Le SIDA, 43 ans après, tout le monde s’en fout, preuve de l’arnaque

Après environ 43 ans, on peut revenir sur cette arnaque qu’est le SIDA. On peut constater que depuis plus de 15 ans, tout le monde s’en fout. Les jeunes savent à peine ce que c’est. Pour eux, ça doit être un vague truc de boomer. Plus personne ne se protège. Et pourtant, aucune reprise de l’épidémie. Rien.

Normalement, vu qu’il s’agit d’une maladie transmissible, et qu’elle peut avancer cachée pendant plusieurs années, on devrait assister à une explosion des contaminations et des cas. Pas du + 20 %, mais une multiplication par 10 ou 20. Et ça, dans le monde occidental, pas dans des pays pauvres et lointains. Mais non, rien.

C’est la preuve claire et nette, définitive, que le sida est une arnaque, une maladie imaginaire. Si tant est bien sûr qu’on ait encore besoin de preuves, après toutes celles présentées par les dissidents du sida.

Et s’il n’y a aucune explication officielle à cette incohérence qui dure depuis plus de 15 ans, c’est tout simplement parce que l’orthodoxie médicale est apparemment passée à autre chose. Elle n’en a plus rien à faire. Et elle sait que c’est le cas aussi du grand public. Donc, elle ne cherche même plus à assurer la gestion de l’arnaque. C’est l’encéphalogramme plat à tous les niveaux : celui des gens ordinaires et celui de l’orthodoxie.

Et on peut dire que si le peuple n’y pense plus, c’est aussi parce que l’orthodoxie est passée à autre chose et n’assure plus la propagande. Parce que quand on a une maladie imaginaire comme le sida, la seule chose qui maintient la peur et l’attention des gens, c’est la propagande officielle. Si celle-ci faiblit, voire disparait, tout le monde oublie que la maladie existe. C’est le cas ici.

 

La vraie cause des maladies éruptives de l’enfance : petit résumé

J’ai déjà un très long article de commencé sur le sujet. Mais, comme je n’aurai probablement pas le temps de me repencher dessus avant au moins un an, en voici un petit résumé.

Comme pour les autres maladies soi-disant microbiennes, les maladies éruptives de l’enfance ne sont pas des maladies microbiennes et transmissibles.

Ce sont en fait ce qu’on pourrait appeler des syndromes de Lyell ou de Stevens-Johnson de faible intensité.

Ce qui se passe, c’est que la pression oncotique sanguine s’effondre.

Qu’est-ce que la pression oncotique ? C’est ce qui permet entre autres au flux de particules qui se trouvent dans le sang d’entrer, puis de ressortir des tissus. Si la pression oncotique diminue, ça ressort moins rapidement. Les liquides et les particules se mettent à stagner dans les tissus. Ils y provoquent donc une inflammation. Et par ailleurs, l’eau va commencer à migrer vers la peau, ce qui va provoquer la formation de rougeurs d’abord (avec des plaques plus ou moins larges et plus ou moins épaisses). Puis, l’eau va se mettre à traverser la peau et à former d’abord de minuscules bulles (des petits boutons), puis, des bulles un peu plus grosses, puis encore plus grosses, etc… Et si la circulation des liquides est très ralentie, on finira par avoir un syndrome de Lyell ou de Stevens-Johnson, avec des bulles énormes. Dans cas, comme ça affecte aussi les organes internes, et tout le corps en général, la personne va avoir une espérance de vie extrêmement courte (quelques jours ou semaines).

Dans le cas des maladies éruptives de l’enfance, on n’arrive évidemment pas à des extrémités pareilles. Mais, la pression oncotique diminue suffisamment pour que l’enfant développe des petits boutons ou des plaques sur tout le corps.

Pourquoi le foie se met-il à dysfonctionner alors que l’enfant est en pleine santé ? On peut penser que c’est lié aux phases de croissance de l’enfance. Le foie grandit lui-aussi. Et il ne doit pas pouvoir à la fois grandir et assurer pleinement ses fonctions. Donc, il doit y avoir des phases d’accélération de croissance du foie où celui-ci fonctionne à faible régime. C’est à ce moment-là que la pression oncotique diminue et que les boutons peuvent apparaitre.

Si l’enfant a mangé des produits qui agressent le foie, la pression oncotique peut diminuer encore plus et l’éruption peut être plus importante. Ça peut être le fait de manger des chocolats par exemple, ou de prendre des médicaments du type aspirine, antibiotiques, etc…

 

Un argument fort contre la théorie des bactéries pathogènes : le problème du flux

Un des problèmes des bactéries dans le corps humain, c’est le flux. Les microbes décomposent leur nourriture avec des produits chimiques qu’ils émettent. Ces liquides sortent de leur corps et dissolvent la nourriture. Ainsi, les particules de nourritures peuvent ensuite entrer à l’intérieur des bactéries.

Mais, si elles sont dans un flux de liquide qui n’a pas la même composition que les produits chimiques en question, problème. Le flux général va diluer les produits chimiques. Et ces derniers ne seront plus efficaces. La nourriture ne sera pas décomposée et les bactéries ne pourront pas se développer. Et sans nourriture, rapidement, elles mourront. Or, dans le corps humain, les liquides sont en mouvement permanent.

Quand bien même le flux ne diluerait pas les produits chimiques dissolvants émis par les bactéries, il y aurait un autre problème lié au flux qui empêcherait le développement des bactéries. Le flux ne permet pas aux bactéries de rester suffisamment longtemps au contact des particules rencontrées pour que le liquide dissolvant ait le temps d’agir. Et même s’il avait le temps de le faire, toujours à cause du flux, les débris obtenus ne resteraient pas en contact avec les bactéries et celles-ci ne pourraient pas s’en nourrir.

Bref, on a trois problèmes liés au flux :

  • Il dilue le liquide dissolvant émis par les bactéries
  • Il éloigne les bactéries des particules à dissoudre et ne laisse donc pas le temps au liquide dissolvant d’agir
  • Il éloigne les bactéries des débris qu’elles pourraient consommer

Donc, les bactéries ne peuvent pas se développer dans le corps humains, sauf quand les flux liquidiens sont stoppés. C’est une autre raison pour laquelle la théorie des bactéries pathogènes est complètement fausse.

Pourquoi les obèses ont-ils tout le temps faim ?

En étudiant le problème du cholestérol, j’ai compris pourquoi les obèses ont tendance à avoir tout le temps faim, comme on peut le voir ici (le Point, 2013) :

« Les mécanismes de l’appétit des obèses mieux compris

Les personnes en net surpoids n’arrivent pas à restreindre leurs apports alimentaires à cause de leur sensibilité anormale à une hormone stimulant la faim. »

« Si bon nombre de personnes obèses continuent à manger beaucoup – beaucoup trop ! -, ce n’est pas par manque de volonté comme on a parfois tendance à le croire. C’est ce que montrent des travaux publiés vendredi dans la revue Nature Communications. Selon une équipe rouennaise dirigée par Pierre Déchelotte (*), le fonctionnement anormal d’une hormone expliquerait cette hyperphagie dite paradoxale au regard de leurs réserves et de leurs besoins. Appelée ghréline ou hormone de la faim, elle n’est pas présente en quantité plus importante chez ces personnes que dans le reste de la population, en revanche, elle agit plus longtemps. »

Ici (2022) :

« Des études montrent qu’un trouble alimentaire tel que l’hyperphagie boulimique peut souvent être lié à l’obésité, mais pas exclusivement. Les personnes qui ne sont pas obèses peuvent également souffrir d’hyperphagie boulimique. »

Ici (le Figaro, 2013) :

« De nombreuses formes d’obésité sont liées à une prise alimentaire trop importante appelée hyperphagie. Que ce dérèglement soit d’origine psychologique, génétique ou environnementale, les mécanismes physiologiques à l’œuvre restent mal connus. »

Ici (Slate, 2009) :

« Hyperphagie. C’est le nom de l’un des calvaires vécus au quotidien par les personnes soufrant d’obésité. En dépit de leurs efforts et de leurs bonnes résolutions, elles ne peuvent résister à des envies impérieuses et récurrentes: s’alimenter de manière massive et déraisonnable. »

Ici (Revue Médicale Suisse, 2005) :

« L’hyperphagie boulimique est fréquente chez les personnes souffrant d’obésité et le dépistage de ces troubles doit être fait en se référant aux critères du DSM-IV. En cas de trouble alimentaire, il est nécessaire d’en tenir compte lors du traitement, afin de minimiser le risque de rechute et le phénomène yoyo. »

« Ce trouble est fréquent parmi les femmes en surpoids cherchant une perte de poids. Environ 30% de celles qui participent à un programme de perte de poids et 70% des individus participant aux groupes d’outre-mangeurs anonymes présentent une HB. »

Et ici (2013) :

« Une étude de l’Inserm met en évidence un problème hormonal chez les obèses qui prolongerait la stimulation de l’appétit.

Lorsqu’une personne fait un excès alimentaire, son corps va spontanément réduire son alimentation pendant quelques temps. Ce phénomène naturel permet de réguler la prise de poids. Mais une étude de l’Inserm, publiée vendredi, montre que chez les patients obèses, ce mécanisme est défectueux. Cette découverte pourrait changer la façon de traiter ce problème de santé publique qui touche plus de 15% des adultes en France. »

 

En fait, c’est tout simplement que leurs cellules sont remplies en permanence. Elles ne se vidangent pas ou peu. Du  coup, quand ils mangent, les cellules étant déjà remplies, elles ne peuvent pas accepter de nourriture supplémentaire. La nourriture absorbée n’arrive pas dans les cellules. Donc, les cellules sont en état de famine permanente. Et du coup, les obèses ont tout le temps faim.

Il y a en effet un cycle cellulaire vis-à-vis de la nourriture. La cellule est d’abord vide. Puis, quand la personne mange, la cellule se remplit d’une eau riche en nutriments. Puis, au bout de plusieurs heures, la cellule se vide de son eau (en partie évidemment). Et un nouveau cycle peut recommencer. J’appelle ça un cycle accumulation/vidange. Mais si, pour une raison ou pour une autre, les cellules sont gonflées en permanence, le cycle s’interrompt et reste figé en position haute. Le flux aller/retour s’arrête.

Evidemment, lors du repas, les cellules se remplissent quand même un peu. Sinon, les obèses mourraient de faim (ce qui serait paradoxal). Mais, elles ne vont absorber disons que 15 ou 20 % du volume absorbé ordinairement. Du coup, avec une absorption aussi faible, la personne va continuer à avoir très faim et va vouloir manger à nouveau.

La personne obèse va donc grignoter en permanence ou faire d’énormes repas.

C’est un cercle vicieux.

Continuer la lecture de « Pourquoi les obèses ont-ils tout le temps faim ? »

L’arnaque du lithium dans le traitement de l’épilepsie

Lors d’un échange récent avec une lectrice, le sujet de l’épilepsie a été abordé. Celle-ci a été capable de traiter un chien épileptique avec du sel. Je crois me souvenir que j’avais pensé à ça lors de mes réflexions sur le fait que le manque de sel était à l’origine des tétanies d’herbage et du tétanos. Mais, je n’avais pas poussé mes réflexions plus loin. Et je n’avais pas pensé à l’appliquer aux animaux.

C’était une excellente idée de sa part. Parce qu’effectivement, quand on y réfléchit, il est clair que bon nombre de problèmes d’épilepsie sont dus en réalité à un manque de sodium.

En pensant à ça, je me suis souvenu que le lithium est très utilisé dans le traitement contre l’épilepsie. J’avais un peu étudié le problème de l’épilepsie il y a longtemps. Et à cette époque-là, je ne comprenais pas du tout quel pouvait être le mécanisme d’action du lithium sur l’épilepsie.

Maintenant, je comprends. En fait, le lithium doit servir d’analogue de sodium. Ça doit faire la même chose : rétablir le flux électrique nerveux. En effet, celui-ci repose sur le potassium et… le sodium. S’il n’y a plus de sodium ou de potassium, ou les deux, le signal nerveux ne passe plus.

Ce qui doit se passer dans bon nombre de cas d’épilepsie, c’est donc que le taux de sodium diminue. Du coup, le signal électrique nerveux passe mal. Et il lui faudra augmenter d’intensité pour passer. Il est possible qu’il y ait accumulation de charge électrique pendant quelques minutes et que tout d’un coup, la situation se débloque et que toute la charge passe d’un coup. Un peu comme un éclair. Le signal étant intense, mais désorganisé, les muscles vont bouger anarchiquement ou simplement se tendre fortement. Et après cette crise, la charge électrique dans le cerveau diminue fortement (toute l’énergie électrique ayant été utilisée durant la crise), ce qui fait que la personne ne se souvient de rien, vu que la mémorisation repose sur l’intensité du flux électrique. Il peut y avoir des épisodes sans convulsions, mais avec seulement des absences soudaines.

Donc, en fait, l’usage du lithium est encore une arnaque de la part de l’orthodoxie médicale. Les grands pontes de celle-ci doivent très bien savoir d’où vient le problème. Mais, au lieu de donner du sel, qui le réglerait complètement et qui ne couterait rien, on donne du lithium, qui permet non seulement d’entretenir la maladie, mais en plus de créer d’autres symptômes.

En effet, le lithium est toxique par ailleurs. Donc, ça entraine des affections diverses, en particulier de l’insuffisance rénale.

Et ça permet d’entretenir le problème, parce que comme il est toxique pour le corps, on ne peut pas donner des doses importantes, ainsi qu’on peut le voir sur Wikipédia :

« Le lithium n’est thérapeutiquement efficace que dans une étroite fourchette de doses, « de sorte qu’une grande partie des patients sous thérapie chronique au lithium connaissent au moins un épisode de toxicité pendant le traitement ». »

Donc, ça doit maintenir la personne dans un état de manque de sel minéral suffisant pour que les crises continuent à apparaitre, même si moins souvent, et à moindre intensité.

Alors, on pourrait dire qu’il y a un certain nombre de cas d’épilepsie qui ne viennent pas d’un manque de sodium. C’est vrai. Mais en fait, dans tous les cas où le lithium marche, ça indique que les crises viennent d’un manque de sodium.

Et comme on ne peut pas en prendre autant que le sodium et que ça ne le remplace pas parfaitement (par exemple, le sodium a une conductivité électrique de 21 alors que c’est seulement de 10 pour le lithium), ça entraine des problèmes neurologiques à long terme (mémoire, fatigue, tremblements, etc…).

Et ces problèmes neurologiques vont être aggravés par le fait que le lithium endommage les reins. En effet, l’insuffisance rénale va entrainer à terme une rétention d’eau dans le corps et donc une diminution du taux de sodium. Par ailleurs, cette rétention d’eau va entrainer une hausse de la tension. Et un élément du traitement contre la tension est de diminuer la quantité de sel dans l’alimentation. Donc, la personne va être encore plus en manque de sodium. Et comme le lithium ne le remplace pas complètement et qu’on ne peut pas augmenter trop les doses, le signal électrique nerveux va passer de plus en plus mal, d’où des problèmes de mémoire, de fatigue, des tremblements, etc…

Donc, on pourrait certainement remplacer le lithium par le sodium. Mais, évidemment, ça couterait beaucoup moins cher. Et ça révèlerait quelle est la nature du problème. Et ça l’orthodoxie ne le veut pas. Elle tient à ce que les gens restent dans l’ignorance.

A noter qu’on considère que les produits sucrés augmentent le risque d’apparition des crises d’épilepsie et leur intensité. A mon avis, c’est le cas. Le sucre accélère le rythme du cycle d’accumulation/vidange de l’eau des tissus et des cellules. Donc, ça draine les sels minéraux du corps, dont le sodium.

 

Par ailleurs, on peut voir sur Wikipédia la chose suivante :

« L’épilepsie se manifeste habituellement durant l’enfance ou à l’adolescence, ou encore après l’âge de 65 ans, plus rarement à partir de 30 ans. Chez les personnes âgées, l’augmentation des cas de troubles cardiaques et d’accidents vasculaires cérébraux accentue le risque. »

Ça va tout à fait dans le sens d’un manque de sodium. Durant l’enfance ou l’adolescence, à cause de l’augmentation rapide de taille, il peut y avoir manque de sels minéraux. Et à l’adolescence, l’émission massive d’hormones fait que les cycles d’accumulation et de vidange de l’eau dans les cellules peuvent être plus fréquents et plus importants. En plus, c’est l’âge où on mange un peu n’importe quoi (des sodas par exemple). Le sport peut conduire aussi à une perte de sels minéraux. Donc, il va y avoir plus souvent manque de sodium chez les enfants et les adolescents, ce qui fait que l’épilepsie va plus souvent apparaitre chez eux que chez les personnes entre 20 et 50 ans, qui ne grandissent plus, ont des hormones stabilisées et mangent quand même plus sainement.

Et c’est pour ça que beaucoup de personnes peuvent ne plus avoir de crises une fois la période de l’enfance ou de l’adolescence passée.

C’est ce qu’on peut voir sur Ameli :

« Chez une majorité des enfants épileptiques, la maturation du système nerveux met un terme aux crises d’épilepsie (qu’elles soient généralisées ou partielles et isolées). »

Et ça va apparaitre aussi plus souvent chez les personnes âgées, et spécialement celles qui ont des troubles cardiaques ou des AVC, parce qu’on va généralement diminuer la consommation de sel chez elles.