En découvrant le système lymphatique, ma théorie sur la formation d'une tumeur se précise et s'enrichit.

Je rappelle ma théorie de base : "je crois qu'il y a une cause chimique qui est liée à l'alimentation en majeure partie. Je pense que la consommation excessive de viandes et céréales entraine la formation de tumeurs. Le sang contiendrait trop de protéines, c'est à dire, des matières colloïdales qui finiraient par entrainer des bouchons dans certains endroits. Alors, les cellules, privées d'oxygènes pourraient revenir à un stade de développement plus primitif du genre bactérie, se multipliant anarchiquement. Par ailleurs, les ganglions à proximité de la tumeur principale seraient encrassés de protéines en surplus et du coup, seraient plus enflés et enflammés. Il suffirait alors de manger moins protéiné et gras, pour que l'encrassement soit fortement réduit et que la zone ou se trouve la tumeur puisse être à nouveau alimentée normalement en nutriments et oxygène, ce qui ferait diminuer petit à petit la tumeur".

En fait, en découvrant le système lymphatique, un certain nombre de précisions se font jour. Je ne savais pas qu'il y avait 2 systèmes de réseau de vaisseaux dans le corps. Je croyais qu'il n'y avait que le système sanguin qui faisait office à la fois de distributeur de nutriments et de collecteurs de déchets. Mais en fait, les deux systèmes sont séparés. Il y a le système sanguin qui apporte les nutriments et le système lymphatique, qui collecte et évacue les déchets. C'est intéressant à plus d'un titre.

Par ailleurs, j'ai trouvé un certain nombre de photos de tumeurs qui sont également assez intéressantes.

En fait, en découvrant le réseau lymphatique et les photos de tumeurs, l'idée suivante apparait : Les canaux lymphatiques sont assez localisés. Et il est assez visible que les tumeurs apparaisent à proximité des canaux lymphatiques. Et plus les canaux lymphatiques sont gros, plus leur bouchage va entrainer une grosse tumeur parce que la zone bouchée sera plus grande. Tandis que là ou les canaux lymphatiques sont minces, leur bouchage entrainera une tumeur relativement petite. Et on peut ajouter que là ou les canaux sont petits et où la chair est mince, on va avoir probablement assez souvent des tumeurs d'un genre différent de là ou il y a une profondeur importante de chair. Ce seront plutot des nécroses, des ulcérations (il n'y aura pas de grosse boule, mais un truc plutot plat) ; ulcération qui seront plus ou moins importantes selon, là aussi, la taille du canal lymphatique.

Si un gros canal lymphatique se bouche, alors, une grosse zone à proximité risque de ne plus avoir d'évacuation. Les tissus baignent dans un jus qui s'appelle la lymphe. La lymphe recueille les déchets des tissus et, normalement les oriente vers les canaux lymphatiques qui les évacuent. Du coup, là, les tissus de la zone vont étouffer dans la lymphe encombrée de déchets qu'elle ne peut plus évacuer. Une partie des tissus va probablement mourir et se nécroser. Mais une autre partie va survivre et, comme l'a théorisé Heinrich Kremer, va passer à un mode de développement primitif qui ressemble à celui d'une bactérie. Elles vont se mettre à se développer anarchiquement. Comme la zone touchée par l'étouffement est large, le développement anarchique va donner une grosse tumeur. En fait, en voyant les tumeurs, on a l'impression qu'en même temps 1) la zone se dissout, et 2) un chaos de cellules apparait. Plus la zone touchée est importante et, pour le peu que j'en ai vu, moins c'est comme une tumeur qui se développerait à partir d'une cellule et qui donnerait une grosse boule.

Par contre, si le canal est de taille plus mince, alors, la tumeur aura tendance à toucher une zone moins grande et à donner une tumeur plus petite.

Egalement, si la zone touchée comporte peu de chair entre la peau et l'os (exemple, le visage) et que le canal lymphatique est mince, alors, les tumeurs seront souvent d'un type différent. Ici, on a l'impression qu'il n'y a pas assez d'épaisseur pour que les cellules survivent sous forme primitive, alors, on a souvent une sorte de nécrose. On alors, si c'est étendu, c'est souvent sans épaisseur.

Tout ça, je ne pense pas que la théorie officielle en explique la raison. Alors qu'avec la présente théorie, c'est logique.

On peut voir les exemples de ce que j'avance ici. Les images sont assez parlantes. Les tumeurs correspondent très bien aux emplacements des canaux lymphatiques. Les grosses tumeurs correspondent aux zones ou il y a de gros canaux lymphatiques. Et les petites tumeurs sont à proximité de petits canaux. Attention âmes sensibles s'abstenir ; c'est carrément flippant (et encore, je vous ait évité le pire).

Exemple un grosse tumeur sur le cou.

Or, il y a un canal lymphatique important à cet endroit (en bleu).

Autre exemple une tumeur importante sur la joue. Or, là aussi il y a un canal lymphatique. De moyenne importante cela dit.

Sur le dessus de la tête, la tumeur est plus plate et ressemble à une nécrose. Or là, le canal est probablemen petit, et puis, il y a peu de chair sur l'os

Je n'arrive pas à remettre la main dessus. Mais, j'avais une photo avec un petite tumeur sur le coté droit du pied droit. Or, il y un canal lymphatique à cet endroit.



De même on peut voir des photos de femmes avec d'énormes grosseurs au niveau de l'aisselle. Ben, c'est un endroit ou il y plein de ganglions et des gros canaux (les noeuds axillaires). Et, on peut lire que le cancer du sein métastase dans 75% des cas via les nœuds axillaires.



Donc, je répète ce que j'ai déjà dit par ailleurs : le concept de métastase est à mon avis totalement bidon. Les cellules cancéreuses ne s'implantent pas ailleurs et ne risquent pas d'entrainer des métastases. Seul le fait que la lymphe ne puisse plus évacuer les dechets (parce que le canal est bouché) entraine la tumeur. Or, Le fait qu'un canal ou des ganglions soient bouchés ne signifie pas du tout que d'autres canaux sont bouchés ailleurs. Ce n'est pas impossible, mais c'est loin d'être sur.

Que peut on retirer de cette théorie d'un point de vue opératoire ? Pas mal de choses et je vais peut-être en oublier dans ce post.

Déjà, du coté rassurant, comme dit juste avant, il n'y a pas de métastase. Donc, toute la théorie officielle s'effondre. Il ne sert à rien de faire des rayons et de la chimio pour prévenir ou pour réduire de supposées métastases. La tumeur reste locale. Elle ne migre nulle part. Si une tumeur se déclenche ailleurs, c'est que les canaux lymphatiques étaient bouchés aussi à cet endroit.

On peut penser que la théorie selon laquelle la tumeur est amenée à grossir indéfiniment est probablement en partie fausse. S'il y'a une petite tumeur, c'est que ce sont des petits canaux qui sont bouchés. A partir de là, les choses ne sont pas évidentes. En voyant les tumeurs, on peut se poser une question. Est-ce que cet étouffement des cellules n'a pas tendance à gagner aux cellules adjacentes ? Et du coup, est-ce que la tumeur ne ronge pas petit à petit les zones adjacentes ? J'ai l'impression que c'est fonction de la taille de la zone étouffée initialement (et donc, de la tumeur). Si la zone est importante, déjà, il y a une grosse quantité de matière morbide à évacuer, ce qui peut ne pas se faire tellement il y en a, ce qui continue à faire stagner les matières morte à proximité des zones encore saines, les rendont morbides elles aussi. Et en plus, certains éléments de la zone étaient probablement utiles au fonctionnement des zones à proximité. Par exemple, celles-ci peuvent se mettre à étouffer par destruction des canaux lymphatiques (qui retourne au chaos) de la zone initiale qui leur étaient utiles à elles aussi. Donc, on peut penser qu'il peut y avoir comme un grignotage des zones adjacentes. Et là, la théorie officielle serait donc juste. Pas rassurant. Mais ce n'est qu'une hypothèse. Il y a peut-être des mécanismes correcteurs. On peut penser, aux vues de certaines photo, que sur certaines tumeurs assez grosse, il y a comme une base qui permet à la tumeur de grossir. Donc, sur ce type de tumeurs aussi, la théorie officielle serait juste.

Par contre, on peut penser que cette théorie est relativement fausse pour les petites tumeurs. Là, la zone touchée par l'étouffement est mince. Donc, le système lymphatique est intact pour l'essentiel. Et comme les cellules tumorales ont tendance à créer des vaisseaux sanguins pour survivre, on peut penser que rapidement, les cellules tumorale peuvent être alimentées en nutriments et reliées au système lymphatique et cesser de grossir. Voir, disparaitre en se différenciant. Ca peut éventuellement dégénérer. Mais c'est loin d'être sur (enfin, c'est à voir quoi).

Donc, il y a de quoi être un peu plus pessimiste que ce que j'étais avant. S'il y a vraiment comme une extension de la zone endommagée lors d'une grosse tumeur, c'est un mauvais plan. Comme ça devient un vrai chaos, le système vital peut s'endommager de plus en plus à proximité. Donc, quelqu'un qui démarre avec une grosse tumeur est probablement relativement mal barré, au moins localement (enfin, ça dépend aussi de la zone touché, si c'est une zone vitale ou pas).

Tandis qu'on peut penser que quelqu'un qui démarre avec une petite tumeur est beaucoup mieux barré. Par contre, des canaux plus importants peuvent se boucher à leur tour et transformer la petite tumeur en une grosse tumeur.

Mais, on peut penser que pour qu'un gros canal se bouche, ou une série importante de petite canaux ou ganglions, il faut vraiment qu'il y ait un gros problème, un gros encrassement de l'organisme. Donc, on peut penser que les grosses tumeurs sont rares. Et, je crois que les chiffres donnés officiellement vont dans ce sens.

On peut penser que quand les canaux bouchés sont gros et/ou nombreux, alors, la tumeur apparait à toute vitesse. Tandis que si c'est une petite tumeur, l'évolution va être lente, ou stagner carrément, ou diminuer.

Donc, l'idée que je défend que si les gens ne faisaient rien, à part s'alimenter mieux, ils auraient un taux de mortalité très probablement bien moindre que celui de maintenant (avec les soins officiels : chimio, rayon), doit rester vraie pour l'essentiel. Par contre, j'avais oublié de préciser que je pense que la chirurgie peut avoir une réelle utilité. Mais, tout dépend comment c'est fait. Le charcutage qui consiste à enlever un sein alors qu'il y a une toute petite tumeur et quelques ganglions gonflés par pur préaution me semble complètement inutile. Bref, enlever tout une zone alors que qu'il y a juste une petite tumeur me parait ridicule.

Donc, ça change beaucoup de choses pour le dépistage. D'un coté, dans ma théorie, il faut plutot intervenir vite, effectivement ; pour éviter qu'un bouchage de canal ou de ganglions ne dégénère trop (ce qui est rare mais peut arriver). Donc, un dépistage précoce serait très utile. Le problème, c'est qu'en l'état actuel des choses, intervenir vite, ça veut dire avoir affaire aux médecins. Médecins qui eux, vont supposer, selon les résultats de leur tests biochimiques, que la tumeur est cancéreuse ou pas. Ce qui peut signifier ou non une chimio et des rayons totalement injustifiés quoiqu'il arrive. Et donc, des dommages très probablement beaucoup plus importants à l'organisme que ce qu'aurait donné la tumeur dans la plupart des cas. Donc, il y a un dilemne. Vu qu'une tumeur peut se révéler rapidement importante, il vaudrait mieux se faire dépister précocément, pour ces cas assez rares. Mais, vu que pour la plupart des personnes, le préjudice sera beaucoup plus important que le bénéfice, puisqu'ils n'auraient eu qu'une petite tumeur, il y a de quoi hésiter.

D'autant plus que se mettre dans les mains de la médecine moderne entraine la question de la récidive. Pourquoi y a-t-il récidive ? Je pense que c'est parce que les médecins suppriment souvent toute la zone. Ou alors, l'endommage. Du coup, une partie du système lymphatique est endommagée ou supprimée dans la zone. Du coup, il y a surcharge de travail pour ce qui reste du système lymphatique dans la zone et les zones adjacentes. Ce qui entraine un risque de rechute (bouchage d'un autre endroit du système lymphatique). Rechute éventuellement plus grave. Et même, il peut ne pas y avoir vraiment rechute, mais les médecins peuvent détecter à nouveau des ganglions gonflés et décider (je n'en suis pas sur là, mais à mon avis, c'est très possible) d'entamer une nouvelle chimio juste à cause de ça (ou sinon, alors qu'il y a simplement une petite tumeur). Cela dit, il peut y avoir récidive parce que la personne continue à avoir le même régime alimentaire qu'avant (trop protéiné et gras).

Les principes de prévention reste globalement les mêmes qu'avant : une nourriture contenant peu de matières colloïdales. Bien que je ne l'ai pas écrit précédemment, j'avais déjà dans l'idée qu'il fallait aussi intervenir mécaniquement sur les vaisseaux pour lutter contre le bouchage, en faisant du sport et aussi, par exemple pour les femmes, en évitant les soutien-gorges trop serrés (cette théorie me semblait être du n'importe quoi ; ben, finalement, j'y viens). Mais, je pensais que ce n'était qu'un appoint. La nouveauté, avec la découverte du système lymphatique, c'est que j'ai également appris que le système lymphatique est moins dynamique que le système sanguin. Donc, il peut se boucher plus facilement et le dynamisme de la circulation des fluides y est dépendant de l'activité physique. Donc, il est particulièrement important de faire de l'exercice physique pour augmenter la circulation de la lymphe. Bref, le système lymphatique serait un capital qu'il faudrait entretenir, qu'il faudrait maintenir en parfait état, sous risque de développer une tumeur plus ou moins importante.