Les vraies causes du zona thoracique

 

L’orthodoxie médicale nous raconte que le zona est causé par une mystérieuse résurgence du virus de la varicelle. Comme les virus n’existent pas, c’est évidemment faux. Voilà, à mon avis, les vraies causes du zona.

 

1)    Les causes du zona thoracique

 

Le zona touche généralement le torse (apparition de plaques de petits boutons rouges) ou l’œil. Et il touche plutôt des personnes de plus de 50 ans. Pour le premier point, c’est ce qu’on peut lire sur Wikipédia :

« Le zona est le plus souvent thoracique ou localisé au-dessus d’un œil (zona ophtalmique), dans un seul hémisphère, mais d’autres localisations sont possibles. »

Ce que je pense, c’est qu’en fait d’infection, il s’agit surtout d’une inflammation importante d’un ou de plusieurs organes du centre du corps. Ça peut venir de la zone cœur-poumons, du foie, des reins, ou encore d’une inflammation du pancréas.

La stagnation des liquides et l’inflammation vont se propager à la peau et il va y avoir formation de plaques au niveau du torse. C’est aussi simple que ça. Et c’est pour ça que généralement ça ne s’étend pas plus loin, c’est parce que c’est un simple problème local d’inflammation.

On peut avoir une inflammation du foie causée par des médicaments ou l’alcool. Idem pour le pancréas ou les reins. Pour ces derniers, une insuffisance rénale peut causer une stagnation des liquides dans le corps en général, mais ça peut aussi se limiter au centre du corps.

On peut avoir également une inflammation du système cœur-poumons due à un début d’insuffisance cardiaque, ou alors à un problème au foie ou aux reins.

 

Et c’est pour ça que ça touche des personnes de plus de 50 ans en général, c’est parce que c’est à ce moment-là qu’arrivent les problèmes cardiaques ou hépatiques ou rénaux ou pancréatiques.

Logiquement, le zona est associé à un risque accru de crise cardiaque, comme on peut le voir ici :

« Les chercheurs ont ainsi estimé que le zona favorisait un risque cumulé de problèmes cardiovasculaires de 41%. Plus précisément, le risque d’AVC est plus élevé de 35% et le risque de crise cardiaque plus élevé de 59% pour les patients concernés. L’incidence était plus élevée lors de l’année qui suit la réactivation du virus. »

Et ici :

« Pour parvenir à ces conclusions, les chercheurs ont suivi un groupe de 23 000 Sud-Coréens pendant 10 ans. Leurs dossiers médicaux ont été comparés à autant de personnes qui n’ont pas souffert d’une réactivation du virus de la varicelle.

Les patients qui souffrent de zona sont 41 % plus à risque de souffrir d’un incident cardiovasculaire. La probabilité de développer une telle complication est particulièrement élevée dans l’année qui suit la réactivation. AVC et infarctus du myocarde surviennent plus souvent après un zona qu’en son absence ; le risque est respectivement 35 et 59 % plus élevé. »

En fait, ça n’est pas le zona qui entraine le risque de crise cardiaque, c’est l’état du système cœur-poumons qui peut provoquer aussi bien le zona qu’une crise cardiaque.

 

De la même façon, c’est considéré comme une cause d’hépatite aigue. C’est ce qu’on peut voir ici :

« Les autres causes d’hépatite aiguës sont moins fréquentes. Ce sont les virus de l’herpès ou de la varicelle-zona, le virus E, le parvovirus B19, le cytomégalovirus, les hépatites hypoxiques, les hépatites auto-immunes, la maladie de Wilson, l’infiltration tumorale, les champignons, le syndrome de Reye. »

En réalité, là-encore, ça n’est pas le soi-disant virus du zona qui provoque l’hépatite, mais l’état inflammatoire du foie qui provoque le zona et qui peut dégénérer en hépatite aigue.

 

Et les insuffisants rénaux sont plus à risque de faire un zona (ici) :

« Les insuffisants rénaux au stade terminal (IRST) sont souvent de mauvais répondeurs à la vaccination du fait d’une altération de leur réponse immunitaire innée ou adaptative. Ils sont par ailleurs plus à risque de faire un zona que la population générale. »

L’insuffisance rénale va entrainer une rétention d’eau qui va provoquer des œdèmes, spécialement dans le centre du corps. Du coup, l’œdème pourra se propager à la peau à proximité et provoquer l’apparition de rougeurs et de boutons au niveau du torse. Autrement dit, l’eau stagnante dans les tissus va migrer petit à petit vers la peau. Et plus elle s’accumulera dans la peau, et plus elle formera des boutons, puis des éventuellement des grosses bulles. Dans le cas du zona, on n’arrive pas jusqu’à la formation de grosses bulles, mais simplement à celle de petites vésicules.

D’ailleurs, on peut voir par exemple ici que les problèmes rénaux ont tendance à entrainer des éruptions cutanées :

« Un problème rénal peut entrainer des éruptions cutanées accompagnées de démangeaisons, car les reins n’éliminent pas comme ils le devraient les déchets de notre sang. Ils s’accumulent alors dans le sang et provoquent des démangeaisons. »

Ou ici :

« Le but de cette étude était deconnaître les affections cutanées les plus fréquentes chez les patients hémodialysés chroniques du Centre Hospitalier Universitaire Yalgado Ouédraogo (CHU-YO) de Ouagadougou. »

« Quatre-vingt patients (85,3%) avaient au moins une manifestation cutanée. La xérose cutanée (67,4%), le prurit (45,3%), et l’hyperpigmentation (23,2%) étaient les plus fréquentes des manifestations cutanées pouvant être spécifiques de l’hémodialyse. L’hypomélanose en gouttes (11,6%), le prurigo (11,6%) et la folliculite (8,4%) étaient les principales manifestations cutanées non spécifiques. L’atteinte cutanée était fréquente mais ne semblait pas liée à l’ancienneté en hémodialyse. »

Et ici :

« Une éruption cutanée peut apparaître lorsque vos reins sont incapables d’éliminer les déchets de votre corps. Une éruption cutanée qui survient chez les personnes atteintes d’une maladie rénale terminale implique des boutons minuscules, en forme de dôme et extrêmement irritants. Au fur et à mesure que ces bosses disparaissent, de nouvelles peuvent apparaître. Les petits morceaux peuvent parfois se réunir pour produire des zones rugueuses et surélevées. »

 

Ceux qui ont un cancer du pancréas sont également plus à risque de faire un zona (ici) :

« Le cancer du pancréas peut également se révéler par l’apparition d’un zona cutané ou d’une phlébite chez des sujets jusque-là indemnes. »

Donc, on va avoir une inflammation du pancréas (qui va être diagnostiquée comme étant un cancer) qui pourra s’étendre à la peau et provoquer un zona.

Et d’une façon générale, ceux qui développent un cancer ont plus de risque de faire un zona. Ici, ça ne vient pas forcément de la maladie elle-même (même si souvent, ça va toucher un organe du centre du corps). C’est surtout que la chimiothérapie agresse fortement le foie et éventuellement les reins.

C’est ce qu’on peut voir ici (2019) :

« Les patients cancéreux figurent ainsi parmi les personnes les plus à risque de développer un zona. Mais quelles sont les circonstances qui sont les plus à risque ? Pour répondre à cette question, des chercheurs australiens ont mené une vaste étude, dont les résultats viennent d’être publiés dans la revue scientifique The Journal of Infectious Diseases. Leurs travaux ont porté sur 241 497 patients adultes, entre 2006 et 2015. Les chercheurs se sont intéressés au risque de zona, avant et après un diagnostic de cancer.

Les résultats de l’étude ont tout d’abord révélé que les patients atteints de cancers avaient un risque accru de développer un zona, par rapport aux personnes indemnes de toute tumeur. Ce risque était :

  • Multiplié par 3,7 dans le cas des cancers hématologiques, comme les leucémies, les lymphomes ou les myélomes ;
  • Majoré de 30% pour les tumeurs solides.« 

On peut penser que, pour les tumeurs solides, on a plus de cas que ce qui est dit ici, mais que beaucoup sont mis dans une autre catégorie, parce qu’il y a moins de situations d’immunosuppression. Alors que dans le cas des leucémies, le traitement vise la destruction des cellules cancéreuse de la moelle osseuse, ce qui endommage la moelle osseuse dans son ensemble et aboutit selon l’orthodoxie à une immunosuppression. Et il semble qu’il y ait parfois aussi besoin de greffe de moelle osseuse dans le cas des lymphomes, ce qui indique que le traitement l’endommage particulièrement. Or, comme on considère que le zona est lié en partie à une immunosuppression, on va donc poser plus facilement un diagnostic de zona à partir des mêmes symptômes dans le cas des cancers hématologiques que dans le cas des cancers solides.

Par ailleurs, on peut penser que la chimiothérapie, dans le cas des cancers hématologiques est donc nettement plus agressive que celle de nombreux cancers solides. En effet, comme pour les cancers solides les plus fréquents (seins, prostates), on enlève assez facilement la tumeur principale, on doit avoir recours assez souvent à une chimiothérapie plus légère.

Ici, on a concernant les comorbidités du zona à l’hôpital (« Zona à l’hôpital en France : Quels patients ? Quel type d’hospitalisation ? Quel coût ? », C.Baptiste and al, 2012) :

« Age moyen : 76 ans »

« Comorbidités (diagnostics relatifs à l’appareil circulatoire, respiratoire, les maladies endocriniennes, les maladies du système nerveux, rénales, diabète et du système ostéo-articulaires) »

Ça va dans le sens de ce que j’ai dit précédemment.

 

L’orthodoxie dit qu’en général, l’éruption se fait le long d’un nerf. Je pense qu’il est possible que l’agression d’un nerf favorise une éruption cutanée. Mais, je ne crois pas que ça puisse en être l’unique origine. Sinon, n’importe quelle douleur un peu vive entrainerait une éruption cutanée le long du nerf. Mais, s’il y a une autre cause d’inflammation et donc éventuellement d’éruption cutanée, il est possible que l’agression du nerf participe au déclenchement de l’éruption. Pas forcément systématiquement, mais parfois, ça peut être possible.

Et par ailleurs, les causes envisagées précédemment sont suffisantes en elles-mêmes pour causer une éruption cutanée, sans atteinte préalable des nerfs de la zone. A mon avis, ça va être le cas le plus fréquent. Donc, très souvent, on va avoir une éruption cutanée qui ne suivra pas particulièrement le trajet d’un nerf. Mais, comme il y a des nerfs un peu partout, il sera facile d’affirmer que l’éruption suit le trajet d’un d’entre eux.

 

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Quelques considérations supplémentaires sur le cancer

Voici une réponse que je viens juste de faire à un lecteur ayant le pseudo Dims à propos du cancer (dans les commentaires de l’article sur un cas de cancer du sein foudroyant, daté du 23 décembre 2014). Celui-ci me demandait si mon avis avait évolué sur la question depuis nos derniers échanges en 2017. Je pense que ça pourra intéresser d’autres personnes :

« Oui, ça a évolué. J’ai découvert de nouvelles choses. Je pense toujours que 99 % des cancers n’en sont pas.

Je pense que 99 % du temps, soit :

– il n’y a rien. Invention pure et simple quand la grosseur est minuscule ou même inexistante, cas qu’on retrouve dans les dépistages de masse ou certains dépistages individuels.

– il y a une masse ou une zone anormale. Mais, dans ce cas, 99 % du temps, les soi-disant tumeurs sont soit des engorgements lymphatiques ou sanguins, soit des glandes enkystées (chose que j’ai découverte avec mon analyse du cancer du sein, mais qui est valable pour tous les organes avec des glandes. Exemple, le col de l’utérus), soit des tissus enflammés, nécrosés ou dégradés.

Ce que j’ai découvert sur les glandes enkystés est très important, parce que ça permet d’expliquer une bonne quantité de tumeurs qui échappaient à l’explication du blocage sanguin ou lymphatique. Les médecins font croire qu’ils peuvent dire si une glande mammaire est un simple kyste ou une tumeur. Mais c’est faux. En réalité, la glande mammaire considérée comme tumorale n’est qu’une variante, un peu moins chargée en eau, du kyste glandulaire.

D’ailleurs, comme cette variante représente seulement 10 % des cas, ça permet aux médecins de faire croire qu’ils ne cherchent pas à multiplier les diagnostics de cancers du sein, puisqu’ils éliminent 90 % des cas en les classant en simples kystes.

Idem pour les tissus enflammés/dégradés/nécrosés (à des degrés divers). Ça permet par exemple d’expliquer la majeure partie des soi-disant tumeurs au cerveau et une bonne partie des tumeurs à d’autres endroits (certaines tumeurs du foie ou des reins, par exemple). On fait croire qu’une zone anormale est forcément liée à une accumulation de matière. Mais, ça peut simplement être la zone qui s’est dégradée, sans aucune accumulation de matière. Cerise sur le gâteau, si l’inflammation s’étend, on peut faire croire que c’est bien une accumulation de matière, puisque la zone anormale augmente de taille (alors que ce sont simplement les tissus normaux adjacents à l’inflammation qui sont à leur tour enflammés). Ça sert particulièrement pour les « tumeurs » dans des endroits où on ne peut pas faire de palpation ; et donc où on peut inventer n’importe quoi.

Il y a quelques semaines, en faisant un papier sur le zona, j’ai découvert une nouvelle source de « tumeurs », très féconde elle-aussi. En fait, les problèmes d’insuffisance cardio-pulmonaire ou les problèmes rénaux ou hépatiques vont souvent entrainer un ralentissement du flux sanguin en amont. Du coup, les tissus en amont vont avoir tendance à s’engorger, voire à gonfler parce que de l’eau va s’y accumuler. Et il pourra y avoir accumulation plus importante qu’ailleurs dans tel ou tel endroit pendant un temps plus ou moins long. Du coup, ça permettra d’inventer des tumeurs à cet endroit.

L’orthodoxie reconnait d’ailleurs que le risque de cancer est fortement accru chez les insuffisants cardiaques (76 %), les insuffisants rénaux ou les gens qui ont de l’hypertension.

Ça pourrait expliquer le cas dont on avait parlé du cancer de la thyroïde non soigné qui avait abouti à  la mort de la personne. En fait, en plus de l’explication que j’ai déjà  donnée, il est possible que la personne souffrait en réalité d’insuffisance cardiaque ou rénale ou hépatique. Ici, on peut penser à une insuffisance cardiaque. Et du coup, il y a eu inflammation de la thyroïde, puis des poumons et du cerveau. Ensuite, on ne sait pas si ce sont les médecins qui l’ont tué ou s’il est mort naturellement à cause d’une insuffisance pulmonaire ou cardiaque, ou d’un AVC.

Alors, pour le système cœur-poumons, comme souvent, l’accumulation va toucher le bras ou l’épaule ou le dos, on ne va pas parler de tumeur. Par ailleurs, comme généralement, l’insuffisance cardio-pulmonaire aura déjà  été détectée, les problèmes aux poumons ou au foie ou aux reins seront considérés correctement comme des engorgements liés à l’insuffisance cardio-pulmonaire. Mais, ça pourra servir à inventer des cancers de la thyroïde ou du cerveau. Et ça pourra quand même servir à inventer des tumeurs aux poumons, ou au foie ou aux reins ou au pancréas dans certains cas. »

 

Posté initialement le jeudi 11 mai 2023 à 18:38

 

Les statines, 1ère partie

Voici la première partie d’un texte sur les statines. Ayant du mal à le finir, j’ai décidé de mettre cette première partie en attendant. En résumé, je pense que les statines possèdent une spécificité que je n’avais pas vu sur les médicaments que j’ai analysés jusque-là : ce sont des médicament à effet oxydant (en plus du ou des autres effets). Je pense également qu’il y a deux types de statines, une première génération avec un effet anti-inflammatoire en plus de l’effet oxydant, et une deuxième génération avec  un mélange effet anti-inflammatoire et effet opiacé en plus de l’effet oxydant. C’est ce qui a permis à cette deuxième génération d’augmenter son efficacité vis à vis du cholestérol.

En plus de l’étude des statines elles-mêmes, cette première partie est intéressante, parce qu’en analysant leurs effets secondaires, j’ai découvert les causes de nombreuses maladies. Donc, au menu, on va voir une des causes ou la cause de diverses maladies musculaires, des tendinites et ruptures de tendons, de la polyarthrite rhumatoïdes, des problèmes de mémoire, du cancer de la peau, de la DMLA, de la maladie de Charcot, de la maladie de Dupuytren, etc…

Comme c’est long, je l’ai mis sous forme de PDF.

C’est ici :

https://www.repenser-la-medecine.com/pdf/les_statines_partie_1.pdf

 

 

 

 

Oui, la pilule rend stérile

 

L’orthodoxie médicale dit que la pilule ne rend pas stérile. Mais c’est faux. Elle peut tout à fait rendre stérile.

A mon avis, il y a trois causes à ce problème.

 

La glaire cervicale

 

Après avoir pensé à une théorie qui s’est révélée fausse, j’ai découvert la première cause sur cette page de Natural Womanhood qui évoque la possibilité que la pilule puisse retarder l’arrivée de la grossesse :

« Bien que les pilules ou dispositifs contraceptifs n’entraînent pas nécessairement une suppression du cycle à long terme après leur arrêt, ils peuvent néanmoins retarder votre retour à la fertilité, c’est-à-dire votre capacité à tomber enceinte. L’une des théories expliquant le retard de la fertilité après une contraception est l’impact de la pilule sur la production de liquide cervical, un élément essentiel de la conception.

Une autre théorie est l’association possible entre l’utilisation de contraceptifs à long terme (c’est-à-dire pendant 5 ans ou plus) et un amincissement significatif de la muqueuse endométriale [2]. L’épaississement de la muqueuse endométriale étant essentiel à la bonne implantation de l’embryon, un amincissement de la muqueuse peut rendre difficile l’obtention d’une grossesse, même si l’ovulation et la conception sont toujours possibles. Quelle qu’en soit la cause, le délai de retour à la fertilité après la prise d’une contraception peut être critique, car les femmes ont tendance à fonder leur famille beaucoup plus tard dans la vie qu’au cours des décennies précédentes.« 

« L’importance de la glaire cervicale dans la fertilité 

Au lycée, on nous apprend en biologie ou en éducation sexuelle qu’il faut un spermatozoïde et un ovule pour qu’une grossesse se produise. Ce que l’on oublie souvent dans cette équation, c’est le liquide cervical, également appelé glaire cervicale.

Pour que les spermatozoïdes puissent survivre plus de quelques heures dans le vagin, puis disposer des réserves d’énergie nécessaires pour traverser l’utérus jusqu’aux trompes de Fallope et attendre l’arrivée de l’ovule, ils ont besoin d’une glaire cervicale fertile et de bonne qualité. La glaire cervicale joue également un rôle important en filtrant les « mauvais » spermatozoïdes, c’est-à-dire ceux dont la morphologie (forme) ou la motilité (mouvement) laisse à désirer, afin de maximiser vos chances d’avoir une grossesse et un bébé en bonne santé. 

La glaire cervicale est sécrétée par des poches du col de l’utérus appelées « cryptes« . La glaire change de consistance et d’aspect à l’approche de l’ovulation, afin de mieux nourrir les spermatozoïdes et de les aider à atteindre l’ovule. Avant et après l’ovulation, la glaire cervicale est beaucoup plus épaisse et bloque l’accès des spermatozoïdes à l’utérus (un mécanisme qui protège également l’utérus des infections). Au moment de l’ovulation, la glaire cervicale devient plus fine et plus extensible, presque comme un blanc d’œuf cru, ce qui permet aux « bons » spermatozoïdes de traverser facilement le vagin et le col de l’utérus pour atteindre l’utérus et les trompes de Fallope. Là, les spermatozoïdes attendent un ovule pour la fécondation et peuvent survivre jusqu’à 5 jours dans l’appareil reproducteur féminin en présence d’un mucus de type fertile

Sans un mucus suffisant et de bonne qualité, il ne peut y avoir de bébé. »

Donc, la glaire cervicale est indispensable pour permettre aux spermatozoïdes de passer le col de l’utérus. Et elle l’est également pour nourrir et probablement protéger l’embryon au tout début de la fécondation. Donc, s’il y en a moins et que la qualité n’est pas optimale, la fécondation est fortement compromise. Et si la pilule altère la qualité de la glaire, il est possible qu’il faille du temps chez certaines personnes pour que la glaire redevienne normale après l’arrêt de la pilule. Et il se peut même qu’elle ne le redevienne jamais.

Avec mes connaissances; ça m’a suffi pour comprendre de quoi il retournait. Mais, après avoir émis ma propre théorie, j’ai lu le reste de l’article et j’ai découvert qu’il y avait un professeur suédois qui avait déjà compris le problème pour l’essentiel :

« Une théorie sur la façon dont la contraception affecte la glaire cervicale provient des recherches d’un homme nommé Erik Odeblad. Le Dr Odeblad était un professeur et chercheur suédois né en 1922, qui a passé la majeure partie de sa vie à étudier et à expliquer la sécrétion de la glaire cervicale : plus précisément, les différents types de glaire produits à différentes étapes du cycle et de la vie d’une femme, ainsi que leur rôle et leur composition.

Le Dr Odeblad a été l’un des premiers scientifiques à utiliser la technologie IRM à des fins médicales et, grâce à ses recherches, il a découvert qu’il existe au moins trois types différents de glaire cervicale. Le Dr Odeblad a appelé les différents types de glaire cervicale G, L et S, et a découvert que chacun d’entre eux a un rôle différent et est sécrété par un type différent de crypte cervicale à différents moments du cycle et de la vie d’une femme. 

Le Dr Odeblad a découvert que juste après la puberté, une jeune femme a une abondance de cryptes S, et qu’avec l’âge, le nombre de cryptes S diminue ; les cryptes S sont alors remplacées par les cryptes L. Le Dr Odeblad a découvert que le mucus S (qui est sécrété par les cryptes S) en particulier est le type de mucus qui est essentiel à la fécondation : il assure le passage, le transport et l’alimentation des spermatozoïdes.

Le Dr Odeblad a constaté que la contraception hormonale diminue en fait la quantité de cryptes S d’une femme. À partir de ses constatations, le Dr Odeblad a conclu que « pour chaque année de prise de la pilule, le col de l’utérus vieillit d’une année supplémentaire ». Il a émis l’hypothèse que l’utilisation à long terme d’une contraception hormonale pouvait réduire les chances d’une femme de concevoir un enfant, en raison de la dégradation des cryptes S du col de l’utérus. 

Bien que les données du Dr Odeblad n’aient pas été évaluées dans le cadre d’une étude évaluée par des pairs, ses conclusions ne sont pas sans précédent, car il existe d’autres preuves suggérant que la contraception hormonale peut avoir un certain effet sur les tissus du col de l’utérus. De plus, l’utilisation à long terme de contraceptifs oraux est également associée à un risque accru de cancer du col de l’utérus, ainsi qu’à une maturation accélérée et à une prolifération accrue des cellules du tissu épithélial cervical. »

Donc, apparemment, le Dr Odeblad avait déjà presque tout compris. Il lui manquait seulement les connaissances sur ce qu’est réellement la pilule (un anti-inflammatoire de type cortisone) et l’effet de cette substance sur l’organisme.

Ce que je pense donc, c’est qu’en tant qu’anti-inflammatoire, la pilule assèche l’organisme. Du coup, les glandes émettent moins de liquide et celui qu’elles produisent est plus pâteux. Ça entraine qu’après un certain nombre d’années une femme peut devenir stérile. En effet, comme on vient de l’apprendre grâce au site naturalwomanhood.org, la glaire cervicale est essentielle à la fécondation, et ensuite, à la survie de l’embryon pendant les premiers jours. Donc, la pilule, en asséchant les glandes qui émettent la glaire cervicale, peut finir par rendre la fécondation impossible et ainsi rendre stérile une femme.

La pilule vieillit donc bien le col de l’utérus, comme l’avait compris Odeblad. Mais, plus précisément, il l’assèche.

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Le symptôme de perte de l’odorat du covid19

 

Le covid19 avait tout d’une grippe lambda, sauf pour deux caractéristiques.

Déjà, il y a le fait qu’un certain nombre de personnes soient mortes. Mais, c’est facile de tuer les gens à l’hôpital après les avoir mis sous respirateur artificiel. Il suffit de considérer qu’ils sont en phase terminale et de les débrancher tout en les maintenant sous hautes doses de morphine. Avec les hautes doses de morphine, la personne ne peut plus respirer. Et sans la ventilation mécanique, ils ne le peuvent pas non plus. Donc, ils meurent étouffés. Et les médecins n’ont même pas l’impression d’avoir fait quelque-chose de mal, puisqu’ils estiment que la personne allait mourir de toute façon. Au contraire, ils pensent avoir fait quelque-chose de positif en abrégeant les souffrances du patient. Et bien sûr, plein de gens mourraient pour d’autres raisons et étaient étiquetés après coup morts du covid. Donc, le nombre de mort n’était pas une caractéristique spécifique difficile à obtenir.

Par contre, il y a eu un symptôme spécifique qui semblait très nouveau et à priori pas facile à provoquer, c’était la perte de l’odorat.

Mais en fait, c’est tout simple, ça vient des tests. Ils ont fait le même coup que pour la polio, à savoir que les tests provoquent le symptôme le plus caractéristique de la maladie. Pour la polio, c’était la paralysie (causée par les ponctions lombaires, puis les injections dans la moelle épinière). Ici, c’est la perte d’odorat (l’anosmie).

Il devait y avoir un produit chimique très irritant sur le bout de certains bâtonnets de test. C’est pour ça que les tests étaient faits au fond du nez. C’est là qu’il y a les récepteurs olfactifs. Et on peut voir sur cette image où ils sont situés :

 

Comme on peut le voir, la muqueuse olfactive et donc les récepteurs olfactifs sont sur la partie supérieure du nez. Ce qui veut dire que la muqueuse olfactive est juste sur le chemin du bâtonnet du test. Donc, le bout de bâtonnet du test venait toucher et frotter la muqueuse olfactive et le produit chimique brulait les récepteurs. Ceux-ci sont faciles à atteindre pour le produit chimique, vu qu’ils sont à la surface de la muqueuse.

On peut voir sur cette illustration du New York Post la façon de réaliser un test de covid19 :

 

 

Ça va bien en haut du nez et donc, ça frotte la muqueuse olfactive.

D’ailleurs, au début, on ne comprenait pas du tout pourquoi ils tenaient absolument à faire le test à cet endroit. Ils pouvaient très bien le faire dans la bouche ou même simplement à l’entrée du nez. Vue la soi-disant extraordinaire spécificité de la PCR, qui peut détecter un morceau d’ADN au milieu de milliards d’autres, ça aurait dû pouvoir détecter le virus n’importe-où dans les cavités orales et nasales. Mais, à l’entrée du nez, il n’y a pas les récepteurs olfactifs. C’est ça le truc.

Je n’ai fait un autotest de covid qu’une fois, pour le noël 2020, pour rassurer la famille. Et comme je savais que c’était bidon et aussi qu’il y avait de nombreux témoignages d’irritation après le test, j’ai juste mis le bout de la tige au début du nez (1 cm à l’intérieur) pendant 2 secondes. Et pourtant, ça a suffi à m’irriter immédiatement le nez à cet endroit. Ensuite, ça a duré ensuite pendant 5 ou 6 jours. Et je n’ai pratiquement jamais le nez irrité à cette période de l’année.

Donc, une partie des tests devaient comporter des produits extrêmement agressifs, qui brulaient les récepteurs olfactifs et conduisaient à une perte de l’odorat. Ça ne devait concerner qu’une partie des tests, pour ne pas que tout le monde ait ce problème. Et pour certains, ça a dû conduire à une brulure telle qu’ils ont encore des problèmes des mois ou des années après.

On peut penser que si une personne avait le nez déjà enflammé à cause d’un rhume ou d’une grippe, le produit sur le bâtonnet rentrait plus facilement dans la muqueuse olfactive. Tandis que si la personne n’avait aucune irritation du nez, ça entrait plus difficilement. Donc, ça permettait d’inventer des cas de covid19 plus facilement sur les personnes ayant déjà des symptômes de rhume ou de grippe que sur des personnes en bonne santé.

Et bien sûr, ça permettait de moins attirer l’attention sur le test. Si la personne déjà malade avait le nez encore un peu plus enflammé avec le test, on pouvait dire que c’était juste les symptômes de la maladie qui s’aggravaient et que ça n’avait rien à voir avec le test. Et même, on pouvait dire que ça confirmait que c’était bien le covid19 et que la personne était passée à la phase « perte d’odorat ».

Et on peut penser également que les concepteurs de l’arnaque ont fait en sorte d’avoir plus de tests avec le produit chimique irritant durant les phases de pics de l’épidémie. Tandis que durant les phases d’accalmie, peu de tests comportaient le produit chimique.

Par ailleurs, ils ont dû utiliser différents produits chimiques, plus ou moins agressifs. Ainsi, pour certaines personnes, la perte d’odorat ne devait durer que quelques jours ou quelques semaines ; tandis que pour d’autres, ça pouvait durer pendant des mois ou même des années.

Il faut dissocier le fait qu’un test ait le produit chimique et le fait qu’il soit positif. Un test pouvait devenir positif (soit parce que la personne avait le nez encombrés de morve, ce qui devait positiver le test, soit parce que le test avait été trafiqué à la base pour réagir positif très facilement) sans qu’il ne comporte le produit chimique. Ça devait d’ailleurs représenter la grande majorité des cas. Par contre, s’il avait le produit chimique, il devait réagir pratiquement toujours positif.

Certaines personnes ont dû avoir une perte d’odorat avant d’avoir le test. Donc, ça semble contredire l’idée que la perte d’odorat vient du test. Mais, dans de nombreux cas de ce genre, elles avaient tout simplement déjà développé des symptômes de rhume ou de grippe. Et quand on a le nez pris, on a l’odorat amoindri. Donc, ça n’a rien de surprenant. Et si l’anosmie a continué ensuite, c’est certainement parce que ces personnes ont passé un test de covid et que ce dernier a brulé les récepteurs olfactifs.

Alors, il est possible que pour certaines personnes, la perte d’odorat soit venue d’un autre problème. Il y a apparemment de nombreux cas d’anosmie chaque année, pour diverses raisons. Mais, pour la grande majorité des gens, ça a dû venir de là.

Bien sûr, le fait que le test ait été trafiqué pour provoquer le symptôme de perte d’odorat montre que dès le départ, toute l’affaire du covid19 relevait d’une conspiration de l’élite. Mais bon, je crois que ça, tous les gens qui pensent un minimum l’avaient compris.

 

PS1 : Au passage, le fait que le covid19 ait provoqué des pertes d’odorat est totalement absurde. Si ça s’attaquait aux nerfs du nez, on ne voit pas pourquoi ça ne le ferait pas ailleurs. Il aurait dû y avoir des problèmes neurologiques majeurs (perte de gout, d’ouïe, de toucher, de vue, paralysies, etc..).

Mais, avoir une attaque des seuls nerfs olfactifs, c’est impossible. Un virus se répandant assez uniformément dans tout l’organisme (théorie officielle), il ne peut pas attaquer seulement un groupe de nerfs en particulier, surtout sur une zone aussi réduite. Dans ce cas d’ailleurs, on ne voit pas pourquoi il n’y aurait pas eu une perte de sensibilité de l’ensemble du nez. Celui-ci aurait dû ne plus réagir au toucher.

Et si l’argument devenait tout d’un coup que le virus s’attaquait aux bulbes olfactifs spécifiquement, ça serait tout aussi absurde ; car rien ne les distingue fondamentalement des autres cellules pour le développement viral.

 

PS2 : Bien sûr, il a dû y avoir des gens qui ont menti à propos de ce symptôme de perte d’odorat. Il y a toujours des menteurs pathologiques.

Il y a aussi des exagérateurs pathologiques. Certains ont dû avoir une grosse grippe et une diminution du gout pendant 10 jours parce que leur nez était pris. Et ils ont dit que ça avait duré 3 semaines et qu’ils ne sentaient plus rien et qu’ils avaient perdu totalement le gout.

Et il a dû y avoir des gens qui se sont servi du covid pour se payer des vacances chez eux aux frais de leur employeur, et qui ont trouvé bon de dire qu’ils avaient eu ce symptôme pour qu’aucun doute ne soit permis sur le fait qu’ils aient vraiment eu le covid.

Donc, une partie des témoignages sont faux. L’élite a bénéficié ici des défauts et des intérêts humains.

 

PS3 : Quand on fait une recherche sur les réactions des gens aux tests de covid19, on s’aperçoit que les médias aux ordres ont cherché à détourner l’attention du vrai problème. Ils ont reconnu que les tests pouvaient induire des irritations au niveau du nez. Mais, ils se sont concentrés surtout sur le risque que le test abime la barrière encéphalique. Bien sûr, ça ne doit pratiquement jamais être le cas. Donc, c’était facile d’innocenter les tests pour ce problème.

Mais en fait, le but des médias était de détourner l’attention du vrai problème et du vrai but des tests faits dans le fond du nez, à savoir fournir un symptôme vraiment spécifique à une maladie qui, sans ça, n’en aurait pas vraiment eu. Ça n’aurait été qu’une grippe lambda. Mais là, tout d’un coup, avec de nombreuses personnes qui avaient ce symptôme de perte d’odorat, plus personne ne pouvait dire que c’était une grippe ordinaire. Enormément de gens connaissaient au moins une personne dans leur entourage qui avait eu ce symptôme. C’est d’ailleurs mon cas. Dans mes connaissances, je connais une personne qui dit avoir perdu l’odorat pendant 2 ou 3 mois.

Les médias officiels ont également parlé du fait que les tests pouvaient entrainer des saignements du nez. Mais, l’explication était que c’était le frottement du bâtonnet ou le fait que le bout se plantait dans la muqueuse qui causait le problème, et pas des produits chimiques. Donc, là aussi, ça a permis de détourner les gens de l’idée qu’il y avait des produits chimiques agressifs sur les bâtonnets.

Bien sûr, le taux de mortalité était une autre caractéristique spéciale de cette maladie. Mais, comme on l’a vu, ça peut facilement s’obtenir. L’arnaque est évidente. D’ailleurs, les conspirationnistes ont immédiatement vu le truc. Par contre, pour la perte de l’odorat, c’est plus difficile de comprendre où se situe l’astuce. Et effectivement, je ne crois pas avoir vu l’explication. Mais bon, je n’ai pas lu tous les articles conspirationnistes sur le sujet, ni tous les commentaires.

 

PS4 : On apprend ici qu’il y a des bâtonnets de diverses longueurs :

« Il existe trois principaux types d’écouvillonnage nasal Covid : nasopharyngé (le plus profond), mi-turbiné (le moyen) et narinaire antérieur (la partie peu profonde du nez). Au début de la pandémie, l’écouvillonnage nasal profond a été administré à grande échelle et de manière agressive aux adultes, car la méthode a fonctionné lors des tests de dépistage de la grippe et du SRAS. Bien que la science évolue, les experts s’accordent à dire que l’écouvillonnage le plus profond est le plus précis.

Selon un examen des études publié en juillet dans PLOS One, une revue scientifique, les écouvillons nasopharyngés sont précis à 98 % ; les écouvillons peu profonds sont efficaces à 82 % à 88 % ; les écouvillons mi-turbinés ont des performances similaires.« 

Donc, là aussi, ça permettait de faire varier le pourcentage de personnes ayant une perte d’odorat. Avec les bâtonnets les plus courts, le pourcentage devait être très faible alors qu’avec les bâtonnets les plus longs, le pourcentage était bien plus élevé.