chimio.

    Surtout qu’il n’a jamais été très persévérant dans ses critiques. Si c’était un vrai conspirationnistes envers les juifs, il aurait plus écrit que ça sur le sujet (et d’autant plus qu’il est concerné au premier chef selon lui). Là non, juste 2 ou 3 déclarations et c’est tout. Juste assez pour qu’on le considère comme un excité et qu’on ne le suive pas sur le sujet des traitements, et pas assez pour convaincre de son propos. Ben voyons.

    Surtout que concernant ce sujet, ça parait quand même relativement absurde. Si les juifs ont attendu Hamer pour comprendre que la chimio est mortelle, ça veut dire qu’avant, ils pensaient que c’était une bonne thérapie. Donc, avant, ils pensaient soigner les gens (juifs et non-juifs). Mais après l’introduction de la théorie de Hamer, changement soudain de stratégie, ils se seraient mis à tuer les non juifs tout en préservant les juifs. Pas très crédible.

    Donc, pour moi, ces déclarations de Hamer ont probablement été faites exprès pour faire en sorte que les gens ne le suivent pas concernant la chimiothérapie et finissent par mixer la chimio et la théorie de Hamer. Et je pense donc qu’il est bien possible qu’Hamer soit un agent.

    Comme par hasard, ses théories rejoignent les théories médicales new-ages, qui datent, là-encore, comme par hasard, de la même époque (années 80) ; et qui se sont toutes affadies avec le temps pour aboutir à un mélange entre la pratique officielle et la pratique dissidente. Ce qui va parfaitement dans le sens des intérêts de la médecine officielle.

    C’est vrai qu’il a fait de la prison, ce qui semble exclure la possibilité qu’il soit un agent. Mais, on sait que quand quelqu’un est un agent, on peut faire croire aux gens qu’il est en prison pour renforcer sa crédibilité alors qu’en réalité, il n’y est pas. Donc, pour moi, l’épisode prison n’est pas suffisant pour me convaincre qu’il est bien ce qu’il prétend être.

    Donc, non seulement ses théories me semblent bidon, mais en plus j’ai de gros doutes sur le fait qu’il soit un agent mis en place pour orienter les gens vers des théories de type new-age (psychologisantes) tout en les poussant subrepticement à toujours utiliser les traitements conventionnels.

  3. Autre chose qui me fait penser qu’Hamer serait un agent : il a reçu beaucoup de publicité de la part des journaux officiels ainsi que des journaux de médecine alternative, dont on sait qu’une large majorité sont en fait des gatekeepers payés par le pouvoir en place pour orienter les gens vers des fausses pistes ou de la dissidence light.

    Est-ce qu’on parle de mon blog, ou du forum http://benzo.forumactif.org/ du gars qui a le pseudo Michel ? Bien sûr que non. La stratégie du pouvoir en place est de ne faire aucune publicité. Ainsi, les blogs en question gardent une audience totalement anecdotique. Et c’est valable pour beaucoup d’autres blogs qui développent des théories intéressantes.

    Et si on ne parle pas de ces gens, c’est tout simplement parce qu’eux sont des dissidents réels, pas des agents.

    Donc, qu’Hamer ait été aussi connu aussi rapidement, et qu’il y ait eu un mouvement d’enthousiasme pour lui aussi important et soutenu par des journaux pseudo-dissidents laisse à penser que c’est un agent.

  4. Voilà, Ryke Hamer est mort il y a quelques jours. Maintenant, on va très probablement passer au deuxième étage de la fusée, à la deuxième phase du projet Hamer : l’affadissement de ses théories par des successeurs beaucoup plus modérés.

    Comme je l’ai dit plus haut, ceux-ci vont certainement ne plus préconiser d’arrêter la chimio. Du coup, ceux qui croient en la théorie de Hamer mixeront chimio et traitement de Hamer. Ce qui donnera une fois de plus une dissidence ultra-light, qui ne posera aucun problème à l’industrie pharmaceutique et médicale.

    Ça donnera la même chose que ce qui s’est passé avec ceux qui préconisaient des cures de vitamine C (ou autres vitamines et compléments) dans les années 80. Au début, ils étaient très radicaux et préconisaient de supprimer la chimio. Puis, vers la fin des années 80, début des années 90, leur discours est tout d’un coup devenu beaucoup plus modéré. Ils ont retiré l’idée d’arrêter la chimio. Et soudainement, alors qu’ils étaient le diable pour l’orthodoxie médicale, ils sont devenus totalement fréquentables. Leurs traitements étaient devenus un complément « intéressant » à la chimio. Les deux camps s’entendaient d’un seul coup comme larrons en foire. Finies les accusations systématiques d’appartenance à des sectes, finis les termes de « gourou », de « charlatans », de « nébuleuse », de « pseudo-médecine », etc.., on parlait désormais de « médecines alternatives », voire de « médecines douces », de « naturopathes » bien sûr dans un sens tout à fait positif.

    J’avais pensé après-coup que les dissidents avaient capitulé en rase-campagne pour gagner de la reconnaissance et se faire du fric (l’industrie pharmaceutique se partageant, elle, une très grosse part du gâteau en vendant des vitamines et autres compléments). Mais en fait, maintenant, je pense qu’il est fort possible qu’eux aussi étaient des agents d’influence à la base. Le pouvoir en place aime contrôler les deux côtés lorsqu’un domaine fait controverse : le côté officiel et le côté dissident.

    Vu que les théories de Hamer sont quand même assez éloignées de ce que préconise l’orthodoxie médicale, je ne pense pas que celle-ci en fera la promotion, comme elle s’est mise à faire celle des vitamines et quelques autres trucs dans le genre (compléments style magnésium, zinc, spiruline, etc..). Mais elle se mettra à les tolérer. Elle les considérera de façon plus ou moins condescendante, comme elle le fait actuellement pour l’acuponcture, mais elle ne tirera plus dessus à boulets rouges. Ses partisans ne seront plus des gourous charlatans nazis, mais des « naturopathes holistiques ».

    Sinon, vu que Hamer était très probablement un agent d’influence, il est possible qu’il ne soit pas vraiment mort, mais qu’il ait été simplement retiré du jeu.

  5. Effectivement la cause psychosomatique n’est pas suffisante même si elle peut jouer un rôle dans le développement des tumeurs.
    Car on pourrait aussi évoquer le somato psychique, c’est à dire l’influence du corps sur le psychique.

    Par mon expérience personnelle j’ai constaté que le jeûne baisse radicalement la libido et apaise très rapidement le mental. Il peut conduire à une certaine sérénité.
    Cependant bien que le corps influence le mental, un mental agité entraînera à son tour un mauvais comportement alimentaire. On peut véritablement dire que la faiblesse de l’un nourri la faiblesse de l’autre ! De même comme vous le disiez certains médicaments apportent des modifications importantes du psychique.

    Les chemins qui me semblent viables aujourd’hui sont le jeûne, suivit d’un régime alimentaire et d’un mode de vie approprié. Jeûne, alimentation, respiration en pleine air, activité physique modérée et travail mental comme la médiation. Je dirais même que le combo jeûne, alimentation et méditation sont largement plus efficace que chimiothérapie, chirurgie et radiothérapie.
    Voir les travaux de Shelton et de Mosseri. La cure Gerson me semble aussi convaincante.

    Cependant le bruit commence à courir sur l’efficacité du jeûne contre le cancer. Et on voit que la médecine qui désignait cette pratique comme sectaire et dangereuse, se voit la prescrire en association avec une chimiothérapie. Or nous savons que le jeûne permet l’autolyse des tumeurs sur des périodes minimums de 3 semaines.
    Et la la médecine officielle vient prétendre qu’une telle durée est suicidaire pour les cas de cancer. Il recommande maximum des jeûnes de 3 jours couplés à la chimiothérapie. Donc autant dire que ce jeûne à juste pour but de permettre à l’organisme d’encaisser la toxicité du traitement ( et encore ). Donc nous constatons que la médecine officielle ne peut plus nier les bienfaits du cancer mais elle continue à le sous estimer et à mettre en garde les fous qui voudraient faire un jeûne trop long. On ne sait jamais ca serait bête que le patient trouve la guerison.

    Plusieurs personnes témoignent aujourd’hui de la résorption totale des tumeurs suite à de longs jeûne. Ou parfois le jeûne permet de réduire considérablement la tumeur et par la suite l’alimentation adaptée permettra de finir le travail.
    Dans le cas d’une approche uniquement alimentaire, le processus est beaucoup plus long. Aujourd’hui il n y a pas plus efficace que le jeûne pour provoquer l’autolyse des tumeurs.

    Le docteur Shelton dénonçait lui aussi à son époque les fils de la médecine officielle et la peur qu’elle véhicule pour neutraliser totalement le libre arbitre du patient. Le patient tétanisé par le diagnostic s’abandonne au corps médical et finit par en perdre la vie.
    Alors que lui affirmait que déjà il y avait beaucoup de faux diagnostics de cancer et ensuite pour un cas de cancer authentique le patient pouvait vivre longtemps simplement en adaptant son mode de vie. Il disait tout de même qu’il y avait des limites à l’autolyse. Mais que parfois une diminution de la tumeur suffisait à la disparition des douleurs et permettait de retrouver une vie normale. Par la suite il est possible de refaire plusieurs jeûne en alternance avec une alimentation saine. A savoir que pour jeûner il faut tout de même disposer d’une réserve de graisse suffisante.

  6. Correction dans mon ancien message « les bienfaits du jeûne » et non « les bienfaits du cancer » et « les failles de la médecine » et non « les fils de la médecine ». J’écris avec un téléphone donc correcteur automatique.

    Et petite précision sur Hamer.
    Personne n’évoque les échecs de sa thérapie sur plusieurs personnes.

    Il y a aussi certaines contradictions dans son approche.
    Par exemple il dit que ce n’est pas la cigarette qui serait la cause du cancer du poumon mais plutôt un conflit sur la peur de mourir. Donc il fait totalement abstraction de la toxicité de la cigarette. Pour lui le cancer n’est pas lié à l’environnement ou à la toxicité des produits que nous consommons mais bien à un conflit psychique.
    Cependant il est en même temps capable d’affirmer que la chimiothérapie et radiothérapie sont destructrices et que les juifs les réservent seulement pour les goy.
    Donc lui qui met tout sur le compte du psychosomatique valide indirectement que certains composés sont peuvent intoxiquer le corps et le tuer. Donc une chimio intoxiqué mais pas le goudron de la cigarette.

    Je vous rejoins aussi sur le fait que certains sont en train d’allier sa théorie avec la médecine officielle.
    Comme le docteur Alain scohy ! Qui mélange plusieurs approches assez farfelues. Il reprend les théories d’amertume tout en préconisant des hautes doses de vitamines C et en même temps passer par la chirurgie en cas de tumeurs trop importantes. Il parle même de manger du sucre pure comme des bonbons pour activer le processus des microzymas.
    Donc pour lui le cancer a bien pour cause un conflit, mais néanmoins il faut prendre des hautes doses de vitamine C pour apaiser et diminuer les tumeurs le temps que l’on puisse résoudre son conflit. Mais si jamais la tumeurs est importante passez par la case chirurgicale. Donc on comprends bien que se monsieur surf un peu sur ces courants neo-dissident.

    Il y a aussi des nathuropate qui ne se mouille pas je penses à Robert Masson.
    Qui prône les bienfaits du jeûne en disant qu’à l’époque les juifs dans les camps de concentration guerissaient de leur cancer par une restriction alimentaire sévère. Mais devant les médias il dit la nathuropatie ne soigne pas mais sert à accompagner les traitements comme la chimiothérapie etc…
    Même si le jeûne appartient à l’hygiénisme, monsieur Masson connaît parfaitement la puissance curative de ce traitement mais se range du côté de la pensée dominante. Étrange ?

  7. « Donc une chimio intoxique mais pas le goudron de la cigarette. »

    Complètement d’accord avec vous sur cette contradiction.

    Concernant ses échecs, si c’était un agent du pouvoir, peut-être que ce sont des personnes et des cas inventés, pour que mieux pouvoir continuer à ostraciser les dissidents de la médecine et faire en sorte que le troupeau continue à croire dans « la bonne théorie » (c’est à dire la théorie officielle). Tout ça en ne risquant pas de s’aliéner ses partisans, puisque totalement acquis à sa cause.

    Mais si ça n’était pas le cas, ça ne prouverait pas grand-chose contre lui par contre. Parce que comme le diagnostic se fait à la tête du client, il est facile pour un médecin de dire à partir du moindre petit symptôme que le cancer s’est généralisé. Vu que l’imagerie permet d’inventer des tonnes de faux positifs, et la biopsie aussi, c’est un jeu d’enfant pour eux de faire ça. Et évidemment, si le médecin sait que la personne n’a pas pris ses traitements et a été suivie par un médecin dissident, il va être d’autant plus enclin à poser un diagnostic d’aggravation ou de récidive du cancer. Et souvent, il va poser immédiatement ou rapidement un diagnostic de phase terminale. Et ça, ça permet au médecin de tuer le patient (via le triptyque : morphine à hautes doses, arrêt de l’alimentation et arrêt de l’hydratation).

    Sinon, pour Scohy je pense aussi que c’est un agent. Dès que je l’ai découvert, en 2002, je l’ai trouvé assez louche. Le fait qu’il ne dévoilait pratiquement rien de ses théories par Internet, mais uniquement via des livres me semblait très bizarre. Quand on a des théories aussi révolutionnaires qu’elles l’étaient à l’époque (moins maintenant avec le développement de la dissidence médicale), on a envie de les partager avec le monde entier. Donc, même s’il avait le problème de gagner sa croute (mais apparemment, il la gagne surtout en faisant des consultations), il aurait dû publier un bon nombre d’articles gratuits. Mais il ne l’a pas fait à l’époque (et encore maintenant, il n’a pas publié grand-chose de gratuit sur Internet).

    Et comme Hamer, il a été connu assez rapidement dans les revues et milieux de la médecine pseudo-dissidente. Ce qui fait s’agiter un « red flag » comme disent les anglais.

    Je ne savais pas qu’il préconisait de manger du sucre. Par contre, je savais qu’il reprenait les théories de Hamer et qu’il préconisait aussi de prendre des méga-doses de vitamine C. Et effectivement, c’est contradictoire. Bien sûr, on peut être indulgent et penser qu’il essaye de concilier le meilleur des diverses approches sur le sujet. Mais, comme vous, j’en reste à l’idée que c’est tout à fait contradictoire et qu’il mange à tous les râteliers.

    Par ailleurs, j’ai vu une de ses vidéos il y a quelques mois. Et j’ai appris qu’il avait carrément capitulé en rase campagne à propos des vaccins. Maintenant, il dit que c’est utile et qu’il faut se faire vacciner. Et ça à l’heure ou la contestation contre les vaccins prend de l’ampleur et alors que ça fait des années qu’on a accès à des documents montrant que les taux de mortalités de plein de maladies avaient diminué bien avant l’introduction du vaccin. Et alors que lui-même avait écrit en 2004 « Il n’existe donc pas de guerre bactérienne et le système immunitaire n’est qu’un banal service d’éboueurs pour l’évacuation des corps étrangers et des toxines ». Incroyable. Ce genre de changement d’opinion à 180° montre clairement que c’est un agent d’influence. Et comme un agent, il affadit son discours après un certain temps, histoire de ramener les moutons dans le droit chemin et de les faire arriver à une dissidence light.

    Je ne connaissais pas Robert Masson. Mais tel que vous me le décrivez, c’est clairement un agent d’influence aussi.

  8. Oui j’ai également constaté que mr Schohy a retourné sa veste au sujet de la vaccination.
    Il prétendait aussi soigner les autistes avec le bruit d’un moulin à café.
    Tout comme vous je n’accorde que très peu de crédit au théorie psychosomatique.

    Robert Masson dit des choses plutôt cohérente sur le fonctionnement de l’organisme et l’apparition des tumeurs. Mais il ne veut pas se mouiller en prenant position sur l’efficacité des thérapies alternatives efficaces. Alors qui sait pertinemment leur efficacité thérapeutique. Je penses que ce monsieur se range du côté obscur pour garder sa position de nathuropate reconnu et surtout son confort matériel. Car son petit commerce fonctionne bien ! Je ne sais pas si il fait encore des consultations mais il avait un magasin bio et son cabinet juste en haut. Après consultation il donnait bien sûr une « ordonnance » pour acheter les produits dans son magasin.
    Donc valider les traitements ultra toxiques de la chimiothérapie et ensuite dire que les causes des maladies provient des toxines et des carences alimentaires est assez comique.

    Finalement il y en très peu qui s’oppose à la médecine actuelle.
    En général il faut plutôt chercher du côté des hygiéniste qui comme Shelton s’opposait farouchement à la médecine.
    Il racontait l’histoire d’une femme ou 3 médecins lui donner le diagnostic d’un cancer du sein. Il préconisa à la femme d’entamer un jeûne. Au bout de 3 jours la tumeurs avait disparu. Évidemment des résultats aussi rapides sont exceptionnels mais il prenait cet exemple pour prouver les diagnostics sont souvent faussés.

    Je penses que beaucoup se range du côté de la médecine par conflit d’intérêt. Ils connaissent très bien le sort qui est réservé à celui qui sort du troupeau.
    Au sujet des médecins pourquoi selon vous autant adhère aux théories officiels ? Je suis que parmis de nombreux médecins certains doivent vraiment avoir la volonté de guerir, de comprendre et de trouver des vrais solutions au cancer.

  9. « Les chemins qui me semblent viables aujourd’hui sont le jeûne, suivit d’un régime alimentaire et d’un mode de vie approprié. Jeûne, alimentation, respiration en pleine air, activité physique modérée et travail mental comme la médiation. Je dirais même que le combo jeûne, alimentation et méditation sont largement plus efficace que chimiothérapie, chirurgie et radiothérapie. »

    C’est ce que je pense aussi plus ou moins.

    Cela dit, j’en suis à un stade où je remets tellement en cause la validité du diagnostic que je pense maintenant que 99 % des cancers sont inventés et sont des faux positifs. Donc, j’en viens à considérer le cancer un peu comme une maladie orpheline (bon, peut-être pas aussi rare que ça, mais quand même).

    Donc, finalement, le combat, il est surtout sur le diagnostic et pas tellement sur le traitement.

    Et du coup, je pense que si le jeûne fonctionne, c’est surtout parce que très souvent, on n’a affaire qu’à des engorgements lymphatiques ou sanguins, ou des inflammations. Donc, en ne mangeant pas, on permet à l’organisme de désengorger ces zones beaucoup plus rapidement, ou de s’auto-soigner plus rapidement. Alors qu’en continuant à manger beaucoup, ça prend beaucoup plus de temps (ou ça peut carrément ne pas se faire). Mais du coup, ça veut aussi dire qu’on soigne quelque-chose qui n’était pas si grave au départ.

    Et puis, il y a aussi le fait que l’imagerie du cancer est beaucoup basée sur la présence d’eau. Du coup, en maigrissant, on est moins hydraté et les outils d’imagerie détectent moins d’opacité qui étaient présentes à cause d’un surcroit local d’eau.

    Mais sinon, en cas de vrai cancer, j’ai une théorie sur le rôle du jeûne. Je pense que ça permet au corps de creuser plus rapidement des vaisseaux sanguins dans la tumeur et donc de « normaliser » les tissus en les faisant sortir d’un développement de type bactérie. Alors que si on mange beaucoup, ça se fait moins. Mais bon, ça vaut ce que ça vaut. C’est juste une hypothèse.

  10. « Finalement il y en très peu qui s’oppose à la médecine actuelle.
    En général il faut plutôt chercher du côté des hygiéniste qui comme Shelton s’opposait farouchement à la médecine. »

    Tout à fait. Shelton, c’est un des seuls, si ce n’est le seul qui me semble être vrai. Ce gars était cohérent, logique, de bon sens et observateur. Et je ne crois pas qu’il y ait jamais eu de compromission de sa part.

    Et le mouvement hygiéniste est effectivement à peu près le seul qui m’apparait cohérent et crédible. Après, il semble que dans le mouvement hygiéniste, il y ait divers courants qui ne sont pas tous aussi cohérents et honnêtes. Mais bon…

    Par contre, le problème, c’est que les théories hygiénistes n’ont pas tellement évolué vers plus de remises en cause depuis longtemps. Ça stagne. On a envie que ça aille plus loin. C’est ce que j’essaye de faire ici.

  11. – « Il racontait l’histoire d’une femme ou 3 médecins lui donner le diagnostic d’un cancer du sein. Il préconisa à la femme d’entamer un jeûne. Au bout de 3 jours la tumeurs avait disparu. Évidemment des résultats aussi rapides sont exceptionnels mais il prenait cet exemple pour prouver les diagnostics sont souvent faussés. »

    Peut-être pas si exceptionnels. Vu que beaucoup de cas sont liés à des inflammations ou des engorgements lymphatique ou sanguin, ça peut disparaitre assez vite avec un jeûne. 3 jours, c’est vrai que c’est rapide. Mais c’est possible si la grosseur n’était pas très importante.

    Dans le cas d’une de mes connaissances qui s’est fait diagnostiquer un cancer du sein foudroyant, une boule était apparue et avait grossi jusqu’à 11 cm en 8/10 jours. Mais elle avait disparu dans les 15 jours suivants. C’était en fait parce qu’il ne s’agissait certainement que d’un engorgement lymphatique ou sanguin. Peut-être qu’avec un jeûne, ça aurait disparu encore plus rapidement (peut-être pas 3 jours, mais une semaine).

  12. 99% des cancers, cela me semble énorme ! Comment établissez vous ce constat ?
    J’ai déjà eu cette intuition que le diagnostic du cancer pouvait finalement être factice. De la même manière que le VIH est responsable du SIDA.
    L’épouvantail qui vous pousse à suivre un traitement qui vous tuera et on dira il est mort car son cancer était devenu très agressif.

    Shelton faisait tout de même la différence entre tumeurs et cancer.
    Même si il affirmait que les cas de cancer était assez rare, car finalement beaucoup de diagnostics de cancer etaient faux. Il admettait tout de même l’existence du processus cancéreux mais néanmoins il ne lui attribuait pas la fatalité que les médecins lui attribuent. Ils disaient que l’on pouvait vivre de nombreuses années avec un cancer si le mode vie était adapté à celui ci.
    Mais votre point de vue est intéressant et vos arguments tiennent la route.

    Pour le jeûne le principe de destruction des tumeurs est l’autolyse.
    Le corps n’étant plus alimenté de l’extérieur, il va donc devoir vivre sur ses propres réserves. La première phase est la consommation de glucide qui dure 1 jour. De 3 à 5 jours le corps va entrer dans la phase de neoglucogenèse et ensuite il sera dans la phase de lipolyse. Mais même en lipolyse l’organisme continue à consommer une partie de ses protéines et donc de ses tissus. Mais le corps est intelligent il consommera en priorité les tissus les moins importants.
    Le jeûne permet aussi la détoxication en laissant le système digestif au repos et en laissant toute l’énergie vitale aux émonctoires.

    Personnellement je me demande comment peut il y avoir autant de faux diagnostics avec les outils modernes utilisés. Comme le pet scan, scanner, biopsie et marqueurs tumoraux.
    C’est pour ces raisons que votre blog m’intéresse, car je ne connais pas le fonctionnement et la fiabilité de ses outils.
    Pour les marqueurs tumoraux sont ils fiables, que permettent ils de mettre en évidence ?

  13. Et oui effectivement il fort possible que la régression très rapide de certaines « tumeurs » suite à un jeûne soit en vérité le résultat d’un simple engorgement.
    Shelton disait aussi que nombres d’excroissances peuvent êtres dû à autres choses qu’une tumeur.

    Mais c’est vrai que le gonflement d’un ganglion est toujours très impressionnant. Alors qu’il peu s’agir du système lymphatique complètement saturé.
    Alors que la médecine officielle dit qu’un ganglion suspect se situe entre 1 et 2 cm et un ganglion cancéreux au delà de 2 cm.
    Néanmoins certains se retrouvent avec toute la chaîne ganglionnaire gonflée. Certains atteignent même des tailles de 4cm. Et souvent c’est le diagnostic de la maladie de hodgkinien qui tombe.

  14. Oui, 99 % ça peut sembler énorme. Ça me semblait énorme à moi aussi jusqu’à il y a quelques temps. Avant, j’étais plutôt sur une hypothèse conservatrice de 90 % (plus pour certains cancers). Mais, en étudiant le cancer du sein, j’ai découvert de nouvelles sources de faux positifs. J’en ai découvert par ailleurs quelques-unes pour d’autres cancers. Et je me suis dit que pour beaucoup de cancers, il est très facile d’inventer des cas. Donc, j’en suis arrivé à un chiffre d’environ 99 %.

    Mais, pour le moment, moi aussi j’admets qu’il y ait processus tumoral dans certains cas (rares).

    Pour les outils d’imagerie, ce qu’il faut savoir, c’est qu’une majorité (radio, échographie, IRM, scanner) se base en fait sur la présence excessive d’eau à tel ou tel endroit. Or, pour le cancer du sein, il est très facile d’avoir un excès d’eau, au moins relatif, puisque les lobes mammaires sont conçus pour accumuler de l’eau. Et c’est certainement vrai aussi pour de nombreux autres cancers.

    L’IRM et le Pet scan (et le scanner souvent) se basent aussi sur la distribution d’un produit injecté dans le sang. Mais, là-aussi, des processus normaux, ou anormaux mais non cancéreux peuvent expliquer l’accumulation du produit et également sa dynamique de distribution.

    D’ailleurs, en tout cas pour le cancer du sein, l’orthodoxie médicale reconnait que chacun de ces outils d’imagerie entraine de très nombreux faux positifs.

    Pour les marqueurs tumoraux, c’est complètement bidon. Tout ce qui est basé sur des tests d’anticorps est bidon. Ça ne mesure que la concentration sanguine à l’instant T. Et éventuellement la réactivité sanguine à l’anticorps utilisé. Ça n’a aucune spécificité (et ceci, tout simplement parce que le système immunitaire n’existe pas. Il n’y a qu’un système d’égout du corps qui récupère les débris cellulaires qui se collent ensuite aux globules blancs qui sont des particules qui se collent à à peu près tout). Donc, le test PSA pour le cancer de la prostate, par exemple, ne sert à rien.

    Et pour la biopsie, des tissus anormaux mais non cancéreux, ou normaux mais vieillis, et même parfois des tissus normaux peuvent tout à fait passer pour tumoraux. Et par ailleurs, il faut savoir que comme il est en bout de chaine, l’anapath est influencé par les résultats de tous les précédents tests. Et comme ces gens ont une peur panique de passer à côté d’un cancer, ils ont tendance à surdiagnostiquer.

    Le diagnostic qu’on faisait il y a 100 ans devait en inventer une proportion plus ou moins identique (99 % de faux positifs). Mais comme il fallait qu’il y ait des symptômes, on en inventait moins. Aujourd’hui, les techniques modernes permettent d’éviter certaines erreurs (kystes aux seins par exemple) ; mais en ajoutent plein d’autres. Et en plus, désormais, il y a les programmes de dépistage de masse. Donc, on teste largement plus et on invente beaucoup plus de cancers qu’avant. Mais comme le diagnostic a l’air super high-tech, personne ne se doute de rien.

    Et par ailleurs, le côté super perfectionné du diagnostic intimide et du coup, on n’ose pas s’y attaquer. On se dit que c’est peine perdue.

    Et en plus, ça représente une telle somme de travail pour remettre en cause tous ces outils de diagnostic modernes que personne ne s’y attaque. Personnellement, j’ai mis beaucoup de temps avant de me décider à m’y attaquer, et ça m’a pris un temps fou (presque un an) pour y arriver. Je n’ai pas fini, et je suis sûr que pour les techniques que j’ai déjà analysées, il y a des choses que je n’ai pas vues. C’est pour ça que jusqu’ici, les dissidents en sont restés à une remise en cause très limitée de la validité du diagnostic du cancer.

  15. C’est vraiment très intéressant ! Et c’est un sacré boulot que vous effectuez.

    Donc par exemple si on aperçoit sur l’imagerie d’un nodule aux poumons.
    Je suppose que le médecin demande certainement une biopsie et ne valide pas directement un cancer ?
    Si la biopsie se révèle positive, on est dirigé vers un oncologue qui va enclencher le traitement.
    Mais si cette biopsie peut être positive sur un tissu sain alors on vous envoi massivement un traitement ultra toxique pour rien.
    Une bronchite peut elle créer une sorte d’œdème qui pourrait passer à l’imagerie comme un nodule ? Si oui ça fait peur !

    Par contre sur le système immunitaire qui n’existe pas vous m’apprenez quelque chose.
    Car on sait par exemple que la prise massive d’antibiotique ou les chimiothérapies conduisent à une baisse de l’immunité et à des infections à répétitions. Comment expliquez vous cela si l’immunité n’existe pas ?

  16. Désolé de vous sollicitez autant mais c’est important pour moi de comprendre et peut être je l’espère pouvoir informer d’autres personnes autour de moi pour ne pas qu’ils passent à l’abattoir.

    Je sais que les cancérologues établissent le grade des cancers en fonction de la localisation.
    Si la tumeur reste locale grade 1, si elle touche les tissus à proximité grade 2, si elle se développe au système lymphatique stade 3 et si il y a métastase stade 4. Corrigez moi si je me trompe.

    Ce que j’aimerais comprendre c’est comment arrivent ils à donner un taux de survie selon le stade ?
    Pourquoi un stade 3 serait plus meurtrier qu’un stade 1 si finalement il n y a pas de tumeur et dangerosité ?
    Vous me direz le traitement n’est pas le même en stade 1 que en stade 3, donc espérance de vie en hausse.
    Mais dans ce cas pourquoi une cancer du pancréas stade 4 est plus meurtrier qu’un lymphome stade 4 ?
    Dans les 2 cas ils y aura un traitement de cheval. Pourquoi les faux diagnostics de lymphome sont moins meurtrier que les faux diagnostics du pancréas ?

    Je voulais aussi vous parler du cas de Serge Lemaille qui suite a des saignements dans les urines est allez consulter.
    La biopsie lui annonce un cancer de la vessie infiltrant donc stade 3.
    On lui propose l’ablation de la vessie et la pause d’une prothèse.

    Il refuse tout traitement et se lance dans un jeune, au bout de 12 jours les urines redeviennent normales et il continu jusqu’au son abstinence 52 eme jour.
    Suite à ce jeune la biopsie ne révèle plus de cellules cancéreuses et l’échographie révèle une absence de tumeur, il ne reste que du tissu cicatriciel.

    Comment interprétez vous cela ?
    Si l’on suppose qu’il n y avait pas de véritable tumeur comment ce fait il qu’il y avait la présence de sang dans les urines ?
    Comment la biopsie peut elle affirmer que le cancer est infiltrant ?
    Et surtout on observe bien une biopsie négative après la disparition des symptômes.

  17. Oui, une bronchite doit permettre ça. Mais ça doit être rare qu’on pose ce genre de diagnostic à partir d’une bronchite chez un individu considéré comme sain par ailleurs. On va plutôt cibler les personnes appartenant à un groupe à risque (fumeurs, personnes âgées, etc…). Donc, ça limite ce genre de cas. Mais s’ils le voulaient, les médecins pourraient facilement multiplier le nombre de cas de cancers du poumon.

    Pour le cancer du poumons, ça va essentiellement concerner des fumeurs. Et ces gens auront très souvent des atteintes réelles aux poumons. Mais la plupart du temps, il ne s’agira pas de tumeur, mais d’inflammation, de nécrose, de cicatrisation mal foutue, etc… Donc, pour le cancer du poumon, ça va être relativement rare qu’on fasse un diagnostic à partir de tissus sains. Mais pour d’autres cancers (comme le sein ou la prostate), ça va arriver fréquemment.

    Pour le système immunitaire et la prise de massive d’antibiotiques ou de chimiothérapie, il faut savoir que ces médicaments (comme tous les médicaments en fait) entrainent des symptômes aussi bien à la prise qu’à l’arrêt. C’est ce dont j’ai pu me rendre compte en étudiant la pharmacologie. Bien sûr, l’orthodoxie médicale ne le dit pas pour la phase d’arrêt. Elle le reconnait pour les opiacés et la cortisone, mais pas pour les antibiotiques et la chimiothérapie.

    Donc, les symptômes à l’arrêt vont être interprétés comme des infections. Et parfois, même les symptômes à la prise vont l’être.

    Parmi les symptômes à l’arrêt, on a des choses comme une baisse d’énergie, des douleurs articulaires, des céphalées, des alternances de diarrhée et constipation au début, puis plutôt des constipations, une toux, etc…

    Pour les symptômes à la prise, on a des œdèmes aux poumons et ailleurs (toutes les parties du corps peuvent être touchées), des diarrhées, des éruptions cutanées plus ou moins sévères, des hépatites, une défaillance rénale, donc aussi des problèmes urinaires, des neuropathies, etc… Ça n’a donc rien à voir avec un soi-disant système immunitaire défaillant. Mais tout ça peut être facilement mis sur le compte d’une infection quelconque (pulmonaire, digestive, etc…) et donc sembler valider la théorie officielle du système immunitaire.

  18. « Pourquoi un stade 3 serait plus meurtrier qu’un stade 1 si finalement il n y a pas de tumeur et dangerosité ? »

    Eh bien parce que les médecins sont ceux qui posent le diagnostic et qui peuvent tuer la personne en fonction de ce dernier. Donc, il sont au départ et à la fin de la chaine.

    En effet, quand les médecins posent un diagnostic de phase terminale, ça leur donne une autorisation de tuer le patient. Et ils le font avec le triptyque « morphine, arrêt de l’alimentation et arrêt de l’hydratation ». Et ils ne pensent pas faire quelque-chose de mal. Ils considèrent qu’ils font quelque-chose de bien en évitant au patient de souffrir mille morts pendant des mois. Donc, ils n’hésitent absolument pas à pratiquer une euthanasie cachée.

    Si c’est un stade 1, les médecins vont facilement considérer que le cancer a été guéri. Donc, ils vont très rarement poser un diagnostic de stade terminal et vont donc moins tuer le patient.

    Si c’est un stade 4, ils vont considérer beaucoup plus rarement que le patient est guéri. Et alors, ils vont poser très souvent un diagnostic de phase terminale et le tuer.

    Par ailleurs, si c’est un stade 4, ils vont donner des traitements plus agressifs qui peuvent tuer directement la personne, ou qui vont aboutir plus rapidement à un diagnostic de phase terminale.

    « Mais dans ce cas pourquoi une cancer du pancréas stade 4 est plus meurtrier qu’un lymphome stade 4 ? »

    Je ne m’étais pas posé la question. Je ne sais pas trop. Mais la différence n’est pas si importante. On tape dans les 75 % de morts à 5 ans pour le lymphome avec plusieurs facteurs de pronostic défavorable. Alors que c’est dans les 95 % pour le cancer du pancréas je crois. Donc, on n’est pas si loin. Mais effectivement, on peut se demander pourquoi, alors que dans les deux cas, il y a métastases éloignées, on a cette différence de mortalité.

    Ah oui. Je crois avoir compris le truc. En fait, le stade 4 recouvre les caractéristiques du stade 3 mais avec en plus des métastases éloignées. Donc, ce qui doit faire la différence, c’est l’atteinte de l’organe. Pour le Lymphome, on peut enlever plusieurs ganglions et éventuellement une partie des tissus les entourant sans tuer la personne. Alors que pour le pancréas, s’il y a une atteinte importante de cet organe, vu qu’il est en exemplaire unique, et qu’il est vitale, on ne peut pas l’enlever complètement.

    Donc, les 20 % en plus, ça doit venir d’un traitement anti-cancéreux plus agressif (puisqu’on ne peut souvent pas opérer la tumeur) et d’une plus grande quantité de diagnostics de phase terminale.

    D’une façon générale, on peut constater que quand on a un organe non vital (sein, prostate), ou un organe vital, mais en double (poumons, reins), ou un organe assez grand et pouvant subir une résection plus ou moins importante (intestins par exemple) donc, des organes qu’on peut enlever en partie ou en totalité sans tuer la personne, le taux de mortalité est faible à moyen. Alors que quand ça touche un organe vital unique de petite taille, là, on ne peut pas le faire et le taux de mortalité est bien plus élevé (à cause des raisons évoquées plus haut). C’est en grande partie ça qui explique les différences de mortalité. Comme les médecins arrivent à enlever la totalité de l’organe touché, forcément, pour eux, la personne ne peut pas mourir de ce cancer (sauf s’il y a atteinte régionale ou générale).

  19. Merci pour ces explications.

    Oui bien sûr c’est logique pour un lymphome ils peuvent retirer une partie des ganglions alors que l’opération est impossible sur le pancréas.
    Donc forcément le traitement est forcément plus lourd, comme les cas de cancer du cerveau ou l’opération est impossible.

    Bien que tout dépend du stade ! Je suppose également que pour un cancer du cerveau ou l’opération est impossible, si il est stade 2 le traitement sera beaucoup moins lourd que si il est stade 4.
    Et effectivement on arrive à constater le même taux de mortalité sur les cancers stade 4 qui ne peuvent subir d’opération. Ce taux est en général de 5 à 10 %

    C’est incroyable ! Il faut finalement raisonner à l’envers…
    Plus le traitement est faible plus les chances de survie sont augmentés et plus il est agressif plus elles diminuent.
    Et le pire c’est que je suis sur que certains médecins pensent bien faire et ne se rendent pas compte qu’ils tuent leur patient. Même si ils connaissent la toxicité du produit ils se disent que la toxicité sera beaucoup moins néfastes que si ils laissaient le cancer suivre son cours.
    Et comme sur le plan éthique il n’est pas admis de faire cela, la prise en charge est automatique et systématique une fois que le diagnostic est tombé. Le médecin ne pourra donc pas avoir l’occasion de voir un cancer suivre son cours.

  20. Cependant je me pose une question.

    Que peut on dire pour les patients qui sont renvoyés chez eux ?
    Souvent on leur dit :  » la tumeur est inopérable et il y a des métastases on ne peut plus rien faire rentrez chez vous, il ne vous reste que quelques mois à vivre ».

    Bon je supposes qu’avant de renvoyer les patients chez eux les médecins ont envoyé plusieurs séances de chimios agressives histoire de le « soulager ».
    Cependant la chimio est elle suffisante pour que la personne meurt quelques mois après ? Car comme vous dites c’est généralement la triptyque qui le tue.

    Je me demande aussi comment ils classent le taux de mortalité chez un stade 1 ou 2. Considèrent t’ils que le patient est mort en stade 2, ou bien que le patient est mort ( en phase terminal ) d’un cancer qui était un stade 2 au préalable.
    Il est aussi probable que le patient soit mort de la chimiothérapie je connais quelques cas comme ça. Mais en général en stade 1 et 2 il n’y a pas forcément de chimio.

    Et je me demande aussi comment par quel moyen considèrent ils un cancer à développement lent ou rapide.
    Un cancer aux poumons est dit qu’il a une progression très rapide et un lymphome indolents a une progression très lente. Basent ils leur diagnostic sur le constat du développement rapide d’une de la tumeur ou bien encore une fois c’est le traitement qui n’est pas le même ?

  21. Pour le cas de Serge Lemaille, il est tout à fait possible qu’il n’ait eu qu’un problème de calcul rénal ou urinaire qui ait provoqué une irritation quelque-part et un saignement. Ensuite, les médecins auraient inventé un cancer (peut-être en prenant pour base l’inflammation, mais ça n’est même pas sûr). Je pense que les calculs rénaux ou urinaires permettent d’inventer beaucoup de maladies (MST, cancers de la vessie, peut-être de la prostate, etc…).

    Cela dit, ça peut venir d’une cause autre qu’un calcul rénal que je ne connais pas encore.

    Puis, son jeûne aurait permis de faire passer le calcul. Et du coup, il n’y aurait plus eu d’inflammation. Si c’est ça qu’on détecté les médecins, il n’y avait donc plus rien à détecter. Si c’est un autre endroit qu’ils avaient identifié comme cancéreux, le jeûne a pu permettre d’assécher la zone et donc de la rendre « normale » aux yeux des instruments d’imagerie.

    Et pour la biopsie, il est possible qu’il ait eu simplement de la chance. Mais il est possible aussi que ça vienne du fait que le jeûne baisse le taux de cortisol et que les cellules absorbent alors moins le colorant HE. Du coup, ça pourrait influencer le résultat de la biopsie à la baisse. Le colorant pénétrant moins dans les cellules, on verrait peut-être moins de mitoses au microscope. Par ailleurs la coloration HE semble avoir une affinité avec les substances acides. Donc, avec le jeûne, comme l’acidité de l’organisme diminue, le colorant pénétrerait moins et donnerait une impression de cellules plus normales.

    – « Et surtout on observe bien une biopsie négative après la disparition des symptômes. »

    Dans ce cas, on a bien eu une biopsie négative suite à la disparition des symptômes. Mais souvent, ça n’est pas le cas, vu que la biopsie se fait en partie à la tête du client (ie. de son dossier médical et de l’imagerie). Sinon, ça serait un peu trop beau et facile. Du coup, dans beaucoup de cas, quelqu’un qui adopte un traitement alternatif va se faire « rattraper » par l’industrie médicale, qui va lui dire grâce à l’imagerie et/ou la biopsie que la tumeur est toujours là, voire qu’elle s’est étendue, et qu’il a été fou de croire en des charlatans.

    – « Comment la biopsie peut elle affirmer que le cancer est infiltrant ? »

    Ça, c’est parce qu’on fait une biopsie a plusieurs endroits à proximité de la tumeur. Donc, si a un endroit qui est situé par exemple à 1 cm de la tumeur principale, on retrouve des tissus cancéreux, on dit que le cancer est infiltrant. Et également, on analyse les ganglions situés à proximité. Donc, là-aussi, si un ganglion est déclaré cancéreux, on va parler de cancer infiltrant et plus de cancer in situ.

  22. J’ai discuté avec une personne du cancer qui me faisait les éloges du traitement officiel. Qu’il permettait de sauver de nombreuses vies et que j’étais presque un assassin d’émettre l’idée que le traitement puisse tuer.

    Donc je lui dis dans ce cas connaissez vous une personne qui n’a reçu aucun traitement et qui est décédée du cancer ?

    Elle me dit que justement oui elle est morte en un an.
    Son mari a refusé le traitement et a préféré la prière. Le cancer qui était au départ de la thyroïde c’est rependu aux poumons et au cerveau.
    Elle ajoute elle a dépéri et elle est morte avec des douleurs atroces, quand son mari enfin a décidé de l’emmener à l’hôpital, mais il était trop tard elle n’a pu recevoir que de la morphine pour la soulager.

    Donc déjà je note certaines incohérences dans son discours.
    Elle me dit qu’elle n’a pas suivie de traitement et qu’à cause de cela elle a dépéri et elle en est morte.
    Mais juste après elle m’annonce qu’elle a tout de même bénéficié de la morphine pour apaiser ses douleurs. Donc déjà elle n’est pas morte sans traitement car elle a reçu de la morphine en fin de vie.

    Deuxième incohérence elle me dit que son mari n’a pas souhaité qu’elle suive un traitement.
    D’accord mais visiblement il y avait tout de même un suivit car on lui annonce des métastases aux poumons et ensuite au cerveau.
    On peut donc se demander si le médecin ne lui a pas prescrit à chaque visite de contrôle des anti inflammatoires assez puissant.
    Dans l’esprit des gens ne pas suivre un traitement veut dire ne pas suivre la radiothérapie, la chimiothérapie et la chirurgie.

    Si elle avait un traitement anti inflammatoire cela peut expliquer l’effet pervers et l’augmentation des douleurs. Mais tout de même cela me semble rapide en 1 an.
    Cela serait encore plus suspect si elle n’a reçu aucun anti inflammatoire.
    Néanmoins on peut constater qu’en bout de file il y a la morphine. Donc je suis dubitatif sur ce cas !

    Quel est votre avis ?

  23. Oui, il y a eu certainement un truc comme ça.

    Soit le médecin lui a donné des anti-inflammatoires puissants qui ont provoqué des problèmes de saignements ou d’œdèmes au cerveau et aux poumons, ce qui a pu aboutir à un diagnostic de métastases à ces deux endroits.

    Soit il lui a donné des anti-inflammatoires moins puissants, mais pas en continu. Du coup, elle développé des maux de têtes (à cause de la vasodilatation liée à l’arrêt) et éventuellement une toux à l’arrêt du traitement, ce qui a pu conduire là-aussi à un diagnostic de métastases.

    Et peut-être aussi qu’elle prenait des traitements avant qu’on ne lui diagnostique son cancer de la thyroïde et que ce sont ces derniers qui ont abouti non seulement au diagnostic de cancer, mais en plus à des symptômes divers au cerveau et aux poumons, et donc ensuite à la « découverte » des métastases.

    Et tout ça expliquerait aussi un dépérissement progressif.

    Mais peut-être que la personne ne prenait pas de médicaments et allait bien pendant la majeure partie de l’année ; puis que pendant une visite de suivi, on lui a trouvé les métastases en question par « hasard ».

    Je met hasard entre guillemets parce que, peut-être que c’était un vrai hasard, mais peut-être pas. Le problème, quand on sort du circuit médical et qu’on a une maladie supposée grave, voire mortelle, c’est que les médecins vont avoir une forte tendance à inventer des problèmes pour que la personne revienne dans le circuit médical officiel, autrement dit, qu’elle se soumette finalement aux médecins.

    En l’occurrence ici, si une personne refuse de prendre le traitement anticancéreux, les médecins vont avoir tendance à « trouver » (en fait inventer) des métastases avec leurs outils de diagnostic (imagerie, biopsie), lors des visites de suivi. Et ce même en l’absence de symptômes. Et s’il y a des symptômes, ça sera encore plus facile. Le moindre pépin de santé sera interprété comme une propagation du cancer initial et aura tendance à être confirmé par l’imagerie et la biopsie.

    Ou enfin, troisième possibilité, elle allait bien pendant la majeure partie de l’année. Puis, elle a eu un problème de santé pas bien grave, mais traité avec des anti-inflammatoires plus ou moins puissants, ou des antibiotiques à plus ou moins haute dose, ce qui a aggravé son état. Voyant que le problème persistait et même s’aggravait, le couple a décidé d’aller à l’hôpital pour voir s’il n’y avait pas propagation du cancer. Ou alors, la visite de suivi a été concomitante à ce problème de santé et le couple en a parlé au médecin assurant le suivi.

    Mais que ce soit l’un ou l’autre, le cancérologue qui la suivait a alors sauté sur l’occasion pour inventer des métastases et probablement une maladie microbienne : par exemple une infection pulmonaire mettant en jeu le pronostic vital à très court terme. A partir de là, le couple aurait succombé à la pression des médecins et aurait accepté que la femme soit hospitalisée.

    Du coup, ils l’auraient traitée à ce moment-là avec des hautes doses d’antibiotiques, qui auraient provoqué des œdèmes et donc des douleurs intenses à certains endroits. Pour calmer la douleur, on lui aurait donné de la morphine. Puis, comme les médecins estimaient qu’elle était en phase terminale, soit ils l’ont tuée avec le triptyque « morphine + arrêt de l’alimentation + arrêt de l’hydratation ». Soit ils l’ont fait en la mettant dans un coma artificiel (on fait ça pour les personnes ayant une infection respiratoire possiblement mortelle) et ensuite ont arrêté les instruments de survie artificielle et ont fait croire au mari que sa femme était morte d’un arrêt respiratoire ou d’une crise cardiaque.

    De toute façon, cette histoire de mort et de douleurs est absurde. Un cancer de la thyroïde peut tuer par étouffement, mais il faudrait que la tumeur ait atteint une sacré taille. Et même là, on peut opérer pour dégager la trachée. Donc, elle n’avait pas vraiment de raisons de mourir à cause de cette supposée tumeur initiale. Par ailleurs, on ne voit pas pourquoi la tumeur de la thyroïde aurait provoqué des douleurs, et encore moins des douleurs atroces. A part l’étouffement, comme ça a tout l’espace disponible pour se développer, une tumeur de la thyroïde n’a pas de raison de provoquer des douleurs atroces.

    Alors, on pourrait dire que ce sont les métastases qui l’ont tuée. Mais on dit qu’un cancer met au minimum 10 ans pour atteindre une taille visible. Donc, on voit mal comment, en un an, des métastases auraient pu atteindre une taille telle qu’elles auraient provoqué la mort de la personne, ou même provoquer des douleurs insupportables.

  24. Il est vrai que nous n’avons pas toutes les composantes en main pour pouvoir se faire un avis, mais plusieurs scénarios sont possibles.

    Sachant que la personne est convaincue de l’efficacité du traitement, elle a tendance à minimiser l’impact des médicament.
    J’ai de nouveau discuté avec elle pour en savoir plus et elle continue de m’affirmer que cette personne n’a jamais rien reçu comme traitement et elle n’a jamais été suivit pour une maladie chronique.
    Je supposes donc que cette personne avait une santé parfaite et n’a jamais reçu aucun traitement de sa vie. C’est un peu gros vous en conviendrez !
    Sachant que cette personne a un esprit totalement hermétique aux médecines alternatives. Je lui ai proposé au moins de lire le livre de Shelton sur le jeune en format pdf et de se renseigner sur l’alimentation.
    Elle me répond très vivement : » je ne lirais rien du tout car mon nutritionniste m’a dit de manger un peu de tout en quantité modéré pour mon diabète et parler du jeune à mon médecin qui est un SPÉCIALISTE ! Il m’a dit que c’est important de ne pas manquer un seul repas dans la journée, donc votre jeune est juste une blague. J’ai compris que tout dialogue était vain et que la prise de parti était maximum. Donc difficile d’avoir un récit honnête de sa part.

    Et elle continu en disant vous savez monsieur ma mère est morte en 15 jours du cancer du pancréas et elle mangeait tout les jours les légumes du jardin. Elle a eu une douleur soudaine au pancréas et hospitalisation. Tout à été très rapide, on lui a diagnostiqué un cancer du pancréas.

    Je lui dis en 15 jours cela ressemble plutôt à une pancréatique aiguë vous savez la biopsie n’est pas fiable.
    Et voulant me contredire, elle me répond non monsieur c’était une échographie et une prise de sang qui on suffit à diagnostiquer le cancer.
    Encore pire alors ! Cela veut dire que les médecins posent un diagnostic de cancer sans même vérifier la nature des tissus.
    Et la elle m’envoie balader en disant :  » seuls les spécialistes ont raison monsieur « .

  25. Tiens, on reparle indirectement de la théorie de Hamer dans les journaux. Cette fois, c’est par l’intermédiaire d’un disciple (Didier Frère) d’un disciple (Claude Sabbah) de Hamer.

    L’histoire est que les enfants d’un certain Domizzio Danieli traineraient Didier Frère devant les tribunaux pour avoir indirectement tué leur père, atteint d’un cancer du cerveau, qui aurait été séduit par ses théories et aurait abandonné son traitement. Il serait mort en 2013 de son cancer du cerveau.

    Et en me renseignant sur le sujet, j’ai appris qu’en 2015, c’est Claude Sabbah qui faisait l’objet d’articles dans les journaux. Une femme le poursuivait alors pour avoir incité son mari à abandonner son traitement. Là-encore, le mari aurait succombé à son cancer. Claude Sabbah a été alors condamné à 2 ans de prison ferme et 30.000 euros d’amende.

    Et déjà, en 2004, il aurait été condamné à trois ans de prison ferme pour escroquerie et complicité d’exercice illégal de la médecine. Cette fois, c’est un homme qui aurait porté plainte parce que sa femme aurait suivi les conseils de Sabbah et serait finalement morte de son cancer.

    Donc, il se peut que je me sois plus ou moins trompé et que, en tout cas pour le moment, le rôle de la théorie de Hamer et de ses disciples ne soit pas de s’affadir et de pousser les adeptes des théories médicales alternatives à « prendre le meilleur des deux mondes » en acceptant la chimio tout en suivant des séances de psychologie Hamériennes, mais plutôt de continuer à servir de repoussoir pour les braves gens.

    Parce qu’il est évident que Sabbah et Didier Frère, tout comme Hamer, sont des agents d’influence. Et ce genre d’affaire, qui sort régulièrement, permet à chaque fois de faire une piqure de rappel aux gens du peuple qui pourraient être tentés par l’idée de ne pas prendre leur traitement anticancéreux. Ça permet de leur dire de façon à peine voilée « vous voyez. Si vous ne prenez pas votre traitement, voilà ce qui va vous arriver. Vous allez mourir vous aussi ».

    Et bien sûr, on a le gourou qui fait office de méchant de l’affaire, qui a poussé les pauvres brebis innocentes vers la mort avec ses théories délirantes. Au passage, il faut que la théorie soit vraiment too much. Sinon, le côté « pas bien » ne serait pas assez clair pour les braves gens. Dans l’esprit des concepteurs de ce genre d’arnaque, il faut des trucs bien caricaturaux pour le peuple.

    Évidemment, on peut être pratiquement sûr que ces affaires sont complètement bidons, tout comme les procès. Quant à la prison, il est certain que Sabbah n’y a jamais été. Tout ça ne sert qu’à faire peur aux gens et à faire que les moutons continuent bien à penser comme on leur dit de penser.

    Concernant Sabbah, j’ai pu voir qu’il avait réussi à tenir une conférence à la Sorbonne en 2007. Le truc incroyable. Comment un tel type pourrait avoir été autorisé à faire une conférence à la Sorbonne carrément en 2007, alors qu’à l’époque, ces théories étaient déjà bien connues et considérées comme une des pires théories sectaires par tous les bienpensants ? S’il a pu le faire, ça ne peut être que parce que c’est un agent. Donc, on l’a autorisé à le faire afin de faire croire que la pieuvre sectaire réussit à s’infiltrer partout, même dans les lieux les plus officiels.

    Mais bon, peut-être que j’aurais raison sur mon analyse initiale plus tard. Peut-être que la théorie s’affadira d’ici 10 ou 15 ans. A voir. En tout cas, pour l’instant, ça continue à servir de repoussoir pour le bon peuple.

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