Les dangers du stérilet au cuivre

Pendant longtemps, je n’ai pas trop su si le stérilet au cuivre était dangereux ou pas. C’était un peu un angle mort dans mon analyse des moyens de contraception modernes. Dans la mesure où ça ne semblait avoir qu’une action locale, ça ne semblait pas être une mauvaise idée. Cela dit, déjà, le fait qu’il puisse avoir une action spermicide laissait craindre le pire (voir Ameli : « le DIU au cuivre a un effet spermicide et rend les spermatozoïdes inactifs. »). Mais, on pouvait se dire que l’action n’étant que très locale, elle n’affectait pas le reste du corps.

En regardant une vidéo d’une femme ayant eu des problèmes avec le stérilet au cuivre, je crois avoir compris où est le problème.

 

Problème général des métaux lourds

 

En fait, le problème du cuivre est celui d’une grande partie des métaux lourds : ça doit prendre la place des métaux indispensables à la santé corporelle. C’est-à-dire le sodium, le potassium, le calcium, le fer et deux ou trois autres.

Par exemple, le fonctionnement des nerfs repose sur le sodium et le potassium. Celui des muscles sur le calcium. Celui des globules rouges sur le fer.

Donc, le cuivre va prendre la place du sodium et du potassium dans les nerfs, ce qui va provoquer une chute de la concentration de ces métaux. Donc, le signal électrique nerveux ne va plus bien passer. En fait, il va avoir ainsi tendance à alternativement soit ne plus passer du tout ou faiblement, soit à passer fortement de façon désordonnée.

Dans le premier cas, il y aura des faiblesses musculaires. Dans le second cas, il y aura des crampes. C’est pour ça que les femmes qui ont un stérilet en cuivre peuvent développer des règles douloureuses et une alternance de diarrhées et de constipation. Elles vont développer aussi des problèmes de douleurs dans le bas du dos parce que la concentration en sodium, potassium et calcium va être plus particulièrement basse dans les zones à proximité du stérilet.

D’ailleurs, le fait que ça rende les règles douloureuses est une chose avouée à demi-mots par la médecine officielle. On ne dit pas clairement que ça cause des douleurs menstruelles, mais on ne recommande pas le DIU au cuivre chez les femmes qui ont des règles douloureuses, parce que ça aggrave le problème. Mais, en fait, ça va le provoquer chez des femmes qui n’avaient aucun problème.

Evidemment, ça peut affecter le cœur et donc entrainer des palpitations cardiaques. C’est ce qui est arrivé à la femme de la vidéo. Mais, comme on a affaire à des femmes jeunes, ça ne va pas conduire à des crises cardiaques mortelles, ou alors très peu.

Ça va également affecter les sens, avec par exemple un gout modifié. Il pourra y avoir des démangeaisons, des picotements.

Ça va également affecter le cerveau. Donc, il y aura des pertes de mémoire, des faiblesses cognitives et éventuellement des crises d’épilepsie. Là, encore, comme les femmes qui utilisent le stérilet au cuivre sont jeunes, ça sera léger. Mais, ça pourra arriver chez certaines d’entre elles.

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Autres arguments contre la théorie des bactéries pathogènes

On a vu que quand une bactérie se trouve dans un liquide en mouvement, elle ne peut pas se développer.

Mais, il n’y a pas que ce problème qui fait que la théorie des bactéries pathogènes est forcément fausse. En voici 3 autres.

 

1) Élimination par phénomène de vidange

 

Le corps humain se vidange en permanence des particules inutiles qui y sont présentes. Donc, les bactéries ne restent pas dans le flux sanguin ou lymphatique. Elles sont vidangées comme les autres particules, que ce soit par les reins ou par le foie.

Comme on l’a vu dans un précédent article, les bactéries ne peuvent pas se multiplier dans le sang à cause du flux rapide. Celui-ci dilue les liquides qui leurs servent à dissoudre leur nourriture, ce qui les empêche de détruire le corps et de s’en nourrir. Mais en plus, il y a ce phénomène de vidange. C’est pour ça qu’on ne trouve pratiquement pas de bactéries dans le sang.

Mais, justement, comme ces deux phénomènes limitent très fortement la quantité de bactéries dans le sang, l’élimination par les reins et le foie ne concerne que très peu de bactéries. Donc, la vidange des bactéries reste quasi invisible.

On peut voir ici que le foie évacue les déchets de l’organisme soit par la bile s’ils sont liposolubles, soit par les reins, s’ils sont hydrosolubles :

« Une usine d’épuration de l’organisme

Certains éléments qui arrivent au foie sont toxiques pour l’organisme. Le rôle du foie est de les transformer (dégrader) en produits non-toxiques.

Certains produits devenus non toxiques se dissolvent dans les graisses (liposolubles) et sont évacués par la bile vers l’intestin puis les selles.

Les produits qui se dissolvent dans l’eau (hydrosolubles) sont reversés dans le sang, qui les mène jusqu’aux reins. Puis ils sont filtrés et éliminés dans les urines. »

Et il y a peut-être d’autres organes qui ne les éliminent pas, mais les recyclent sous une autre forme en effectuant une oxydation ou une acidification ou autres types de réactions chimiques.

Ce phénomène de vidange limite lui aussi très fortement le nombre de bactéries présentes dans le corps. S’il n’y avait pas ça, peut-être que les bactéries finiraient par être suffisamment nombreuses pour poser problème. Mais, avec ce système, elles restent en quantités suffisamment faibles pour avoir un impact nul sur l’organisme.

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Le SIDA, 43 ans après, tout le monde s’en fout, preuve de l’arnaque

Après environ 43 ans, on peut revenir sur cette arnaque qu’est le SIDA. On peut constater que depuis plus de 15 ans, tout le monde s’en fout. Les jeunes savent à peine ce que c’est. Pour eux, ça doit être un vague truc de boomer. Plus personne ne se protège. Et pourtant, aucune reprise de l’épidémie. Rien.

Normalement, vu qu’il s’agit d’une maladie transmissible, et qu’elle peut avancer cachée pendant plusieurs années, on devrait assister à une explosion des contaminations et des cas. Pas du + 20 %, mais une multiplication par 10 ou 20. Et ça, dans le monde occidental, pas dans des pays pauvres et lointains. Mais non, rien.

C’est la preuve claire et nette, définitive, que le sida est une arnaque, une maladie imaginaire. Si tant est bien sûr qu’on ait encore besoin de preuves, après toutes celles présentées par les dissidents du sida.

Et s’il n’y a aucune explication officielle à cette incohérence qui dure depuis plus de 15 ans, c’est tout simplement parce que l’orthodoxie médicale est apparemment passée à autre chose. Elle n’en a plus rien à faire. Et elle sait que c’est le cas aussi du grand public. Donc, elle ne cherche même plus à assurer la gestion de l’arnaque. C’est l’encéphalogramme plat à tous les niveaux : celui des gens ordinaires et celui de l’orthodoxie.

Et on peut dire que si le peuple n’y pense plus, c’est aussi parce que l’orthodoxie est passée à autre chose et n’assure plus la propagande. Parce que quand on a une maladie imaginaire comme le sida, la seule chose qui maintient la peur et l’attention des gens, c’est la propagande officielle. Si celle-ci faiblit, voire disparait, tout le monde oublie que la maladie existe. C’est le cas ici.

 

La vraie cause des maladies éruptives de l’enfance : petit résumé

J’ai déjà un très long article de commencé sur le sujet. Mais, comme je n’aurai probablement pas le temps de me repencher dessus avant au moins un an, en voici un petit résumé.

Comme pour les autres maladies soi-disant microbiennes, les maladies éruptives de l’enfance ne sont pas des maladies microbiennes et transmissibles.

Ce sont en fait ce qu’on pourrait appeler des syndromes de Lyell ou de Stevens-Johnson de faible intensité.

Ce qui se passe, c’est que la pression oncotique sanguine s’effondre.

Qu’est-ce que la pression oncotique ? C’est ce qui permet entre autres au flux de particules qui se trouvent dans le sang d’entrer, puis de ressortir des tissus. Si la pression oncotique diminue, ça ressort moins rapidement. Les liquides et les particules se mettent à stagner dans les tissus. Ils y provoquent donc une inflammation. Et par ailleurs, l’eau va commencer à migrer vers la peau, ce qui va provoquer la formation de rougeurs d’abord (avec des plaques plus ou moins larges et plus ou moins épaisses). Puis, l’eau va se mettre à traverser la peau et à former d’abord de minuscules bulles (des petits boutons), puis, des bulles un peu plus grosses, puis encore plus grosses, etc… Et si la circulation des liquides est très ralentie, on finira par avoir un syndrome de Lyell ou de Stevens-Johnson, avec des bulles énormes. Dans cas, comme ça affecte aussi les organes internes, et tout le corps en général, la personne va avoir une espérance de vie extrêmement courte (quelques jours ou semaines).

Dans le cas des maladies éruptives de l’enfance, on n’arrive évidemment pas à des extrémités pareilles. Mais, la pression oncotique diminue suffisamment pour que l’enfant développe des petits boutons ou des plaques sur tout le corps.

Pourquoi le foie se met-il à dysfonctionner alors que l’enfant est en pleine santé ? On peut penser que c’est lié aux phases de croissance de l’enfance. Le foie grandit lui-aussi. Et il ne doit pas pouvoir à la fois grandir et assurer pleinement ses fonctions. Donc, il doit y avoir des phases d’accélération de croissance du foie où celui-ci fonctionne à faible régime. C’est à ce moment-là que la pression oncotique diminue et que les boutons peuvent apparaitre.

Si l’enfant a mangé des produits qui agressent le foie, la pression oncotique peut diminuer encore plus et l’éruption peut être plus importante. Ça peut être le fait de manger des chocolats par exemple, ou de prendre des médicaments du type aspirine, antibiotiques, etc…

 

Un argument fort contre la théorie des bactéries pathogènes : le problème du flux

Un des problèmes des bactéries dans le corps humain, c’est le flux. Les microbes décomposent leur nourriture avec des produits chimiques qu’ils émettent. Ces liquides sortent de leur corps et dissolvent la nourriture. Ainsi, les particules de nourritures peuvent ensuite entrer à l’intérieur des bactéries.

Mais, si elles sont dans un flux de liquide qui n’a pas la même composition que les produits chimiques en question, problème. Le flux général va diluer les produits chimiques. Et ces derniers ne seront plus efficaces. La nourriture ne sera pas décomposée et les bactéries ne pourront pas se développer. Et sans nourriture, rapidement, elles mourront. Or, dans le corps humain, les liquides sont en mouvement permanent.

Quand bien même le flux ne diluerait pas les produits chimiques dissolvants émis par les bactéries, il y aurait un autre problème lié au flux qui empêcherait le développement des bactéries. Le flux ne permet pas aux bactéries de rester suffisamment longtemps au contact des particules rencontrées pour que le liquide dissolvant ait le temps d’agir. Et même s’il avait le temps de le faire, toujours à cause du flux, les débris obtenus ne resteraient pas en contact avec les bactéries et celles-ci ne pourraient pas s’en nourrir.

Bref, on a trois problèmes liés au flux :

  • Il dilue le liquide dissolvant émis par les bactéries
  • Il éloigne les bactéries des particules à dissoudre et ne laisse donc pas le temps au liquide dissolvant d’agir
  • Il éloigne les bactéries des débris qu’elles pourraient consommer

Donc, les bactéries ne peuvent pas se développer dans le corps humains, sauf quand les flux liquidiens sont stoppés. C’est une autre raison pour laquelle la théorie des bactéries pathogènes est complètement fausse.